6 resultados para Kalin, Maija: Coping with problems of understanding
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Conventional and Reciprocal Approaches to the Forward and Inverse Problems of Electroencephalography
Resumo:
Le problème inverse en électroencéphalographie (EEG) est la localisation de sources de courant dans le cerveau utilisant les potentiels de surface sur le cuir chevelu générés par ces sources. Une solution inverse implique typiquement de multiples calculs de potentiels de surface sur le cuir chevelu, soit le problème direct en EEG. Pour résoudre le problème direct, des modèles sont requis à la fois pour la configuration de source sous-jacente, soit le modèle de source, et pour les tissues environnants, soit le modèle de la tête. Cette thèse traite deux approches bien distinctes pour la résolution du problème direct et inverse en EEG en utilisant la méthode des éléments de frontières (BEM): l’approche conventionnelle et l’approche réciproque. L’approche conventionnelle pour le problème direct comporte le calcul des potentiels de surface en partant de sources de courant dipolaires. D’un autre côté, l’approche réciproque détermine d’abord le champ électrique aux sites des sources dipolaires quand les électrodes de surfaces sont utilisées pour injecter et retirer un courant unitaire. Le produit scalaire de ce champ électrique avec les sources dipolaires donne ensuite les potentiels de surface. L’approche réciproque promet un nombre d’avantages par rapport à l’approche conventionnelle dont la possibilité d’augmenter la précision des potentiels de surface et de réduire les exigences informatiques pour les solutions inverses. Dans cette thèse, les équations BEM pour les approches conventionnelle et réciproque sont développées en utilisant une formulation courante, la méthode des résidus pondérés. La réalisation numérique des deux approches pour le problème direct est décrite pour un seul modèle de source dipolaire. Un modèle de tête de trois sphères concentriques pour lequel des solutions analytiques sont disponibles est utilisé. Les potentiels de surfaces sont calculés aux centroïdes ou aux sommets des éléments de discrétisation BEM utilisés. La performance des approches conventionnelle et réciproque pour le problème direct est évaluée pour des dipôles radiaux et tangentiels d’excentricité variable et deux valeurs très différentes pour la conductivité du crâne. On détermine ensuite si les avantages potentiels de l’approche réciproquesuggérés par les simulations du problème direct peuvent êtres exploités pour donner des solutions inverses plus précises. Des solutions inverses à un seul dipôle sont obtenues en utilisant la minimisation par méthode du simplexe pour à la fois l’approche conventionnelle et réciproque, chacun avec des versions aux centroïdes et aux sommets. Encore une fois, les simulations numériques sont effectuées sur un modèle à trois sphères concentriques pour des dipôles radiaux et tangentiels d’excentricité variable. La précision des solutions inverses des deux approches est comparée pour les deux conductivités différentes du crâne, et leurs sensibilités relatives aux erreurs de conductivité du crâne et au bruit sont évaluées. Tandis que l’approche conventionnelle aux sommets donne les solutions directes les plus précises pour une conductivité du crâne supposément plus réaliste, les deux approches, conventionnelle et réciproque, produisent de grandes erreurs dans les potentiels du cuir chevelu pour des dipôles très excentriques. Les approches réciproques produisent le moins de variations en précision des solutions directes pour différentes valeurs de conductivité du crâne. En termes de solutions inverses pour un seul dipôle, les approches conventionnelle et réciproque sont de précision semblable. Les erreurs de localisation sont petites, même pour des dipôles très excentriques qui produisent des grandes erreurs dans les potentiels du cuir chevelu, à cause de la nature non linéaire des solutions inverses pour un dipôle. Les deux approches se sont démontrées également robustes aux erreurs de conductivité du crâne quand du bruit est présent. Finalement, un modèle plus réaliste de la tête est obtenu en utilisant des images par resonace magnétique (IRM) à partir desquelles les surfaces du cuir chevelu, du crâne et du cerveau/liquide céphalorachidien (LCR) sont extraites. Les deux approches sont validées sur ce type de modèle en utilisant des véritables potentiels évoqués somatosensoriels enregistrés à la suite de stimulation du nerf médian chez des sujets sains. La précision des solutions inverses pour les approches conventionnelle et réciproque et leurs variantes, en les comparant à des sites anatomiques connus sur IRM, est encore une fois évaluée pour les deux conductivités différentes du crâne. Leurs avantages et inconvénients incluant leurs exigences informatiques sont également évalués. Encore une fois, les approches conventionnelle et réciproque produisent des petites erreurs de position dipolaire. En effet, les erreurs de position pour des solutions inverses à un seul dipôle sont robustes de manière inhérente au manque de précision dans les solutions directes, mais dépendent de l’activité superposée d’autres sources neurales. Contrairement aux attentes, les approches réciproques n’améliorent pas la précision des positions dipolaires comparativement aux approches conventionnelles. Cependant, des exigences informatiques réduites en temps et en espace sont les avantages principaux des approches réciproques. Ce type de localisation est potentiellement utile dans la planification d’interventions neurochirurgicales, par exemple, chez des patients souffrant d’épilepsie focale réfractaire qui ont souvent déjà fait un EEG et IRM.
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Introduction Provoked vestibulodynia (PVD) is the most frequent cause of genito-pelvic pain/penetration disorder (GPPPD) and is associated with negative psychological and sexual consequences for affected women and their partners. PVD is often misdiagnosed or ignored and many couples may experience a sense of injustice, due to the loss of their ability to have a normal sexual life. Perceiving injustice has been documented to have important consequences in individuals with chronic pain. However, no quantitative research has investigated the experience of injustice in this population. Aim The aim of this study was to investigate the associations between perceived injustice and pain, sexual satisfaction, sexual distress, and depression among women with PVD and their partners. Methods Women diagnosed with PVD (N = 50) and their partners completed questionnaires of perceived injustice, pain, sexual satisfaction, sexual distress, and depression. Main Outcome Measures (1) Global Measure of Sexual Satisfaction Scale; (2) Female Sexual Distress Scale; (3) Beck Depression Inventory-II; and (4) McGill-Melzack Pain Questionnaire. Results After controlling for partners' age, women's higher level of perceived injustice was associated with their own greater sexual distress, and the same pattern was found for partners. Women's higher level of perceived injustice was associated with their own greater depression, and the same pattern was found for partners. Women's higher perceived injustice was not associated with their own lower sexual satisfaction but partners' higher perceived injustice was associated with their own lower sexual satisfaction. Perceived injustice was not associated with women's pain intensity. Conclusion Results suggest that perceiving injustice may have negative consequences for the couple's sexual and psychological outcomes. However, the effects of perceived injustice appear to be intra-individual. Targeting perceived injustice could enhance the efficacy of psychological interventions for women with PVD and their partners.
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Introduction Provoked vestibulodynia (PVD) is a highly prevalent and taxing female genital pain condition. Despite the intimate nature of this pain and the fact that affective factors such as anxiety have been shown to modulate its manifestations, no study has yet explored the emotional regulation of couples in which the woman suffers from PVD. Aim Ambivalence over emotional expression (AEE) is an emotional regulation variable that quantifies the extent to which a person is comfortable with the way she or he expresses emotions. We examined whether the dyadic AEE of couples in which the woman suffers from PVD was differentially associated with women's pain and couples' psychological, sexual, and relational functioning. Methods Couples (N = 254), in which the woman suffered from PVD, completed the AEE questionnaire. A couple typology of dyadic AEE was created. Main Outcome Measures Dependent measures for both members of the couple were the global measure of sexual satisfaction scale, the Beck depression inventory II, and the revised dyadic adjustment scale. The female sexual function index and the sexual history form were used to assess the sexual function of women and men, respectively. Women also completed the pain rating index of the McGill pain questionnaire. Results Couples, in which both partners were considered low on AEE, had the highest scores on sexual satisfaction (P = 0.02) and function (P < 0.01), the lowest depression scores (P < 0.01), and the best dyadic adjustment (P = 0.02). No difference in pain intensity was found between couples. Conclusions Findings suggest that, for couples in which the woman suffers from PVD, an emotional regulation that is low in ambivalence in both partners is associated with better psychological, sexual, and relational outcomes. Results indicate that emotional regulation may be important to consider in the assessment and treatment of couples coping with PVD.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.