96 resultados para Lymphocytes T CD4


Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Objectifs: Chez les patients atteints de sclrose en plaques (SEP), des lymphocytes pro-inflammatoires utilisent des molcules dadhrence afin de parvenir traverser la barrire hmo-encphalique (BHE) et former des lsions multifocales dans le systme nerveux central (SNC). Dans le contexte de la SEP, les lymphocytes CD4 auto-agressifs polariss en TH17 (scrtant de lIL-17) sont reconnus comme contribuant la formation des lsions. Le rle des lymphocytes CD8 TC17 est quant lui encore mal dfini. Lidentification de marqueurs de surface spcifiquement exprims par les lymphocytes TH17 et TC17 faciliterait la caractrisation de ces sous-populations pathogniques et fournirait de nouvelles cibles thrapeutiques pour traiter la SEP. Mthodologie: Nous avons identifi MCAM lors danalyses protomiques de cellules endothliales de la BHE humaine et de lymphocytes T humains. Nous avons caractris le phnotype et la fonction de ces cellules exprimant MCAM ex vivo, in vitro, in situ et in vivo, partir de matriel obtenu de tmoins (contrles), de patients atteints de SEP et danimaux atteints dencphalomylite auto-immune exprimentale (EAE). Rsultats: MCAM est exprim la fois par les cellules endothliales de la BHE humaine et par une sous-population de lymphocytes T effecteurs mmoire CD161+ et CCR6+. Les lymphocytes CD4 et CD8 MCAM+ expriment plus dIL-17, IL-22, GM-CSF et granzyme B (Gz B) que les lymphocytes MCAMneg. De plus, lexpression de MCAM est fortement augmente la surface des lymphocytes T CD4+ et CD8+ lors des pousses de SEP, alors que les traitements immunomodulateurs en diminuent lexpression. In situ, lexpression de MCAM par les cellules endothliales de la BHE est plus marque au site des lsions de SEP et dEAE, et on retrouve des lymphocytes CD4 et CD8 MCAM+ au sein de ces infiltrats privasculaires du SNC. In vitro, les lymphocytes CD8 MCAM+ causent plus de mort oligodendrocytaire et bloquer MCAM diminue la transmigration des CD8 TC17 et des CD4 TH17 travers les cellules endothliales de la BHE humaine. In vivo, dplter les lymphocytes CD4 ou CD8 MCAM+ amliore les signes cliniques de lEAE par transfert. Par ailleurs, lexpression de MCAM est rgule la hausse la surface des lymphocytes CD4 et CD8 de la souris transgnique TCR1640, un modle animal dEAE spontane. Finalement, bloquer MCAM attnue les dficits neurologiques chroniques aussi bien du modle dEAE induite avec le MOG35-55 que du modle dEAE spontane. Conclusion: Nos donnes dmontrent que les lymphocytes encphalitogniques produisant de lIL-17 et prsentant une capacit effectrice et migratoire marque expriment MCAM. MCAM pourrait servir de biomarqueur en SEP et constituer une cible thrapeutique valable pour traiter les conditions neuroinflammatoires.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Viral protein U (Vpu) is an accessory protein of HIV1 that efficiently targets BST2/Tetherin, a cellular restriction factor that acts as molecular anchor impeding the release of various enveloped viruses from the cell surface. The recently discovered natural receptor of BST2 is ILT7, a molecule exclusively expressed at the surface of the professional type 1 interferon (IFN1) producing cells, plasmacytoid dendritic cells (pDCs). The interaction between BST2 and ILT7 has been reported to efficiently induce a repression of IFN1 secretion by pDCs. Here, we investigated the impact of Vpu mediated antagonism of BST2, in regards to this newly described immune function of BST2. Using a system of CD4+ T cell lines infected with wild type or Vpudeficient HIV-1 cultured with peripheral blood mononuclear cells or purified pDCs, we report that the presence of Vpu efficiently reduces IFN-1 production from sensing pDCs. Furthermore, we observed that this Vpu effect is dependent on the availability of BST2 molecules at the surface of the infected cells, since the Vpu's immunoregulation is abrogated when blocking any potential BST2 trans interaction with antiBST2 antibodies. Similarly, depleting ILT7 from pDCs by means of small interfering RNA treatment equally negates the downregulation of pDC IFN-1 secretion by Vpu. Finally, the use of recombinant soluble ILT7 competes with pDCbound ILT7 for the free BST2 and similarly results in high IFN-1 production, causing an identical phenotype. Overall, our results demonstrate that Vpu heightens ILT7 activation and subsequent repression of IFN1 production by pDCs in response to HIV1 infected CD4+ T cells by promoting it's trans interaction with infected T cell bound BST2, through a yet uncharacterized mechanism. By allowing efficient particle release and restraining pDCs antiviral functions, Vpu exerts a double role on BST2 that seems crucial for the replication and dissemination of HIV1.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Des tudes antrieures ont indiqu que lIL-27 supprime le dveloppement de lencphalomylite auto-immune exprimentale (EAE), un modle murin de la sclrose en plaques (SEP). Lexpression en ARNm dIL-27 est maximale au pic du dveloppement de lEAE. Cependant, sa contribution dans la pathogense de la SEP demeure irrsolue. Nous avons investigu si lIL-27 contribue moduler les rponses immunes dans le systme nerveux central (SNC) de patients SEP. Nos rsultats dimmunohistochimie sur chantillons post-mortem de cerveaux humains ont rvl que la production des deux sous-units dIL-27 (EBI-3 et p28) est plus leve chez des patients compars des contrles. De plus, les astrocytes (GFAP) et les microglies/macrophages (Iba1) reprsentent des sources biologiques importantes de lIL-27 dans les lsions. Les lymphocytes T CD4 et CD8 qui infiltrent le SNC des patients expriment dailleurs le rcepteur de lIL-27 compos des chanes gp130 et TCCR, supportant le concept que ces cellules pourraient rpondre aux sources locales dIL-27. Nous avons galement dmontr que des combinaisons de cytokines pro-inflammatoires (IFN, IL-1 et TNF) augmentent lexpression in vitro dIL-27 par les astrocytes et macrophages humains, et que les microglies/macrophages de phnotype M1 produisent lIL-27. Enfin, nous avons dmontr que les astrocytes humains expriment aussi le rcepteur lIL-27 et rpondent lIL-27 par la phosphorylation de STAT1, mais pas de STAT3. Une telle signalisation dans ces cellules mne laugmentation dexpression de la molcule de co-inhibition PD-L1 et de la scrtion de la chimiokine CXCL10.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Les cellules mylodes incluant les monocytes, les macrophages et les cellules dendritiques (DCs, dendritic cells) contribuent la pathognse de linfection VIH-1 en participant la dissmination du virus, mais galement en reprsentant des rservoirs viraux potentiels. Leurs fonctions sont exploites par le VIH-1 afin dassurer sa propagation travers lorganisme. Notamment, une infection VIH-1 est associe une altration de la prsentation antignique et la perte de lymphocytes T CD4+ spcifiques des antignes. Lautophagie est un processus catabolique universel impliqu dans la rgulation de la prsentation antignique subsquente la neutralisation/destruction du pathogne. Des tudes rcentes suggrent que le VIH-1 altre le mcanisme dautophagie afin dassurer sa survie. Le premier volet de ce projet de matrise a vis la caractrisation des effets du VIH-1 sur lautophagie dans les DCs drives de monocytes circulants (MDDC, monocyte-derived dendritic cells) et lidentification des stratgies thrapeutiques pour contrecarrer ces effets. Les objectifs spcifiques ont t de : (i) caractriser lexpression de marqueurs de maturation sur des MDDC exposes au VIH-1 in vitro, (ii) quantifier lexpression des protines lies la rgulation positive (i.e., ATG5, LC3, p62) et ngative (i.e., mTOR) de lautophagie dans les MDDC exposes au VIH, (iii) dterminer le rle de lautophagie dans la trans infection du VIH-1 aux lymphocytes T CD4+ et (iv) explorer limpact de lautophagie sur la prsentation antignique par les MDDC infectes VIH-1 in vitro. Nos rsultats dmontrent quune exposition des MDDC au VIH-1 in vitro altre dramatiquement leur maturation et leur habilet induire la prolifration des cellules T autologues en rponse Staphylococcus aureus et Cytomegalovirus (CMV) mais pas la rponse induite par Staphylococcal enterotoxin B (SEB). Nous dmontrons que lexposition des MDDC au VIH sassocie une augmentation de lexpression de la protine mTOR totale et de sa forme phosphoryle (phospho-mTOR) et de la protine p62. Le traitement des MDDC la rapamycine diminue lexpression de mTOR et rduit la capacit de trans infection du VIH-1 par les MDDC, sans toutefois restaurer leur potentiel immunogne. En effet, nous observons que la rapamycine rduit lexpression de CD83 par les MDDC et augmente lexpression de CCR7, indiquant ainsi que leffet immunosuppresseur document de la rapamycine est associ une dfaillance de maturation des MDDC. Le second volet de ce projet de recherche sest intress la contribution des cellules mylodes la persistance virale chez les sujets infects par le VIH-1 sous thrapie antirtrovirale. Les objectifs spcifiques ont t : (i) dvaluer la prsence de diffrentes formes dADN viral dans les monocytes circulants de patients infects par le VIH-1 et (ii) de mesurer lintgration et la rplication virale dans des macrophages drivs de monocytes (MDM) de patients infects sous ART. Nos rsultats indiquent que les monocytes portent des formes prcoces de transcription virale inverse (ADN du VIH RU5) et que, malgr une charge virale plasmatique indtectable sous ART, les MDM supportent la rplication virale. Ces donnes trs prliminaires apportent des vidences en faveur de la contribution des cellules mylodes la persistance virale sous ART et reprsentent une ouverture pour un projet de recherche plus complexe dans le futur. En somme, nos rsultats dmontrent que le VIH-1 altre le potentiel immunogne des MDDC et que la rapamycine peut tre employe pour limiter la trans infection des lymphocytes T CD4+ par les MDDC. Nanmoins, lincapacit de la rapamycine rtablir le potentiel immunogne des MDDC incite identifier de nouvelles stratgies manipulant lautophagie pour une restauration optimale de la comptence immunitaire chez les sujets infects VIH-1. Les cellules mylodes jouent un rle primordial dans la dissmination et la persistance virale et doivent donc tre cibles par les stratgies actuelles dradication des rservoirs du VIH sous ART.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

La prsentation antignique par les molcules de classe II du complexe majeur dhistocompatibilit (CMH II) est un mcanisme essentiel au contrle des pathognes par le systme immunitaire. Le CMH II humain existe en trois isotypes, HLA-DP, DQ et DR, tous des htrodimres composs dune chane et dune chane . Le CMH II est entre autres exprim la surface des cellules prsentatrices dantignes (APCs) et des cellules pithliales actives et a pour fonction de prsenter des peptides dorigine exogne aux lymphocytes T CD4+. Loligomrisation et le trafic intracellulaire du CMH II sont largement facilits par une chaperone, la chane invariante (Ii). Il sagit dune protine non-polymorphique de type II. Aprs sa biosynthse dans le rticulum endoplasmique (ER), Ii htro- ou homotrimrise, puis interagit via sa rgion CLIP avec le CMH II pour former un complexe Ii. Le complexe sort du ER pour entamer son chemin vers diffrents compartiments et la surface cellulaire. Chez lhomme, quatre isoformes dIi sont rpertories : p33, p35, p41 et p43. Les deux isoformes exprimes de manire prdominante, Iip33 et p35, diffrent par une extension N-terminale de 16 acides amins porte par Iip35. Cette extension prsente un motif de rtention au rticulum endoplasmique (ERM) compos des rsidus RXR. Ce motif doit tre masqu par la chane du CMH II pour permettre au complexe de quitter le ER. Notre groupe sest intress au mcanisme du masquage et au mode de sortie du ER des complexes Ii. Nous montrons ici que linteraction directe, ou en cis, entre la chane du CMH II et Iip35 dans une structure Ii est essentielle pour sa sortie du ER, promouvant la formation de structures de haut niveau de complexit. Par ailleurs, nous dmontrons que NleA, un facteur de virulence bactrien, permet daltrer le trafic de complexes Ii comportant Iip35. Ce phnotype est mdi par linteraction entre p35 et les sous-units de COPII. Bref, Iip35 joue un rle central dans la formation des complexes Ii et leur transport hors du ER. Ceci fait dIip35 un rgulateur clef de la prsentation antignique par le CMH II.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

La thrapie antirtrovirale prvient la transmission mre-enfant du VIH dans plus de 98% des cas lorsquadministre pendant la grossesse, le travail et au nouveau-n. Laccessibilit la thrapie antirtrovirale dans prs de 70% des 1,5 millions cas de grossesses VIH+ dans le monde mne la naissance de plus dun million denfants exposs non infects chaque anne. Le nombre denfants exposs non infects est la hausse ainsi que les proccupations concernant leur sant. En effet, plusieurs groupes ont signal une augmentation de la morbidit et de la mortalit chez les enfants exposs non infects. Lanalyse des donnes rtrospectives de 705 enfants exposs non infects de la cohorte mre-enfant du CMIS a rvl qu 2 mois dge, les enfants ns de mres ayant une charge virale suprieure 1,000 copies dARN / ml avaient une frquence de lymphocytes B significativement plus levs par rapport aux enfants exposs non infects ns de mres ayant une charge virale indtectable. Lobjectif de cette tude est de caractriser ces anomalies. Les lymphocytes, provenant du sang de cordon ombilical et de sang veineux obtenu 6 et 12 mois dge, ont t phnotyps par cytomtrie en flux laide des marqueurs CD3 / CD10 / CD14 / CD16 / CD19 / CD20 / CD21 / CD27 / IgM pour les lymphocytes B et CD4 / CD8 / CD3 / CCR7 / CD45RA pour les lymphocytes T. De plus, afin dtudier les capacits fonctionnelles des lymphocytes B CD19+, la rponse antigne-spcifique au vaccin antittanique a t mesure par marquage avec des ttramres fluorescents de fragment C du toxode ttanique. Nos travaux ont mis en vidence des diffrences statistiquement significatives entre les enfants exposs non-infects (ENI) ns de mres avec une charge virale dtectable comparativement ceux ns de mres avec une charge virale indtectable. la naissance, les enfants ENI ns de mres avec une charge virale dtectable avaient significativement moins de lymphocytes B totaux, plus de lymphocytes B mmoires classiques, activs, plasmablastes et lymphocytes T CD8+ mmoires centrales. 6 mois, ils avaient significativement plus de lymphocytes B nafs et significativement moins de lymphocytes T CD8+ effecteurs mmoires. 12 mois dge, ils avaient significativement plus de lymphocytes B et T CD8+ totaux; significativement moins de lymphocytes T CD4+ totaux et leurs lymphocytes T affichaient un profil significativement plus activ (plus de cellules mmoires). Lanalyse de la rponse antigne-spcifique a rvl une frquence plus lev de lymphocytes B mmoires IgM+ suggrant que les enfants ns de mres avec une virmie dtectable ont plus de mal tablir une mmoire immunitaire efficace face au vaccin antittanique. Nos donnes suggrent quil y a exposition durant le premier trimestre de grossesse la virmie maternelle et que cette exposition impacte le systme immunitaire en dveloppement du ftus. Les mcanismes sous-jacents causant ces anomalies doivent encore tre lucids et lpuisement du compartiment T la naissance et 6 mois reste tre investigu. Dans un pays industrialis o laccs aux soins est facilit, ces anomalies ont des consquences modres mais dans des pays faible et moyen revenu, les consquences peuvent tre beaucoup plus tragiques voir fatales.

Relevância:

60.00% 60.00%

Publicador:

Resumo:

Streptococcus suis est un important pathogne porcin et humain, causant mningites et septicmies. Des tudes suggrent que S. suis dispose de facteurs de virulence, notamment sa capsule polysaccharidique (CPS), qui lui permettent de moduler les fonctions des cellules dendritiques (DCs), situes linterface entre limmunit inne et adaptative. Les difficults dvelopper un vaccin efficace suggrent aussi une altration de la voie T dpendante. Lobjectif gnral du projet tait dvaluer leffet de S. suis sur lactivation des cellules T CD4+ ainsi que sur la capacit de prsentation antignique des DCs. Nous avons tudi dans un modle murin in vivo la rponse T CD4+ mmoire lors dinfections primaire et secondaire. Une faible rponse mmoire centrale a t obtenue, suggrant que la rponse adaptative gnre contre S. suis est limite. tant donn limportance du complexe majeur dhistocompatibilit (MHC) de classe II dans la prsentation antignique, nous avons valu in vitro et in vivo lexpression de ces molcules chez les DCs. Une modulation de lexpression du MHC-II par S. suis a t observe. Lanalyse de la transcription de gnes impliqus dans la rgulation transcriptionnelle et post-transcriptionnelle du MHC-II nous permet de suggrer que S. suis rgule la baisse la synthse de nouvelles molcules et favorise leur dgradation lysosomale. Cette stratgie, dans laquelle la CPS ne jouerait quun rle partiel, permettrait S. suis dchapper la rponse adaptative T dpendante. Les rsultats de cette tude fourniront de nouvelles perspectives dans la comprhension de la rponse adaptative lors de linfection par S. suis.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Although they are considered as antigen presenting cells (APC), the role of antigen-unspecific B-lymphocytes in antigen presentation and T lymphocyte stimulation remains controversial. In this paper, we tested the capacity of normal human peripheral activated B cells to stimulate T cells using melanoma antigens or melanoma cell lysates. B lymphocytes activated through CD40 ligation and then pulsed with tumor antigens efficiently processed and presented MHC class II restricted peptides to specific CD4+ T cell clones. This suggests that CD40-activated B cells have the functional and molecular competence to present MHC class II epitopes when pulsed with exogenous antigens, thereby making them a relevant source of APC to generate T cells. To test this hypothesis, CD40-activated B cells were pulsed with a lysate prepared from melanoma cells and used to stimulate peripheral autologous T cells. Interestingly, T cells specific to melanoma antigens were generated. Further analysis of these T cell clones revealed that they recognized MHC class II restricted epitopes from tyrosinase, a known melanoma tumor antigen. The efficient antigen presentation by antigen-unspecific activated B cells was correlated with a down-regulation in the expression of HLA-DO, a B cell specific protein known to interfere with HLA-DM function. Because HLA-DM is important in MHC class II peptide loading, the observed decrease in HLA-DO may partially explain the enhanced antigen presentation following B-cell activation. Results globally suggest that when they are properly activated, antigen-unspecific B-lymphocytes can present exogenous antigens by MHC class II molecules and stimulate peripheral antigen-specific T cells. Antigen presentation by activated B cells could be exploited for immunotherapy by allowing the in vitro generation of T cells specific against antigens expressed by tumors or viruses.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Affiliation: Dpartement de microbiologie et immunologie, Facult de mdecine, Universit de Montral & Institut de Recherches Cliniques de Montral

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les voies de signalisation des MAP kinases (MAPK) conventionnelles jouent des rles essentiels pendant le dveloppement des lymphocytes T (LT) ainsi que lors de leur activation suite la reconnaissance antignique. En raison de ses diffrences structurelles ainsi que de son mode de rgulation, ERK3 fait partie des MAPK dites non-conventionnelles. Encore aujourdhui, les vnements menant lactivation de ERK3, ses substrats ou partenaires ainsi que sa fonction physiologique demeurent peu caractriss. Nous avons entrepris dans cette thse dtudier le rle de ERK3 lors du dveloppement et de lactivation des LT en utilisant un modle de souris dficient pour lexpression de ERK3. Nous avons premirement tabli que ERK3 est exprime chez les thymocytes. Ensuite, nous avons valu le dveloppement thymique chez la souris ERK3-dficiente et nous avons observ une diminution significative de la cellularit aux tapes DN1, DP et SP CD4+ du dveloppement des LT. La cration de chimres hmatopotiques ERK3-dficientes nous a permis de dmontrer que la diminution du nombre de cellules observe aux tapes DN1 et DP est autonome aux thymocytes alors que le phnotype observ ltape SP CD4+ est dpendant de labolition simultane de ERK3 dans lpithlium thymique et dans les thymocytes. Une tude plus approfondie de ltape DP nous a permis de dmontrer quen absence de ERK3, les cellules DP meurent plus abondamment et accumulent des cassures doubles brins (DSB) dans leur ADN. De plus, nous avons dmontr que ces cassures dans lADN sont ralises par les enzymes RAG et quen absence de ces dernires, la cellularit thymique est presque rtablie chez la souris ERK3-dficiente. Ces rsultats suggrent que ERK3 est implique dans un mcanisme essentiel la rgulation des DSB pendant le rarrangement V(D)J de la chane du rcepteur des cellules T (RCT). Dans le deuxime article prsent dans cette thse, nous avons montr que ERK3 est exprim chez les LT priphriques, mais seulement suite leur activation via le RCT. Une fois activs in vitro les LT ERK3-dficients prsentent une diminution marque de leur prolifration et dans la production de cytokines. De plus, les LT ERK3-dficients survivent de faon quivalente aux LT normaux, mais tonnamment, ils expriment des niveaux plus faibles de la molcule anti-apoptotique Bcl-2. Ces rsultats suggrent que la prolifration rduite des LT ERK3-dficients est la consquence dune altration majeure de leur activation. Ainsi, nos rsultats tablissent que ERK3 est une MAPK qui joue des rles essentiels et uniques dans le dveloppement thymique et dans lactivation des lymphocytes T priphriques. Grce ces travaux, nous attribuons pour la toute premire fois une fonction in vivo pour ERK3 au cours de deux diffrentes tapes de la vie dun LT.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Suite la rencontre dun antigne (Ag) prsent la surface des cellules prsentatrice de lAg (CPA), les lymphocytes T nafs, ayant un rcepteur des cellules T (RCT) spcifique de lAg, vont prolifrer et se diffrencier en LT effecteurs (1). Suite llimination de lAg la majorit des LTe vont mourir par apoptose alors que les restants vont se diffrencier en LT mmoire (LTm) protgeant lorganisme long terme. Les mcanismes qui permettent la diffrenciation des LTe en LTm sont encore inconnus. Pour comprendre comment les LTm CD8+ sont gnrs partir des LTe, nous avons mis lhypothse que la densit de lAg prsent par les CPA peut avoir un impact sur la slection des LT CD8+ rpondant lAg se diffrencier en LTm. De manire intressante, nos rsultats montrent quune immunisation avec des cellules dendritiques (DCs) exprimant un haut niveau de complexe CMH/peptide sa surface permet le dveloppement de LTm. linverse, le dveloppement des LTm est fortement rduit (10-20X) lorsque les souris sont immunises avec des DCs exprimant un niveau faible de complexes CMH/peptide leur surface. De plus, la quantit dAg na aucune influence ni sur lexpansion des LT CD8+ ni sur lacquisition de leurs fonctions effectrices, mais affecte de manire critique la gnration des LTm. Nos rsultats suggrent que le nombre de RCT engag lors de la reconnaissance de lAg est important pour la formation des LTm. Pour cela nous avons observ par vido-microscopie le temps dinteraction entre des LTn et des DCs. Nos rsultats montrent que le temps et la qualit de linteraction sont dpendants de la densit dAg prsent par les DCs. Effectivement, nous observons une diminution dans le pourcentage de LT faisant une interaction prolonge avec les DCs quand le niveau dAg est faible. De plus, nous observons des variations de lexpression des facteurs de transcription clefs impliqus dans la diffrenciation des LTm tels quEomes, Bcl-6 et Blimp-1. Par ailleurs, la densit dAg fait varier lexpression du Neuron-derived orphan nuclear receptor 1 (Nor-1). Nor-1 est impliqu dans la conversion de Bcl-2 en molcule pro-apoptotique et contribue la mort par apoptose des LTe pendant la phase de contraction. Notre modle propose que la densit de lpitope contrle la gnration des CD8+ LTm. Une meilleure comprhension des mcanismes impliqus dans la gnration des LTm permettra le dveloppement de meilleures stratgies pour la gnration de vaccin. Dans un second temps, nous avons valu le rle du signal RCT dans lhomostasie des LTm. Pour ce faire, nous avons utilis un modle de souris transgnique pour le RCT dont son expression peut tre module par un traitement la ttracycline. Ce systme nous a permis dabolir lexpression du RCT la surface des LTm. De manire intressante, en absence de RCT exprim, les LTm CD8+ peuvent survivre long terme dans lorganisme et rester fonctionnels. De plus, une sous population des LTm CD4+ a la capacit de survivre sans RCT exprim dans un hte lymphopnique alors que lautre sous population ncessite lexpression du RCT.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les chimiokines et leurs rcepteurs respectifs jouent un rle important dans limmunit inne et adaptative. Les rcepteurs de chimiokines identifient des cellules T CD4+ avec potentiel de migration dans des tissus spcifiques et fonctionnalit distincte du point de vue de la spcificit antignique et de la production de cytokines. Lidentit de la population des cellules T CD4+ susceptibles versus rsistantes linfection par le virus de limmunodficience humaine (VIH) reste mal dfinie. Le recrutement dans les muqueuses intestinales dun excs de cellules T effectrices (CD8+) compar aux cellules cibles (CD4+) reprsente un bon pronostic de linfection par le virus de limmunodficience simienne (VIS), tandis que la dpltion des cellules Th17 dans les tissus lymphodes associs au tractus gastro-intestinal (GALT) est un marqueur de la progression de linfection VIH. Leffet rgulateur des chimiokines sur lactivation de la rplication virale dans diffrentes sous-populations cellulaires T CD4+ reste peu tudi. Ce projet de matrise est divis en 3 parties: (1) lidentification des rcepteurs de chimiokines CCR4, CXCR3 et CCR6 comme marqueurs de surfaces des sous populations T CD4+ avec susceptibilit distincte linfection par le VIH; (2) la caractrisation phnotypique et fonctionnelle des cellules T CD4+ et T CD8+ spcifiques au VIH de sujets progression lente vers le stade sida (LTNP); et (3) les effets des chimiokines ligands de CCR4, CXCR3 et CCR6 sur lactivation cellulaire et la rplication virale in vitro. Nos rsultats dmontrent que les cellules T CD4+ CCR4+CCR6+ (profile cytokinique Th17) et CXCR3+CCR6+ (profile cytokinique Th1/Th17) sont hautement permissives linfection par le VIH. Nous proposons galement de nouveaux corrlats de protection immunitaire contre le VIH chez les sujets LTNP: (i) le potentiel de co-localisation dans les muqueuses intestinales des cellules T CD4+ et CD8+ spcifiques au VIH via lintgrine 7, (ii) le ratio lev entre les cellules T effectrices (CD8+) versus les cellules cibles (CD4+) spcifiques au VIH, (iii) le profil cytokinique Th17 et (iv) la capacit des cellules T CD4+ et CD8+ spcifiques au VIH produire des ligands de CCR5 bloquant lentre virale. Finalement, nos rsultats sur leffet co-stimulateur des chimiokines sur les cellules T et leurs effets opposs sur la rplication virale dmontrent limplication du rseau des chimiokines dans la rgulation de la pathogense de linfection VIH.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Mmoire numris par la Direction des bibliothques de l'Universit de Montral.