98 resultados para Le Théâtre Repère
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Si les études intermédiales, qui sont nées dans le sillon de la révolution numérique, n’ont pas vingt ans, les processus qu’elles contribuent à mettre au jour remontent bien au-delà de cette dernière vague technologique majeure, comme l’a clairement illustré « Remediation : understanding new media », l’ouvrage-clé que Jay Davis Bolter et Richard Grusin publiaient en 2000. [...]
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Tout le monde a entendu parler du burlesque, mais cette pratique reste le parent pauvre du champ théâtral. D'abord, parce qu'il a été longtemps discrédité, au Québec comme ailleurs. Mais aussi parce qu'on a peine à le définir et à le distinguer d'autres pratiques nord-américaines de la même époque, tels que les spectacles de variétés, le vaudeville américain et les revues. [...]
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En juin 1995 se tenait à Montréal le congrès de la FIRT (Fédération internationale pour la recherche théâtrale) sur l'acteur/l'actrice en scène : corps/jeu/voix. Ce congrès dont nous étions les organisateurs a donné lieu à quinze (15) conférences, cent cinquante (150) communications réparties en séances thématiques et groupes de travail. Le sujet a suscité un immense intérêt dont font foi les discussions et le nombre élevé de participants (500). Une fois le Congrès passé, nous avons eu le désir de poursuivre le travail entrepris en publiant un certain nombre d'interventions sur des sujets spécifiques. C'est ainsi que nous avons envisagé la parution de livres et de numéros spéciaux de revues, entre autres sur la formation de l'acteur, les théories du jeu, l'interculturalisme, le corps théâtral et le regard du spectateur.
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Compte rendu critique de l'ouvrage de Chantal Hébert « Le burlesque québécois et américain » (Québec : Les Presses de l’Université Laval, coll. « Vie des lettres québécoises », 1989. 331 p.
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Critique de la pièce de théâtre « Ne blâmez jamais les Bédouins » de René-Daniel Dubois (spectacle solo; texte et interprétation : René-Daniel Dubois; mise en scène et scénographie : Joseph Saint Gelais. Spectacle des Productions Nero Strassenbahn Endstation.)
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Heureuse idée que de présenter une oeuvre d'Euripide (480 à 406 avant J.-C). Les cinéastes (Jules Dassin avec « Médée » et Cacoyannis avec « Les Troyennes » et « Iphigénie ») avaient bien découvert le filon, mais les gens de théâtre l'avaient, paradoxalement, oublié. Cela se comprend. Les pièces d'Euripide souffrent mal des traductions lyrico-universitaires. Il fallait, pour remettre Euripide à jour et lui rendre sa verdeur, une personne vouée au théâtre et rompue au jeu. [...]
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Diverses œuvres de poésie moderne et contemporaine mettent en scène le rapport à l’écriture d’un sujet lyrique. Une telle problématique trouve une incarnation particulièrement intéressante dans l’œuvre de Patrice Desbiens, notamment dans certains de ses textes des années 1990 et 2000, où elle apparaît avec plus d’acuité. Pourtant, sa pratique auto-réflexive a fait l’objet de très peu de recherches. Afin d’éclairer le rapport qu’entretient Patrice Desbiens avec l’écriture et avec la poésie, ce mémoire s’intéresse à deux de ses textes, soit La fissure de la fiction (1997) et Désâmé, (2005) en accordant davantage d’espace au premier, que je considère comme un texte-charnière dans la production poétique de Desbiens. Dans un premier temps, mon travail présente ainsi la précarité qui caractérise le protagoniste de La fissure de la fiction et, sous un autre angle, le sujet lyrique de Désâmé. Dans cette optique, la figure du poète est étudiée dans La fissure de la fiction à la lumière de la reprise ironique du mythe de la malédiction littéraire et du sens que la réactualisation de ce mythe confère au personnage dans ce récit poétique. Dans un second temps, ce mémoire s’attache à montrer que la cohérence et la vraisemblance des univers mis en scène dans La fissure de la fiction et Désâmé sont minées. C’est à l’aune de ces analyses que peut ensuite être envisagé le rôle d’une poésie qui, en dernière instance, comporte malgré tout un caractère consolateur, en dépit ou en raison de l’esthétique du grotesque, tantôt comique, tantôt tragique, dans laquelle elle s’inscrit et que nous tâcherons de mettre en lumière.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.