5 resultados para pratiques scriptuaires
em Universitat de Girona, Spain
Resumo:
Les blogs et les wikis sont de plus en plus utilisés par les enseignants comme supports d’activités, objectifs pédagogiques ou modalités d’évaluation. Ces outils électroniques sont généralement appréciés et analysés en fonction des utilisations ou des usages pédagogiques qu’ils permettent au sein de la classe, que celle-ci soit traditionnelle ou virtuelle. Ce que nous proposons ici est un point de vue complémentaire et encore relativement méconnu : la description, par l’exemple, de l’intérêt d’un outil de publication souple et facile d’emploi, tel que l’est le wiki, non en fonction de son utilisation par un enseignant, dans sa classe, mais en fonction de ce que ce wiki peut faire POUR l’enseignant, dans son bureau
Resumo:
Comment faire évoluer sa pratique professionnelle? Notre proposition s'intéresse à l'activité des professeurs des écoles confrontés à la volonté de l’institution (IO 2008) de renforcer la place du récit dans l'enseignement de l'histoire à l’école aux dépens de la pédagogie du « tout document » (IO 2002). De plus, excepté le lapidaire « par l’usage du récit », aucune précision supplémentaire n'est apportée quant aux modalités. Aussi modifier sa pratique professionnelle est-il problématique lorsque les textes officiels sont aussi peu explicites quant au fond et à la forme
Resumo:
Dans ce texte, nous allons vous faire part d’une expérience de didactisation des savoirs en économie par l’utilisation d’une pratique sociale. Cette expérimentation s’est déroulée à l’hiver 2008 avec des élèves en quatrième session du programme Sciences humaines. L’approche consistait à choisir une pratique sociale suffisamment riche pour permettre aux étudiants d’utiliser des connaissances acquises dans un premier cours en économie, mais également produire des connaissances. Le choix s’est porté sur la présentation d’un mémoire auprès d’experts dont l’objet est de traiter d’une question socialement vive
Resumo:
Dans le cadre du réseau RESEIDA (REcherches sur la Socialisation, l’Enseignement, les Inégalités et les Différenciations dans les Apprentissages, co-piloté par E. Bautier et J-Y. Rochex), je participe depuis plusieurs années à une recherche qui vise à étudier des pratiques enseignantes contextualisées et leurs effets potentiellement différenciateurs sur les apprentissages d’élèves, en croisant des points de vue issus de différentes didactiques et de la sociologie de l'éducation. Dans ce contexte, un imposant corpus de données a été recueilli dans deux classes françaises de CM2 (élèves de 10-11 ans) considérées comme hétérogènes (d'après les résultats d'évaluations nationales, les caractéristiques familiales) en 2004-2005: composé à la fois de données filmiques orientées vers les pratiques d’enseignantes et d’élèves en situation de classe, de photocopies de cahiers ou de productions d’élèves. Ma présentation se centre sur l’analyse d’une partie de ces données, concernant l’enseignement des mathématiques observé dans une des deux classes de CM2. Plus précisément, j’effectue un zoom sur deux situations observées dans cette classe: une situation de résolution de problèmes et une situation d’enseignement des pourcentages. Ces deux situations apparaissent contrastées (gestion enseignante, apprentissages mathématiques potentiels, etc.). Mais elles permettent précisément de montrer que derrière une hétérogénéité apparente de pratiques d’une enseignante, une façon commune de penser et de faire la classe de mathématiques se joue, dont on peut penser qu’elle pèse fortement sur les apprentissages potentiels en contexte scolaire
Resumo:
Les éléments que nous nous proposons de présenter lors de ce colloque sont le fruit d’une articulation dynamique entre dispositifs de recherche et élaboration de dispositifs de formation: notre pratique de formateur d’enseignants et chargée à ce titre de leur accompagnement professionnel (ingénierie de formation) se nourrit de notre réflexion de chercheur et vice versa. Dégager des axes de réflexion et construire des outils susceptibles d'être un appui pour la formation, nous a conduit à travailler préférentiellement sur l'activité réelle, observée in situ, des enseignants. Pour cela nous avons privilégié l'utilisation des dispositifs d'auto-confrontation qui consistent à enregistrer sous forme vidéo des temps de situations d'enseignement puis à les analyser avec les enseignants concernés, d'abord en tête-à-tête enseignant/chercheur (auto-confrontation simple: l'enseignant explicite ses actions) puis en petits groupes (des temps significatifs des séances enregistrées sont projetées à un petit groupe de volontaires ayant tous participé à la première phase d'auto-confrontation simple). Il s'agit alors de comparer les pratiques effectives, d'expliciter les modèles théoriques, les a priori empiriques, les contraintes qui ont présidé au choix des actions