2 resultados para RADIATION EFFECTS

em Université de Montréal, Canada


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Purpose Radiation therapy (RT) is often recommended in the treatment of pelvic cancers. Following RT, a high prevalence of pelvic floor dysfunctions (urinary incontinence, dyspareunia, and fecal incontinence) is reported. However, changes in pelvic floor muscles (PFMs) after RT remain unclear. The purpose of this review was to systematically document the effects of RT on the PFM structure and function in patients with cancer in the pelvic area. Methods An electronic literature search using Pubmed Central, CINAHL, Embase, and SCOPUS was performed from date of inception up to June 2014. The following keywords were used: radiotherapy, muscle tissue, and pelvic floor. Two reviewers selected the studies in accordance with Preferred Reporting Items for Systematic Reviews and Meta-Analyses Statement (PRISMA). Out of the 369 articles screened, 13 met all eligibility criteria. The methodological quality was assessed using the QualSyst scoring system, and standardized mean differences were calculated. Results Thirteen studies fulfilled all inclusion criteria, from which four were of good methodological quality. One presented strong evidence that RT affects PFM structure in men treated for prostate cancer. Four presented high-level evidence that RT affects PFM function in patients treated for rectal cancer. Meta-analysis was not possible due to heterogeneity and lack of descriptive statistics. Conclusion There is some evidence that RT has detrimental impacts on both PFMs’ structure and function. Implications for cancer survivors A better understanding of muscle damage and dysfunction following RT treatment will improve pelvic floor rehabilitation and, potentially, prevention of its detrimental impacts.

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Les collisions proton-proton produites par le LHC imposent un environnement radiatif hostile au détecteur ATLAS. Afin de quantifier les effets de cet environnement sur la performance du détecteur et la sécurité du personnel, plusieurs simulations Monte Carlo ont été réalisées. Toutefois, la mesure directe est indispensable pour suivre les taux de radiation dans ATLAS et aussi pour vérifier les prédictions des simulations. À cette fin, seize détecteurs ATLAS-MPX ont été installés à différents endroits dans les zones expérimentale et technique d'ATLAS. Ils sont composés d'un détecteur au silicium à pixels appelé MPX dont la surface active est partiellement recouverte de convertisseurs de neutrons thermiques, lents et rapides. Les détecteurs ATLAS-MPX mesurent en temps réel les champs de radiation en enregistrant les traces des particules détectées sous forme d'images matricielles. L'analyse des images acquises permet d'identifier les types des particules détectées à partir des formes de leurs traces. Dans ce but, un logiciel de reconnaissance de formes appelé MAFalda a été conçu. Étant donné que les traces des particules fortement ionisantes sont influencées par le partage de charge entre pixels adjacents, un modèle semi-empirique décrivant cet effet a été développé. Grâce à ce modèle, l'énergie des particules fortement ionisantes peut être estimée à partir de la taille de leurs traces. Les convertisseurs de neutrons qui couvrent chaque détecteur ATLAS-MPX forment six régions différentes. L'efficacité de chaque région à détecter les neutrons thermiques, lents et rapides a été déterminée par des mesures d'étalonnage avec des sources connues. L'étude de la réponse des détecteurs ATLAS-MPX à la radiation produite par les collisions frontales de protons à 7TeV dans le centre de masse a montré que le nombre de traces enregistrées est proportionnel à la luminosité du LHC. Ce résultat permet d'utiliser les détecteurs ATLAS-MPX comme moniteurs de luminosité. La méthode proposée pour mesurer et étalonner la luminosité absolue avec ces détecteurs est celle de van der Meer qui est basée sur les paramètres des faisceaux du LHC. Vu la corrélation entre la réponse des détecteurs ATLAS-MPX et la luminosité, les taux de radiation mesurés sont exprimés en termes de fluences de différents types de particules par unité de luminosité intégrée. Un écart significatif a été obtenu en comparant ces fluences avec celles prédites par GCALOR qui est l'une des simulations Monte Carlo du détecteur ATLAS. Par ailleurs, les mesures effectuées après l'arrêt des collisions proton-proton ont montré que les détecteurs ATLAS-MPX permettent d'observer la désintégration des isotopes radioactifs générés au cours des collisions. L'activation résiduelle des matériaux d'ATLAS peut être mesurée avec ces détecteurs grâce à un étalonnage en équivalent de dose ambiant.