5 resultados para EL BALADRO DEL SABIO MERLIN

em Université de Montréal, Canada


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Résumé L’hypothèse de la période critique, émise par Lenneberg dans les années 60, affirmait qu’un enfant pouvait acquérir une langue seconde, sans difficulté, environ jusqu’à l’âge de la puberté. Après cette période, l’apprentissage d’un autre idiome serait difficile, dû à la latéralisation du cerveau. En même temps, les travaux de Chomsky enrichirent cette théorie avec l’idée de la Grammaire universelle, laquelle établit que nous possédons tous, dès la naissance, les éléments linguistiques universels qui nous permettent d’acquérir une langue maternelle. Tant que la Grammaire universelle est active, notre langue maternelle se développe et c’est pourquoi, si nous apprenons une autre langue pendant cette période, l’acquisition de celle-ci se produit de manière presque naturelle. Pour cette raison, plus une langue est apprise tôt, plus elle sera maîtrisée avec succès. En nous appuyant sur ce cadre théorique ainsi que sur l’Analyse d’erreurs, outil qui permet au professeur de prédire quelques erreurs avec la finalité de créer des stratégies d’apprentissage d’une langue seconde, nous tenterons de vérifier dans le présent travail si l’âge est un facteur qui influence positivement ou négativement l’apprentissage d’une langue seconde, l’espagnol dans ce cas-ci, par le biais de l’analyse comparative des prépositions a/ en dans deux groupes d’étudiants différents.

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Cette recherche se construit autour d’un travail de terrain réalisé dans trois communautés autochtones quichuas vivant au nord de l’Équateur. Il prétend étudier l’incidence que devrait avoir la diversité culturelle et linguistique dans les politiques éducatives en milieu plurilingue et multiculturel. En Amérique hispanique, l’éducation des peuples autochtones n’a jamais été très attentive à leurs besoins spécifiques en ce qui a trait à l’apprentissage de l’espagnol comme langue seconde. En effet, les motivations des apprenants, plus instrumentales qu’intégratives, prouvent que les autochtones apprennent la langue espagnole presqu’exclusivement pour communiquer, sans vraiment être intéressés au groupe natif de cette langue. De plus, notre recherche sur le terrain avec les apprenants du peuple Otavalo nous a démontré que leur très forte identification ethnique influence l’acquisition de l’espagnol. D’une part, ils sont plus enclins à se distinguer des autres, spécialement des hispano parlants, et de l’autre, ils réussissent plus difficilement à atteindre une compétence élevée dans la langue seconde. Notre recherche conclut donc que l’éducation, qu’elle soit issue du système national ou bilingue, devrait davantage prendre en considération l’identité ethnolinguistique des nombreux enfants indigènes, afin de ne pas préjudicier leurs droits. Ceci permettrait de favoriser un apprentissage positif et significatif de l’espagnol comme langue seconde ou langue maternelle, mais tout en consolidant l’identité autochtone des apprenants.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Pourquoi, dans un contexte migratoire, certains enfants parlent la langue maternelle de leurs parents tandis que d’autres ne l'acquièrent jamais? Cette question nous paraît particulièrement pertinente dans le contexte multiculturel et plurilingue du Canada, plus particulièrement à Montréal, où on trouve « le plus haut pourcentage de distribution du groupe minoritaire ‘latino-américain’ de tout le pays » (Pato 2010: 1). L’objectif principal de cette recherche est d’apporter de nouvelles connaissances en lien avec la transmission et le maintien de l’espagnol comme langue d’origine à Montréal, sujet très peu exploré à ce jour. Afin de mieux comprendre les facteurs impliqués dans la transmission intergénérationnelle de la langue, nous avons étudié deux groupes, les parents et les enfants, formés de huit participants chacun. Les données recueillies à travers de questionnaires et d’entrevues sociolinguistiques apportent des réponses aux questions suivantes : (1) Quels sont les principaux facteurs impliqués dans le maintien de l’espagnol comme langue d’origine à Montréal ? (2) Quelles sont les attitudes des parents et des enfants face à la conservation et à la perte de l’espagnol ? (3) Quelles types de stratégies emploient les parents pour maintenir l’utilisation de l’espagnol à la maison ? (4) Quelle importance a le bilinguisme (français – anglais) dans le maintien et la perte de l’espagnol à Montréal ? L’analyse de nos données nous permet d’identifier que les cinq principaux facteurs impliqués dans la conservation de l’espagnol à Montréal sont : (i) l’exposition à la langue ; (ii) l’utilisation de la langue formelle ; (iii) la motivation ; (iv) le contact avec la famille ; (v) l’exposition à la culture d’origine. Notre recherche démontre que les familles étudiées ont une attitude favorable face à la conservation de leur langue, ce qui ne semble pas être déterminée par l’implémentation des « politiques linguistiques » ou stratégies explicites à la maison. Pour terminer, nos données démontrent aussi que, contrairement à notre hypothèse, le contexte bilingue particulier à Montréal ne semble pas influer de façon significative sur la conservation de l’espagnol.