120 resultados para Relation russo-suisses
em Université de Montréal, Canada
Resumo:
Ce mmoire a pour objectif danalyser la nature et lampleur des enjeux de scurit dans lArctique contemporain en utilisant les outils offerts par la thorie de la scurisation de lcole de Copenhague. Cinq secteurs de scurit militaire, politique, identitaire, environnemental et conomique et quatre variables la gographie, lidentit, lhistoire et la politique sont utilises pour examiner les perceptions de scurit, les scurisations et les comportements stratgiques du Canada et de la Norvge. La 1re hypothse avance dans ce mmoire est la suivante : depuis 2005, au Canada et en Norvge, nous sommes en train dassister une scurisation progressive des enjeux non militaires dans lArctique - politiques, identitaires, environnementaux et conomiques - et les effets entre ces secteurs de scurit ont dimportantes consquences sur le secteur militaire, notamment au niveau de la multiplication de projets tatiques pour la plupart essentiellement militaires, ainsi quau niveau dun dclenchement dune scurisation de leur intgrit territoriale ou du moins un accroissement de linscurit son gard. La 2e hypothse avance est la suivante : les nouvelles perceptions de scurit et les comportements stratgiques des tats de la rgion engendrent de linscurit lintrieur des socits ainsi quune dgradation de la confiance entre les acteurs tatiques. Cela a pour effet daugmenter la division politique dans lArctique et de ralentir toute construction rgionale. Nous concluons, sur la base de nos tudes de cas, quau Canada, la souverainet, la nordicit et lintgrit territoriale sont perues comme tant menaces. De plus, les scurisations dans lArctique semblent faire partie dun renouvellement stratgique global en matire de politique trangre et de dfense. En Norvge, la Russie est considre comme lacteur principal du High North et partir de 2008, la relation russo-norvgienne a subi une scurisation. Contrairement au Canada, la Norvge prfre le statu quo stratgique dans lArctique en privilgiant les trois lments traditionnels de sa politique de dfense et de scurit - la dissuasion par lOTAN, la gestion de la Russie par lassurance, et lamlioration des relations est-ouest.
Resumo:
Rapport de recherche
Resumo:
Rapport de recherche
Resumo:
Rapport de recherche
Resumo:
Rapport de recherche
Resumo:
Un rsum en franais est galement disponible.
Droit des auteurs et droit de la consommation dans le cyberespace : la relation auteur / utilisateur
Resumo:
L'expertise psychiatrique est requise au tribunal dans plusieurs situations juridiques tant en matire criminelle que civile et elle est soumise aux mmes rgles de preuve que n'importe quelle expertise. Pourtant, la psychiatrie et son objet sont tout fait particuliers. La relation que peuvent entretenir le juge et l'expert-psychiatre est teinte par plusieurs lments de nature sociale et professionnelle, mais aussi simplement juridique et procdural. Alors que les juristes parlent de cette relation comme d'une usurpation du rle du juge par l'expert-psychiatre, les psychiatres, au contraire, croient que leur expertise est totalement pervertie dans le processus judiciaire. Mais la ralit n'est pourtant pas univoque: si l'expertise psychiatrique est de faon gnrale une preuve parmi les autres, elle peut galement occuper une place centrale dans le mcanisme dcisionnel.
Resumo:
Trois protines de la famille TRIM (Motif TRIpartite), TIF1, (Transcriptional Intermediary Factor 1) et PML (ProMyelocytic Leukaemia), font lobjet de cette tude. TIF1 est connu comme un coactivateur des rcepteurs nuclaires et TIF1 comme le corpresseur universel des protines KRAB-multidoigt de zinc dont le prototype tudi ici est ZNF74. PML possde divers rles dont le plus caractris est celui dtre lorganisateur principal et essentiel des PML-NBs (PML-Nuclear Bodies), des macrostructures nuclaires trs dynamiques regroupant et coordonnant plus de 40 protines. Il est noter que la fonction de TIF1, et PML est rgule par une modification post-traductionnelle, la sumoylation, qui implique le couplage covalent de la petite protine SUMO (Small Ubiquitin like MOdifier) des lysines de ces trois protines cibles. Cette thse propose de dvelopper des mthodes utilisant le BRET (Bioluminescence Resonance Energy Transfert) afin de dtecter dans des cellules vivantes et en temps rel des interactions non-covalentes de protines nuclaires mais aussi leur couplage covalent SUMO. En effet, le BRET na jamais t explor jusqualors pour tudier les interactions non-covalentes et covalentes de protines nuclaires. Ltude de linteraction de protines transcriptionnellement actives est parfois difficile par des mthodes classiques du fait de leur grande propension agrger (famille TRIM) ou de leur association la matrice nuclaire (ZNF74). Lhomo et lhtrodimrisation de TIF1, ainsi que leur interaction avec ZNF74 sont ici testes sur des protines entires dans des cellules vivantes de mammifres rpondant aux rsultats conflictuels de la littrature et dmontrant que le BRET peut tre avantageusement utilis comme alternative aux essais plus classiques bass sur la transcription. Du fait de lhtrodimrisation confirme de TIF1 et , le premier article prsent ouvre la possibilit dune relation troite entre les rcepteurs nuclaires et les protines KRAB- multidoigt de zinc. Des tudes prcdentes ont dmontr que la sumoylation de PML est implique dans sa dgradation induite par lAs2O3 et dpendante de RNF4, une E3 ubiquitine ligase ayant pour substrat des chanes de SUMO (polySUMO). Dans le second article, grce au dveloppement dune nouvelle application du BRET pour la dtection dinteractions covalentes et non-covalentes avec SUMO (BRETSUMO), nous tablissons un nouveau lien entre la sumoylation de PML et sa dgradation. Nous confirmons que le recrutement de RNF4 dpend de SUMO mais dmontrons galement limplication du SBD (Sumo Binding Domain) de PML dans sa dgradation induite par lAs2O3 et/ou RNF4. De plus, nous dmontrons que des srines, au sein du SBD de PML, qui sont connues comme des cibles de phosphorylation par la voie de la kinase CK2, rgulent les interactions non-covalentes de ce SBD mettant en vidence, pour la premire fois, que les interactions avec un SBD peuvent dpendre dun vnement de phosphorylation (SBD phospho-switch). Nos rsultats nous amnent proposer lhypothse que le recrutement de PML sumoyl au niveau des PML-NBs via son SBD, favorise le recrutement dune autre activit E3 ubiquitine ligase, outre celle de RNF4, PML tant lui-mme un potentiel candidat. Ceci suggre lexistence dune nouvelle relation dynamique entre phosphorylation, sumoylation et ubiquitination de PML. Finalement, il est suggr que PML est dgrad par deux voies diffrentes dpendantes de lubiquitine et du protasome; la voie de CK2 et la voie de RNF4. Enfin une tude sur la sumoylation de TIF1 est galement prsente en annexe. Cette tude caractrise les 6 lysines cibles de SUMO sur TIF1 et dmontre que la sumoylation est ncessaire lactivit rpressive de TIF1 mais nest pas implique dans son homodimrisation ou son interaction avec la bote KRAB. La sumoylation est cependant ncessaire au recrutement dhistones dactylases, dpendante de son homodimrisation et de lintgrit du domaine PHD. Alors que lon ne connat pas de rgulateur physiologique de la sumoylation outre les enzymes directement impliques dans la machinerie de sumoylation, nous mettons en vidence que la sumoylation de TIF1 est positivement rgule par son interaction avec le domaine KRAB et suggrons que ces facteurs transcriptionnels recrutent TIF1 lADN au niveau de promoteur et augmentent son activit rpressive en favorisant sa sumoylation.
Resumo:
Lobsit constitue un problme de sant publique au Canada, particulirement chez les populations autochtones o les prvalences les plus leves ont t rapportes. Daprs les crits recenss, plusieurs mthodes ont t essayes pour tudier la relation entre lalimentation et lobsit, mais les rsultats sont inconstants. Le but de cette thse est didentifier, en termes quantitatif et qualitatif, les diffrences dans lalimentation des obses et non-obses. Pour y parvenir, nous avons dvelopp une nouvelle mthode laide dune banque de donnes portant sur les enfants Mohawk de Kahnawake afin didentifier les diffrences dans les choix alimentaires. Cette mme mthode a t ensuite applique deux autres banques de donnes (celle des adultes cris de la Baie James et celle des autochtones de lenqute ESCC 2.2). Globalement, les rsultats nont pas montr de diffrences significatives dans lalimentation des participants selon les catgories dIMC en considrant les indicateurs relis la quantit et la qualit de lalimentation comme lapport nergtique total, lapport nergtique en provenance des lipides, les fibres alimentaires, la densit nergtique et la diversit alimentaire. Par contre, les rsultats de la nouvelle mthode fonde sur la slection des items alimentaires frquemment consomms par au moins 10 % des participants ont rvl que les enfants de Kahnawake risque dexcs de poids consommaient plus frquemment de croustilles (p=0.001) et moins frquemment de craquelins que les enfants avec excs de poids ou ceux ayant un poids normal (p=0.015). Ensuite, en prenant la catgorie de poids normal comme rfrence, le rapport de cte (Odds ratio : OR) dtre risque dexcs de poids tait de 2.16 (95 % IC : 1.14 - 4.09) fois plus lev chez les enfants de Kahnawake qui consommaient plus frquemment de croustilles comparativement aux non-consommateurs de croustilles, et ce, aprs ajustement pour lge. Par contre, le rapport de cte dtre risque dexcs de poids diminuait de 79 % (OR = 0.21; 95 % IC : 0.06 0.72) chez les enfants consommateurs de craquelins comparativement leurs homologues non-consommateurs. Aprs avoir corrig les quantits pour lge, on note que les enfants avec excs de poids consommaient plus de frites que les enfants risque dexcs de poids ou ceux ayant un poids normal (p = 0.027). Chez les femmes cries, les rsultats de la nouvelle mthode ont montr que le colorant caf tait associ un risque lev dobsit (OR = 4.64, 95 % IC : 1.04 - 0.54); alors que le lait faible en matires grasses tait associ un moindre risque dembonpoint (OR = 0.38, 95 % IC : 0.17 - 0.82), aprs ajustement pour lge. Quant aux hommes cris, le lait entier tait associ un moindre risque davoir de lembonpoint (OR ajust pour lge = 0.38, 95 % IC : 0.20 - 0.71) et, en termes de quantit corrige pour lge, les hommes obses buvaient plus de boissons sucres aux fruits comparativement aux hommes de poids normal ou ceux ayant de lembonpoint (p=0.015). Selon les rsultats de cette mthode applique aux donnes de lenqute ESCC 2.2, les garons risque dexcs de poids ou avec excs de poids consommaient moins frquemment de pain blanc que ceux de poids normal (p=0.048). En termes de quantit toutefois, ils consommaient plus de pain blanc (p=0.040), utilisaient plus de farine de bl (p=0.006) et de levure (p=0.002). Aprs avoir ajust les quantits consommes pour lge et lindice dactivit physique, les femmes avec embonpoint ou obses utilisaient plus de farine de bl (p< 0.001) que leurs homologues de poids normal. Chez les hommes, il n'y avait pas de diffrences ni dans les frquences de consommation ni dans les quantits consommes. Concernant les filles, leurs apports alimentaires n'taient pas valides (facteur d'activit de Goldberg < 1.2 dans la catgorie embonpoint / obse). Les rsultats de cette mthode innovatrice pourraient dune part, permettre daxer la sensibilisation sur des aliments particuliers en plus des recommandations gnrales du Guide Alimentaire Canadien. Dautre part, ils nous renvoient aux donnes biologiques de laboratoire afin didentifier les composantes des items susceptibles de contribuer au dveloppement de lobsit.
Resumo:
Travail de recherche ralis lhiver 2009 dans le cadre du cours ARV1050 Introduction larchivistique sous la direction de Sabine Mas.