5 resultados para Représentation de l’action
em Universitat de Girona, Spain
Resumo:
En aquest article es presenta el relat de les històries personals de deu joves geògrafs i geògrafes centrades en la seva formació acadèmica i en les respectives experiències i trajectòries en el món laboral. No pretén ser una mostra representativa de l’actual panorama professional al nostre país, sinó, tan sols, fer arribar al lector deu trajectòries individuals que tenen com a fil conductor l’intent d’assolir l’exercici professional i estable de la geografia
Resumo:
Préparer la classe constitue une des tâches professionnelles afférentes à chaque enseignant. Cette tâche, dont l’action d’enseignement menée auprès des élèves résulte, s’effectue dans un espacetemps distinct de celui de la classe. Comment les enseignants du premier degré qui, à l’inverse des enseignants du second degré, doivent enseigner toutes les disciplines réalisent-ils cette tâche? Quelles ressources utilisent-ils? Les manuels qui représentent une grande part des supports proposés et commercialisés par les éditeurs constituent une ressource
Resumo:
Dans notre effort de comprendre l’action enseignante a travers la relation entre l’objet enseigne et la gestion des taches, nous nous proposons de montrer dans cette contribution en quoi le rapport a un savoir est responsable de la cristallisation de certains gestes enseignants, d’une part, et de quelle façon les interactions en classe rendent compte de ce rapport, d’autre part. Les propriétés classiques de l’action (agentivité, intentionnalité/ causalité, descriptibilité) seront ici articulées a une perspective centrée sur le caractère déterminant de l’action. Nous rejoignons ici le traitement de l’intentionnalité comme « produit du processus interactionnel dans son ensemble » et non pas « comme une propriete des seules manifestations de l’agent » (Filliettaz, 2002: 187)
Resumo:
Le cas que nous exposons ici est extrait d’un travail de recherche plus vaste ayant pour objet une analyse comparative de plusieurs institutions1 où vivent et se transmettent des savoirs sécuritaires propres à l’escalade. Notre étude met en face à face des institutions clairement identifiées comme didactiques - c’est le cas de l’école au sens large de l’acception - c’est-à-dire des institutions où l’intention de transmettre y est toujours mise en avant, mais aussi d’autres institutions «à la limite» du didactique telles les organismes de loisirs sportifs, ainsi que des institutions a priori non didactiques comme une famille ou un groupe d’amis, où le mode de transmission des savoirs relève majoritairement d’un système d’apprentissage par frayage (Delbos & Jorion, 1990), (Hutchins, 1995). Le sujet est abordé sous l’angle didactique de la gestion des risques (Mangeant, 2008). La recherche repose en partie sur la théorie des situations didactiques (Brousseau, 1998) et notamment la notion de contrat entendu comme une convention implicite, mais aussi pour nous dans notre sujet, comme accord explicite sur les règles de fonctionnement. Elle s’appuie également sur le modèle de l’action enseignante et le triplet des genèses (Sensevy, Mercier & Schubauer- Leoni, 2000) et plus précisément sur le principe de l’action conjointe du professeur et des élèves (Sensevy & Mercier, 2007). Le travail s’attache à démontrer que des phénomènes de contrat, peuvent être à l’origine de failles dans la sécurité, et potentiellement pourvoyeurs de futurs accidents. Ainsi, au-delà du manque de vigilance communément invoqué, il y aurait donc des causes didactiques à l’occurrence des accidents, dont les explications sont parfois à rechercher à l’origine dans la formation des intervenants ou dans le mode de transmission des savoirs
Resumo:
Cette contribution vise à décrire et comprendre les conditions d’un enseignement de la lecture par la médiation d’une entrée «par effraction» dans un texte de fiction, réticent, combinant divers ordres sémiotiques (verbal et iconique), le caractère réticent du texte n’étant pas forcément dépendant de la combinaison des deux ordres. Cette visée implique de considérer le texte, d’une part, sous l’angle de l’évènement figural de son artéfact (quelles sont ces propriétés qui le rendent résistant à la lecture par rapport aux textes canoniques, identifiés dans les pratiques ordinaires?) et, d’autre part, dans sa combinatoire scripto-visuelle (quelle part les ordres verbal et iconique prennent-ils dans la (re)construction du récit?). Cette description sera conduite du point de vue du travail enseignant, considéré comme un ensemble de tâches, structurées selon une progression, et de manières de faire dans le cours de l’action, articulées aux difficultés des élèves