40 resultados para Urgence
em Université de Montréal, Canada
Resumo:
"M��moire pr��sent�� �� la Facult�� des ��tudes sup��rieures en vue de l'obtention du grade de ma��trise en droit option Droit et Biotechnologies". Ce m��moire a ��t�� accept�� �� l'unanimit�� et class�� parmi les 15% des m��moires de la discipline.
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Th��se num��ris��e par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al.
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Th��se num��ris��e par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al.
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Depuis l���adoption de la Loi 90 en 2002, la Loi sur les infirmi��res et infirmiers (LII, article 36) conf��re une autonomie ��largie aux infirmi��res en reconnaissant, notamment, leur comp��tence et leur responsabilit�� �� l�����gard de l�����valuation clinique qui est repr��sent��e dans cette loi comme l���assise de l���exercice infirmier (Pellerin, 2009; OIIQ, 2010). La collecte des donn��es constitue une ��tape fondamentale du processus d�����valuation clinique (Dillon, 2007; Doyon, Br��l�� & Cloutier, 2002; Pellerin, 2009; Weber & Kelley, 2007). L���infirmi��re d���urgence a une responsabilit�� majeure �� l�����gard de la collecte des donn��es. En effet, elle ��uvre aupr��s de client��les de tous ��ges qui pr��sentent des probl��mes de sant�� vari��s, aigus et parfois urgents et doit souvent intervenir, sur la base de son ��valuation clinique, avant qu���un diagnostic n���ait ��t�� ��tabli ou que le patient n���ait ��t�� vu par le m��decin (Newberry & Criddle, 2005). Or, malgr�� toute l���importance que rev��tent dor��navant l�����valuation clinique et la collecte des donn��es au sens de la loi, ce r��le de l���infirmi��re semble tarder �� s���actualiser dans la pratique clinique. Le but de cette ��tude qualitative descriptive consiste �� explorer les perceptions d���infirmi��res, de gestionnaires en soins infirmiers et d���infirmi��res ressources cliniques d���urgence relativement �� la r��alisation de la collecte des donn��es. La norme clinique �� collecte des donn��es �� (assessment) de l���Emergency Nurses Association (1999) constitue le cadre de r��f��rence de l�����tude. Cinq entrevues individuelles semi-dirig��es de 60 minutes ainsi qu���un groupe de discussion de 90 minutes ont ��t�� r��alis��s aupr��s d���infirmi��res d���urgence. Un deuxi��me groupe de discussion a ��galement r��uni deux gestionnaires en soins infirmiers et deux infirmi��res ressources cliniques de l���urgence. Les donn��es recueillies ont ��t�� analys��es selon l���approche propos��e par Miles et Huberman (2003). Les r��sultats obtenus d��montrent que les infirmi��res consid��rent la collecte des donn��es comme un aspect fondamental de leur pratique �� l���urgence, qui contribue �� am��liorer la qualit�� et la s��curit�� des soins dispens��s. Or, les r��sultats r��v��lent ��galement que leur compr��hension de la collecte des donn��es est variable, que leur pratique est al��atoire et largement influenc��e par le mod��le biom��dical. Plusieurs facteurs influencent la pratique des infirmi��res relativement �� la collecte des donn��es notamment : la conception individuelle de la collecte des donn��es et du r��le infirmier, les relations et l���interaction avec les membres de l�����quipe des soins infirmiers et les autres professionnels ainsi que le soutien de l���organisation et des gestionnaires en soins infirmiers. Ce dernier facteur semble pr��pond��rant dans le contexte de l���urgence et d��montre que le soutien des gestionnaires et des infirmi��res ressources cliniques influence de fa��on importante la pratique dans les milieux cliniques. Cette ��tude propose des pistes de r��flexion sur la formation acad��mique, la formation continue, l���administration des soins infirmiers et la collaboration interprofessionnelle qui pourraient faciliter l���actualisation du r��le des infirmi��res �� l�����gard de la collecte des donn��es et de l�����valuation clinique afin d���am��liorer la qualit�� des soins dispens��s �� l���urgence.
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M��moire num��ris�� par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al
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M��moire num��ris�� par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al
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M��moire num��ris�� par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al.
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M��moire num��ris�� par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al
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M��moire num��ris�� par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit�� de Montr��al
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M��moire num��ris�� par la Direction des biblioth��ques de l'Universit�� de Montr��al.
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M��moire num��ris�� par la Direction des biblioth��ques de l'Universit�� de Montr��al.
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Contexte : Une tentative de suicide ant��rieure et les troubles mentaux constituent d���importants facteurs de risque de suicide. Les services de sant�� ont un r��le important �� jouer en mati��re de pr��vention. Objectif : Analyser les patrons de recours aux services �� des fins de sant�� mentale avant et apr��s une hospitalisation pour tentative de suicide chez les r��sidents montr��alais qui ont re��u un diagnostic de schizophr��nie ou de d��pression. M��thode : Les donn��es proviennent de la banque m��dico administrative jumel��e de l���Agence de Montr��al. Les caract��ristiques des patients et les taux de contacts avec les services trois mois avant et apr��s l���hospitalisation index furent compar��es. L�����chantillon repr��sentatif compte 525 Montr��alais hospitalis��s �� la suite d���une tentative de suicide (avr. 2003-d��c. 2004) qui ont re��u un diagnostic de schizophr��nie ou de d��pression. R��sultats : Le recours aux services a augment�� de mani��re significative suivant l���hospitalisation index. Les patients d��j�� en contact avec les services et les hommes avec comorbidit�� en termes d���abus de substances semblent en contact avec les services au cours des trois mois suivant leur hospitalisation contrairement aux femmes avec comorbidit��. Le profil �� urgence �� de recours aux services semble pr��dire une absence de recours aux services. Conclusions : Les services de sant�� r��pondent aux tentatives de suicide, particuli��rement chez les hommes avec troubles d���abus de substances. Cependant, des interventions sont requises en vue d���am��liorer la coordination des services, principalement pour les personnes qui se pr��sentent l���urgence, les femmes avec troubles d���abus de substances et les patients en marge du syst��me avant leur hospitalisation.
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La Turquie va-t-elle adh��rer �� l'Union europ��enne? Sa candidature a toujours ��t�� sujette �� critiques: droits de l'homme non respect��s, restrictions des droits et libert��s, notamment de la libert�� d'expression, de religion et des droits politiques. Les dossiers sensibles comme le probl��me kurde et la question chypriote sont �� l'origine des multiples plaintes contre l'��tat turc devant la Cour europ��enne des droits de l'homme. Dot��e des caract��ristiques essentielles d'un ��tat moderne et la��que, le pays dispose de structures formellement d��mocratiques, mais sa d��mocratie se r��v��le fragile: ses politiques tant internes qu'externes sont d��cid��es par un Conseil national de s��curit�� compos�� pour l'essentiel de militaires. En outre, l'arm��e qui a pris le pouvoir �� maintes reprises a donn�� au r��gime une dimension autoritaire. Cela non seulement en vertu des principes fondateurs de la R��publique (tradition centralisatrice de l'��tat turc), mais aussi de la priorit�� que l'institution militaire accorde �� la s��curit��, �� l'unit�� et �� l'identit�� nationales. En effet, les mesures d'exception (��tat d'urgence, cours de s��ret�� de l'��tat, loi anti-terroriste) ont contribu�� aux violations des droits de l'homme, d'o�� l'opposition entre le droit conventionnel et le droit national. De plus, le syst��me judiciaire et administratif instaur�� par les militaires en 1982 n'est pas con��u dans l'int��r��t des justiciables. Certes, l'acc��s �� la modernit�� n'a pu se faire que sous la contrainte et le contr��le de l'arm��e, mais le r��gime en Turquie peut-il continuer �� s'appuyer sur les��piliers de l'ordre�� que sont l'arm��e, la police et la justice ? L�����tat semble cependant se r��organiser progressivement pour permettre au pouvoir politique d'assurer un contr��leur les forces de s��curit�� et pour donner une meilleure ind��pendance �� la justice. Le processus mis en route et les crit��res impos��s pour l'adh��sion �� l'UE devraient contribuer �� mettre en ��uvre les r��formes institutionnelles capables d'harmoniser la d��mocratie �� l'��tat de droit, �� l'image des pays europ��ens. En effet, les changements r��cents sont li��s �� l'agenda europ��en. Le gouvernement turc semble ��tre d��termin�� et ambitieux dans sa vocation europ��enne. Les progr��s r��alis��s pour int��grer l'UE lui sont un moteur de propulsion devant servir au pays et �� sa population.