3 resultados para Hermann, Friedrich Benedict Wilhelm vonHermann, Friedrich Benedict Wilhelm vonFriedrich Benedict WilhelmHermannvon

em Université de Montréal, Canada


Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Ce texte constitue la version élargie du document soumis à la revue Argus.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Thèse effectuée en cotutelle avec l'École des hautes études en sciences sociales, Paris. Pour
 respecter
 les
 droits
 d’auteur,
 la
 version
 électronique
 de
 cette
 thèse
 
a 
été 
dépouillée
 de 
ses 
documents 
visuels. 
La
 version 
intégrale
 de
 la 
thèse 
a 
été 
déposée
 au 
Service 
de 
la 
gestion 
des 
documents 
et 
des 
archives
 de
 l'Université
 de 
Montréal.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche (1844-1900) posent une évidente difficulté. Cette difficulté n’a pas échappé à l’auteur qui a recommandé à ses lecteurs, en 1887 dans sa préface à Zur Genealogie der Moral, qu’ils pratiquent en lisant ses aphorismes un « art de l’interprétation [Kunst der Auslegung] » [KSA, V, p. 255, § 8.]. Malheureusement, Nietzsche ne dit pas précisément en quoi consiste une telle lecture. Comment le lecteur doit-il alors interpréter les écrits aphoristiques de Friedrich Nietzsche? Pour répondre à cette question herméneutique nous nous servirons de la « métaphore du théâtre », présente en filigrane dans l’œuvre du philosophe. Notre mémoire se propose d’abord d’examiner ce que Nietzsche a lui-même dit au sujet des « formes brèves » (la maxime, la sentence, mais surtout l’aphorisme), et en même temps ce qu’il attend plus particulièrement d’un lecteur de ces formes d’expression. Cette analyse philologique du corpus nietzschéen se fera aussi à la lumière des commentaires que Peter Sloterdijk (1947-) et Sarah Kofman (1934-1994) ont proposés de la philosophie nietzschéenne. Après avoir nous-mêmes analysé les propos de Nietzsche portant sur ce qu’il estime être un lecteur à la hauteur de ses écrits, il sera dès lors possible de porter un jugement critique sur la pertinence et la portée des études de Sloterdijk et Kofman qui abordent eux-mêmes la mise en scène de la pensée nietzschéenne au moyen de la métaphore du théâtre. Une part importante de notre critique portera notamment sur la nature synthétique de leurs interprétations philosophiques, menées dans une perspective thématico-synthétique et trans-aphoristique, qui marginalisent à bien des égards la particularité et l’autonomie des formes d’expression au moyen desquelles Friedrich Nietzsche s’exprime.