4 resultados para Galois extensions of local commutative rings
em Université de Montréal, Canada
Resumo:
Suzumura shows that a binary relation has a weak order extension if and only if it is consistent. However, consistency is demonstrably not sufficient to extend an upper semi-continuous binary relation to an upper semicontinuous weak order. Jaffray proves that any asymmetric (or reflexive), transitive and upper semicontinuous binary relation has an upper semicontinuous strict (or weak) order extension. We provide sufficient conditions for existence of upper semicontinuous extensions of consistence rather than transitive relations. For asymmetric relations, consistency and upper semicontinuity suffice. For more general relations, we prove one theorem using a further consistency property and another with an additional continuity requirement.
Resumo:
Dans ce mémoire, on étudie les extensions galoisiennes finies de C(x). On y démontre le théorème d'existence de Riemann. Les notions de rigidité faible, rigidité et rationalité y sont développées. On y obtient le critère de rigidité qui permet de réaliser certains groupes comme groupes de Galois sur Q. Plusieurs exemples de types de ramification sont construis.
Resumo:
Since the first edition of the World Social Forum in Porto Alegre, Brazil, 2001, similar initiatives have flourished at the local scales. In the existing literature, local social forums are generally considered to be a natural replication of the world social forums. Beyond the label “social forums,” what do the practices of local social forums specifically entail and what is the meaning of these practices for local activists?I propose a comparison of eight cases situated in two distinct societies (Quebec and France). I use a multi-approach methodology, combining direct observation, focus groups, interviews, and documentary analysis.I show that despite strong national differences, a highly decentralized process, and the strong autonomy of local actors, local social forums share structural characteristics, and the expression “social forum” is associated with ways of doing things that limit the variety of local social forum initiatives: organizers share a common intentionality; the mode of operation of local social forum process and event belong to the same political culture and translate into the same practices; and the outputs of these gatherings are similar in terms of the building of ties. Overall, local social forums are used as tactical and cultural collective action repertoires by actors, redefining the boundaries of social resistance and its practices.
Resumo:
Puisque l’altération des habitats d’eau douce augmente, il devient critique d’identifier les composantes de l’habitat qui influencent les métriques de la productivité des pêcheries. Nous avons comparé la contribution relative de trois types de variables d’habitat à l’explication de la variance de métriques d’abondance, de biomasse et de richesse à l’aide de modèles d’habitat de poissons, et avons identifié les variables d’habitat les plus efficaces à expliquer ces variations. Au cours des étés 2012 et 2013, les communautés de poissons de 43 sites littoraux ont été échantillonnées dans le Lac du Bonnet, un réservoir dans le Sud-est du Manitoba (Canada). Sept scénarios d’échantillonnage, différant par l’engin de pêche, l’année et le moment de la journée, ont été utilisés pour estimer l’abondance, la biomasse et la richesse à chaque site, toutes espèces confondues. Trois types de variables d’habitat ont été évalués: des variables locales (à l’intérieur du site), des variables latérales (caractérisation de la berge) et des variables contextuelles (position relative à des attributs du paysage). Les variables d’habitat locales et contextuelles expliquaient en moyenne un total de 44 % (R2 ajusté) de la variation des métriques de la productivité des pêcheries, alors que les variables d’habitat latérales expliquaient seulement 2 % de la variation. Les variables les plus souvent significatives sont la couverture de macrophytes, la distance aux tributaires d’une largeur ≥ 50 m et la distance aux marais d’une superficie ≥ 100 000 m2, ce qui suggère que ces variables sont les plus efficaces à expliquer la variation des métriques de la productivité des pêcheries dans la zone littorale des réservoirs.