37 resultados para Récepteur des estrogènes [Alpha] et [Bêta]

em Université de Montréal, Canada


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Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.

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Les estrogènes jouent un rle primordial dans le dveloppement et le fonctionnement des tissus reproducteurs par leurs interactions avec les récepteurs des estrogènes ERα et ERβ. Ces récepteurs nuclaires agissent comme facteurs de transcription et contrlent l’expression des gnes de faon hormono-dpendante et indpendante grce leurs deux domaines d’activation (AF-1 et AF-2). Une drgulation de leur activit transcriptionnelle est souvent l’origine de pathologies telles que le cancer du sein, de l’endomtre et des ovaires. Alors que ERα est utilis comme facteur pronostic pour l’utilisation d’agents thrapeutiques, l’importance de la valeur clinique de ERβ est encore controverse. Toutefois, des vidences rcentes lui associent un pouvoir anti-tumorignique en dmontrant que sa prsence favorise l’inhibition de la progression de ces cancers ainsi que l’efficacit des traitements. En combinaisons avec d’autres tudes, ces observations dmontrent que bien que les deux isoformes partagent une certaine similitude d’action, les ERs sont en mesure d’exercer des fonctions distinctes. Ces diffrences sont fortement attribuables au faible degr d’homologie observ entre certains domaines structuraux des ERs, comme le domaine AF-1, ce qui fait en sorte que les diffrents sites de modifications post-traductionnelles (MPTs) prsents sur les ERs sont trs peu conservs entre les isoformes. Or, lactivit transcriptionnelle ligand-dpendante et indpendante des ERs est hautement rgule par les MPTs. Elles sont impliques tous les niveaux de lactivation des ERs incluant la liaison et la sensibilit au ligand, la localisation cellulaire, la dimrisation, l’interaction avec lADN, le recrutement de corgulateurs transcriptionnels, la stabilit et larrt de la transcription. Ainsi, de par leur dissimilitude, les ERs seront diffremment rguls par la signalisation cellulaire. Comme un dbalancement de plusieurs voies de signalisation ont t associes la progression de tumeurs ER-positives ainsi qu’au dveloppement d’une rsistance, une meilleure comprhension de l’impact des MPTs sur la rgulation spcifique des ERs s’avre essentielle en vue de proposer et/ou dvelopper des traitements adquats pour les cancers gyncologiques. Les rsultats prsents dans cette thse ont pour objectif de mieux comprendre les rles des MPTs sur lactivit transcriptionnelle de ERβ qui sont, contrairement ERα, trs peu connus. Nous dmontrons une rgulation dynamique de ERβ par la phosphorylation, l’ubiquitination et la sumoylation. De plus, toutes les MPTs nouvellement dcouvertes par mes recherches se situent dans lAF-1 de ERβ et permettent de mieux comprendre le rle capital jou par ce domaine dans la rgulation de lactivit ligand-dpendante et indpendante du récepteur. Dans la premire tude, nous observons qu’en rponse aux MAPK, lAF-1 de ERβ est phosphoryl au niveau de srines spcifiques et qu’elles jouent un rle important dans la rgulation de lactivit ligand-indpendante de ERβ par la voie ubiquitine-protasome. En effet, la phosphorylation de ces srines rgule le cycle d’activation-dgradation de ERβ en modulant son ubiquitination, sa mobilit nuclaire et sa stabilit en favorisant le recrutement de l’ubiquitine ligase E6-AP. De plus, ce mcanisme d’action semble tre derrire la rgulation diffrentielle de lactivit de ERα et ERβ observe lors de l’inhibition du protasome. Dans le second papier, nous dmontrons que lactivit et la stabilit de ERβ en prsence d’estrogne sont troitement rgules par la sumoylation phosphorylation-dpendante de lAF-1, processus hautement favoris par laction de la kinase GSK-3. La sumoylation de ERβ par SUMO-1 prvient la dgradation du récepteur en entrant en comptition avec l’ubiquitination au niveau du mme site accepteur. De plus, contrairement ERα, SUMO-1 rprime lactivit de ERβ en altrant son interaction avec lADN et l’expression de ses gnes cibles dans les cellules de cancers du sein. galement, ces recherches ont permis d’identifier un motif de sumoylation dpendant de la phosphorylation (pSuM) jusqu’ lors inconnu de la communaut scientifique, offrant ainsi un outil supplmentaire la prdiction de nouveau substrat de la sumoylation. En plus de permettre une meilleure comprhension du rle des signaux intracellulaires dans la rgulation de lactivit transcriptionnelle de ERβ, nos rsultats soulignent l’importance des MPTs dans l’induction des diffrences fonctionnelles observes entre ERα et ERβ et apportent des pistes supplmentaires la comprhension de leurs rles physiopathologiques respectifs.

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Mmoire numris par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Universit de Montral

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La rgulation de la transcription des gnes par les récepteurs des estrogènes ERα et ERβ joue un rle important dans la croissance cellulaire et dans le dveloppement du cancer du sein. Une augmentation de l’expression de CXCR4 et de son ligand SDF-1/CXCL12 corrle avec un phnotype plus agressif du cancer du sein. Ici, nous dmontrons un mcanisme de boucle de rgulation positive entre la signalisation de CXCR4/SDF-1 et lactivit transcriptionnelle des ERs dans des cellules cancreuses mammaires. Lactivit transcriptionnelle de ER et l’expression de gnes cibles de ER, dont SDF-1 lui-mme, sont augmentes dans la ligne cancreuse mammaire MCF-7 en rponse SDF-1. Ces effets sont bloqus par lanti-estrogne fulvestrant et par la dltion de CXCR4. Par ailleurs, l’expression des gnes et la prolifration des cellules cancreuses mammaires MCF-7 en rponse l’estrogne sont altres par l’inhibition de CXCR4. La signalisation par les facteurs de croissance joue un rle important dans le cancer du sein. La surexpression et la drgulation de la signalisation par le récepteur activit tyrosine kinase ErbB2 corrlent avec un phnotype tumoral mammaire plus agressif et un moins bon pronostic. Cependant, comment la signalisation de ErbB2 et de CXCR4 sont fonctionnellement relies dans la rgulation de la rponse de ER dans les cellules cancreuses mammaires n’est pas connue. Nous dmontrons ici que CXCR4 rgule ngativement l’expression protique de ErbB2 et de son partenaire d’interaction ErbB3 ainsi que la phosphorylation de ErbB2. CXCR4 altre lactivation de la voie PI3-K/Akt par le dimre ErbB2/ErbB3 en rponse hrguline alors qu’en prsence de SDF-1, les niveaux d’activation sont rcuprs. Nous avons trouv que hrguline-β promouvoit la phosphorylation de la srine 339 de CXCR4, un site important pour l’internalisation et la signalisation du récepteur. De plus, le recrutement de ErbB2 CXCR4 est favoris par ErbB3 et hrguline-β. Lactivit transcriptionnelle ainsi que l’expression des gnes cibles de ER en rponse lhrguline sont releves avec l’expression de CXCR4 et partiellement rcupres avec laddition de SDF-1. Ces rsultats dmontrent que le recrutement de CXCR4 ErbB2 altre la signalisation mdie par ErbB2/ErbB3 ainsi que lactivit hormonale de ER dans des cellules cancreuses mammaires. Nous travaux ont permis d’identifier et de caractriser l’impact de la signalisation mdie par des récepteurs membranaires sur la rponse transcriptionnelle de ER dans des cellules cancreuses mammaires. La signalisation membranaire est un facteur pouvant contribuer la rsistance aux thrapies endocriniennes et donc cibler les récepteurs impliqus s’avrerait utile pour amliorer les traitements existants et mettre au point de nouvelles approches.

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Suite la rencontre d’un antigne (Ag) prsent la surface des cellules prsentatrice de lAg (CPA), les lymphocytes T nafs, ayant un récepteur des cellules T (RCT) spcifique de lAg, vont prolifrer et se diffrencier en LT effecteurs (1). Suite llimination de lAg la majorit des LTe vont mourir par apoptose alors que les restants vont se diffrencier en LT mmoire (LTm) protgeant l’organisme long terme. Les mcanismes qui permettent la diffrenciation des LTe en LTm sont encore inconnus. Pour comprendre comment les LTm CD8+ sont gnrs partir des LTe, nous avons mis lhypothse que la densit de lAg prsent par les CPA peut avoir un impact sur la slection des LT CD8+ rpondant lAg se diffrencier en LTm. De manire intressante, nos rsultats montrent qu’une immunisation avec des cellules dendritiques (DCs) exprimant un haut niveau de complexe CMH/peptide sa surface permet le dveloppement de LTm. l’inverse, le dveloppement des LTm est fortement rduit (10-20X) lorsque les souris sont immunises avec des DCs exprimant un niveau faible de complexes CMH/peptide leur surface. De plus, la quantit d’Ag n’a aucune influence ni sur l’expansion des LT CD8+ ni sur lacquisition de leurs fonctions effectrices, mais affecte de manire critique la gnration des LTm. Nos rsultats suggrent que le nombre de RCT engag lors de la reconnaissance de lAg est important pour la formation des LTm. Pour cela nous avons observ par vido-microscopie le temps d’interaction entre des LTn et des DCs. Nos rsultats montrent que le temps et la qualit de l’interaction sont dpendants de la densit d’Ag prsent par les DCs. Effectivement, nous observons une diminution dans le pourcentage de LT faisant une interaction prolonge avec les DCs quand le niveau d’Ag est faible. De plus, nous observons des variations de l’expression des facteurs de transcription clefs impliqus dans la diffrenciation des LTm tels qu’Eomes, Bcl-6 et Blimp-1. Par ailleurs, la densit d’Ag fait varier l’expression du Neuron-derived orphan nuclear receptor 1 (Nor-1). Nor-1 est impliqu dans la conversion de Bcl-2 en molcule pro-apoptotique et contribue la mort par apoptose des LTe pendant la phase de contraction. Notre modle propose que la densit de lpitope contrle la gnration des CD8+ LTm. Une meilleure comprhension des mcanismes impliqus dans la gnration des LTm permettra le dveloppement de meilleures stratgies pour la gnration de vaccin. Dans un second temps, nous avons valu le rle du signal RCT dans lhomostasie des LTm. Pour ce faire, nous avons utilis un modle de souris transgnique pour le RCT dont son expression peut tre module par un traitement la ttracycline. Ce systme nous a permis d’abolir l’expression du RCT la surface des LTm. De manire intressante, en absence de RCT exprim, les LTm CD8+ peuvent survivre long terme dans l’organisme et rester fonctionnels. De plus, une sous population des LTm CD4+ a la capacit de survivre sans RCT exprim dans un hte lymphopnique alors que lautre sous population ncessite l’expression du RCT.

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Le cancer pithlial des ovaires (CEO) est classifi en sous types histopathologiques identifis tel que sreux, endomtrioide, cellules claires et mucineux. Une analyse gntique ralise au niveau molculaire a suggr un rle pour des gnes suppresseurs de tumeur localiss sur le bras court du chromosome 3p21.3 dans la pathognse du CEO de type sreux. Notre objectif tait d’valuer le profil d’expression de HYAL-1, localis dans cette mme rgion, dans les diffrents sous types du CEO, et de vrifier une ventuelle corrlation avec l’expression des récepteurs d’hormones strodiennes. Pour se faire, nous avons analys par RT-PCR quantitative l’expression de lARNm de HYAL-1, des récepteurs d’estrogne (ER-α et ER-β) et du récepteur de progestrone (PR) dans des chantillons de tissus extraits de tumeurs du CEO provenant de deux cohortes indpendantes et dans des lignes cellulaires. Nous avons galement ralis des analyses bioinformatiques partir de l’expression de ces gnes en ayant recours une base de donnes de microarray disponible en ligne et ouverte au public. Par la suite, nous avons mesur lactivit enzymatique de HYAL-1 dans des lignes cellulaires du CEO et dans des chantillons de plasma. Nos rsultats ont montr que l’expression de lARNm de HYAL-1 tait leve dans le type cellules claires et mucineux mais non dans les types sreux et endomtrioides, autant dans les chantillons sains que de ceux provenant de tumeurs bnignes. De faon cohrente, le niveau d’ARNm et lactivit enzymatique de HYAL-1 taient levs dans les lignes cellulaires cellules claires et mucineuses. Nous avons aussi dmontr qu’il y avait une corrlation inverse entre les niveaux de lARNm de HYAL-1 et ceux d’ER-α et PR dans les chantillons de tissus de CEO du type mucineux et cellules claires. De faon similaire, nous avons not que lactivit de HYAL-1 tait leve dans le plasma de ces mmes patients. En consquence nos travaux proposent HYAL-1 en tant que biomarqueur potentiel dans le cas des CEO de type cellules claires et mucineux prsentant un faible niveau d’expression d’ER-α et PR.

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Lacide rtinoque (AR) est le ligand des récepteurs nuclaires RAR et RXR qui agissent comme facteurs de transcription ligand-inductibles et mdient ses effets biologiques. Il est connu que lAR a des proprits prodiffrenciatrices et antiprolifratives, notamment sur les cellules de lpithlium mammaire. Une perte de sensibilit de lAR a toutefois t mise en vidence dans plusieurs lignes cellulaires mammaires cancreuses, ce qui pourrait faciliter la croissance des tumeurs. Or jusqu’ici cette perte de sensibilit avait t attribue des dfauts de la voie de signalisation de lAR, cause par la perte de l’expression des récepteurs lAR dans la tumeur, bien que plusieurs lignes de cellules cancreuses y soient tout de mme trs sensibles. Peu d’tudes se sont intresses au rle de la voie de synthse de lAR dans la transformation des cellules mammaires. En effet, lAR est synthtis partir de la vitamine A, ou rtinol, son prcurseur sanguin provenant de la dite. Les cellules de lpithlium mammaire normales ont la capacit de synthtiser lAR partir du rtinol. Nos rapportons pour la premire fois que lpithlium mammaire est probablement le sige de la synthse et de la signalisation de lAR. Cela est d, au moins en partie, l’expression d’une enzyme de synthse de lAR, RALDH3, dans lpithlium mammaire normal. Dans cette tude, nous dmontrons que les cellules cancreuses de type luminal, qui ont sensibles lAR (et qui expriment le récepteur des estrogènes ER, catgorie qui regroupe 75 % des tumeurs diagnostiques) n’ont au contraire pas la capacit de sythtiser lAR, probablement en raison d’une faible expression de RALDH3 dans les tumeurs, sous l’effet des estrogènes. Cela pourrait reprsenter un nouveau mcanisme favorisant la croissance des tumeurs luminales dont les cellules prolifrent en prsence du rtinol sanguin. RALDH1, une autre enzyme de la voie de synthse de lAR, et qui partage 70 % d’identit de squence avec RALDH3, est un marqueur de tumeurs plus agressives et de la formation de mtastase. Nous montrons au contraire, que RALDH3 est un marqueur d’une moindre probabilit de dvelopper des mtastases chez les patientes atteintes d’une tumeur luminale. Cela suggre des rles different pour ces deux enzymes dans la glande mammaire. Nos rsultats indiquent que RALDH1 et 3 ont des proprits enzymatiques trs diffrentes, ce qui est en accord avec cette dernire hypothse. Nos donnes suggrent aussi que RALDH1 et 3 pourraient tre des marqueurs de populations distinctes de cellules dans la glande mammaire normale. Nous proposons d’exploiter les diffrences entre RALDH1 et 3 afin de mettre au point des mthodes de sparation des diffrentes population de cellules de lpithlium mammaire ce qui pourrait aider comprendre le rle de la synthse d’AR dans ce tissu.

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HYAL-1 (hyaluronidase-1) appartient la famille des hyaluronidases connues pour leur rle dans la dgradation de lacide hyaluronique. L’expression de HYAL-1 est leve dans de nombreux type de cancers, notamment dans le cancer de la prostate, de la vessie, des reins et du sein o il est impliqu dans la croissance tumorale et les mtastases. Rcemment notre laboratoire a aussi dmontr une expression leve de HYAL-1 dans le cancer pithlial de l’ovaire (CEO) de type mucineux et cellules claires, expression qui est inversement corrle celle du récepteur de l’oestrogne alpha (REα). Cependant, malgr le fait que le rle de HYAL-1 dans le cancer soit bien tablit, le mcanisme de sa rgulation reste encore inconnu. Le REα est un facteur de transcription qui suite sa liaison avec son ligand va rguler l’expression de plusieurs gnes. Le REα ainsi stimul par lhormone va activer la transcription de ces gnes cibles mais il est connu maintenant qu’une grande partie des gnes rguls par le REα sont en ralit rprims par ce récepteur. Dans ce travail nous proposons d’tudier le mcanisme de la rgulation du gne HYAL-1 par le REα dans le CEO cellules claires et dans le cancer du sein. L’expression ectopique du REα dans la ligne TOV21G (RE-) de mme que le traitement de la ligne MCF-7 (RE+) avec de l’oestrogne a induit une diminution du niveau d’expression de lARN m de HYAL-1. Ces rsultats nous ont permis de confirmer que HYAL-1 est un gne cible du REα. Il est aussi connu que le REα peut exercer son action par diffrents mcanismes d’action, entre autres en interagissant avec une squence d’ADN appele lment de rponse l’oestrogne (ERE), retrouv sur le promoteur des gnes cibles ou bien indirectement par des interactions protine-protine en se liant d’autres facteur de transcription tels que Sp1. Aprs avoir identifis de telles squences sur le promoteur proximal de HYAL-1, (1 ERE proximal -900 pb, 3 distaux -32350 pb, 48430, -50130 pb du site d’initiation de la transcription) en plus des 2 Sp1 connus (-60 et – 1020pb), nous avons dmontrs par immunoprcipitation de la chromatine que le REα est recrut sur le promoteur de HYAL-1 au niveau de l’ERE proximal -900 pb et du distal -32350 pb de mme que sur le site Sp1 -1020 pb. De plus, lactivit biologique de l’ERE -900 pb et du ii Sp1-1020pb t confirme par des essais de gnes rapporteurs la lucifrase. Avec son rle connu dans la tumorigense, l’identification de HYAL-1 comme gne cible du REα pourrait tre une avenue intressante pour le traitement des cancers hormono-indpendants.