4 resultados para Feminist theater
em Université de Montréal, Canada
Resumo:
In this paper I criticize Alison Jaggar’s descriptions of feminist political theories. I propose an alternative classification of feminist theories that I think more accurately reflects the multiplication of feminist theories and philosophies. There are two main categories, “street theory” and academic theories, each with two sub-divisions, political spectrum and “differences” under street theory, and directly and indirectly political analyses under academic theories. My view explains why there are no radical feminists outside of North America and why there are so few socialist feminists inside North America. I argue, controversially, that radical feminism is a radical version of liberalism. I argue that “difference” feminist theories – theory by and about feminists of colour, queer feminists, feminists with disabilities and so on – belong in a separate sub-category of street theory, because they’ve had profound effects on feminist activism not tracked by traditional left-to-right classifications. Finally, I argue that, while academic feminist theories such as feminist existentialism or feminist sociological theory are generally unconnected to movement activism, they provide important feminist insights that may become importanby showing the advantages of my classification over Jaggar’s views.
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Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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En ce qui concerne la littérature féministe, il s’y trouve un chevauchement important et intéressant entre le manifesto en tant que forme littéraire et la fiction utopique. Les deux se servent d’une image imaginée de l'avenir ou d'un meilleur état futur pour critiquer et dénoncer tant les conditions actuelles que celles du passée qui ont donné naissance à celles-là. Cette thèse aborde à la fois le manifesto et la fiction utopique / dystopique pour élaborer les conditions de l’espace essentiel des femmes et du féminin. Ce lieu utopique se veut plus qu'un endroit où aller ; il exprime les origines du féminin, lesquelles vont au-delà de ce qui est masculin en visant un épanouissement du féminin en dehors et au-delà de la stricte dichotomie masculin-féminin de la société patriarcale. J'examine d'abord les termes en usage puis je discute du manifesto comme une forme littéraire d'un intérêt particulier pour les écrivains féministes. Je passe ensuite en revue des théories de fiction utopique, lesquelles me conduisent à des possibilités fructueuses du langage pour assurer une voix aux femmes ainsi que l’expression du féminin. Je prends comme exemple le livre The Activist de Renée Gladman pour appuyer mes arguments concernant le pouvoir performatif du manifesto comme une forme qui s’empiète sur la fiction utopique dans le but d'imaginer l'espace du féminin. Dans la deuxième partie de la thèse, j’entre dans une utopie fictive dans le cadre d'une exploration personnelle de ce qu’est le féminin et son expression. Le récit emmène le lecteur au pays de Cwenaland. A chaque étape de la narration d’autres voix percent et découpent le texte. Certaines sont sous la forme d'une image ou d'un portrait, d'autres sont des cris ou des gémissements qui dérangent la voix narrative. Ces voix en tangente et en diagonale enracinent mon utopie fictive dans la diversité d'expérience et d'expression féminine.
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Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.