34 resultados para Expectations hypothesis of term struscture of interest rates
Resumo:
UNE EXPOSITION NONATALE LOXYGNE MNE DES MODIFICATIONS DE LA FONCTION MITOCHONDRIALE CHEZ LE RAT ADULTE Introduction: Lexposition loxygne (O2) des ratons nouveau-ns a des consquences lge adulte dont une hypertension artrielle (HTA), une dysfonction vasculaire, une nphropnie et des indices de stress oxydant. En considrant que les reins sont encore en dveloppement actif lors des premiers jours aprs la naissance chez les rats, jouent un rle cl dans le dveloppement de lhypertension et quune dysfonction mitochondriale est associ une augmentation du stress oxydant, nous postulons que les conditions dltres nonatales peuvent avoir un impact significatif au niveau rnal sur la modulation de lexpression de protines cls du fonctionnement mitochondrial et une production mitochondriale excessive despces ractives de l O2. Mthodes: Des ratons Sprague-Dawley sont exposs 80% dO2 (H) ou 21% O2 (Ctrl) du 3e au 10e jr de vie. En considrant que plusieurs organes des rats sont encore en dveloppement actif la naissance, ces rongeurs sont un modle reconnu pour tudier les complications dune hyperoxie nonatale, comme celles lies une naissance prmature chez lhomme. 4 et 16 semaines, les reins sont prlevs et les mitochondries sont extraites suivant une mthode dextraction standard, avec un tampon contenant du sucrose 0.32 M et diffrentes centrifugations. Lexpression des protines mitochondriales a t mesure par Western blot, tandis que la production d H202 et les activits des enzymes cls du cycle de Krebs ont t values par spectrophotomtrie. Les rsultats sont exprims par la moyenne SD. Rsultats: Les rats mles H de 16 semaines (n=6) prsentent une activit de citrate synthase (considr standard interne de lexpression protique et de labondance mitochondriales) augmente (12.4 8.4 vs 4.1 0.5 mole/mL/min), une diminution de lactivit daconitase (enzyme sensible au redox mitochondrial) (0.11 0.05 vs 0.20 0.04 moles/min/mg mitochondrie), ainsi quune augmentation dans la production de H202 (7.0 1.3 vs 5.4 0.8 moles/mg protines mitochondriales) comparativement au groupe Ctrl (n=6 mles et 4 femelles). Le groupe H (vs Ctrl) prsente galement une diminution dans lexpression de peroxiredoxin-3 (Prx3) (H 0.610.06 vs. Ctrl 0.780.02 unit relative, -23%; p<0.05), une protine implique dans llimination d H202, de lexpression du cytochrome C oxidase (Complexe IV) (H 1.020.04 vs. Ctrl 1.200.02 unit relative, -15%; p<0.05), une protine de la chaine de respiration mitochondriale, tandis que lexpression de la protine de dcouplage (uncoupling protein)-2 (UCP2), implique dans la dispersion du gradient proton, est significativement augmente (H 1.050.02 vs. Ctrl 0.900.03 unit relative, +17%; p<0.05). Les femelles H (n=6) (vs Ctrl, n=6) de 16 semaines dmontrent une augmentation significative de lactivit de laconitase (0.330.03 vs 0.170.02 moles/min/mg mitochondrie), de lexpression de lATP synthase sous unit (H 0.730.02 vs. Ctrl 0.590.02 unit relative, +25%; p<0.05) et de lexpression de MnSOD (H 0.890.02 vs. Ctrl 0.740.03 unit relative, +20%; p<0.05) (superoxide dismutase mitochondriale, important antioxidant), tandis que lexpression de Prx3 est significativement rduite (H 1.10.07 vs. Ctrl 0.850.01 unit relative, -24%; p<0.05). 4 semaines, les mles H (vs Ctrl) prsentent une augmentation significative de lexpression de Prx3 (H 0.720.03 vs. Ctrl 0.560.04 unit relative, +31%; p<0.05) et les femelles prsentent une augmentation significative de lexpression dUCP2 (H 1.220.05 vs. Ctrl 1.030.04 unit relative, +18%; p<0.05) et de lexpression de MnSOD (H 1.360.01 vs. 1.190.06 unit relative, +14%; p<0.05). Conclusions: Une exposition nonatale lO2 chez le rat adulte mne des indices de dysfonction mitochondriale dans les reins adultes, associe une augmentation dans la production despces ractives de loxygne, suggrant que ces modifications mitochondriales pourraient jouer un rle dans lhypertension artrielle et dun stress oxydant, et par consquent, tre un facteur possible dans la progression vers des maladies cardiovasculaires. Mots-cls: Mitochondries, Reins, Hypertension, Oxygne, Stress Oxydant, Programmation
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Les dinoflagells sont des eucaryotes unicellulaires que lon retrouve autant en eau douce quen milieu marin. Ils sont particulirement connus pour causer des fleurs dalgues toxiques nommes mare-rouge, ainsi que pour leur symbiose avec les coraux et pour leur importante contribution la fixation du carbone dans les ocans. Au point de vue molculaire, ils sont aussi connus pour leur caractristiques nuclaires uniques, car on retrouve gnralement une quantit immense dADN dans leurs chromosomes et ceux-ci sont empaquets et condenss sous une forme cristalline liquide au lieu de nuclosomes. Les gnes encods par le noyau sont souvent prsents en multiples copies et arrangs en tandem et aucun lment de rgulation transcriptionnelle, y compris la boite TATA, na encore t observ. Lorganisation unique de la chromatine des dinoflagells suggre que diffrentes stratgies sont ncessaires pour contrler lexpression des gnes de ces organismes. Dans cette tude, jai abord ce problme en utilisant le dinoflagell photosynthtique Lingulodinium polyedrum comme modle. L. polyedrum est dun intrt particulier, car il a plusieurs rythmes circadiens (journalier). ce jour, toutes les tudes sur lexpression des gnes lors des changements circadiens ont dmontres une rgulation un niveau traductionnel. Pour mes recherches, jai utilis les approches transcriptomique, protomique et phosphoprotomique ainsi que des tudes biochimiques pour donner un aperu de la mcanique de la rgulation des gnes des dinoflagells, ceci en mettant laccent sur limportance de la phosphorylation du systme circadien de L. polyedrum. Labsence des protines histones et des nuclosomes est une particularit des dinoflagells. En utilisant la technologie RNA-Seq, jai trouv des squences compltes encodant des histones et des enzymes modifiant les histones. L polyedrum exprime donc des squences conserves codantes pour les histones, mais le niveau dexpression protique est plus faible que les limites de dtection par immunodtection de type Western. Les donnes de squenage RNA-Seq ont galement t utilises pour gnrer un transcriptome, qui est une liste des gnes exprims par L. polyedrum. Une recherche par homologie de squences a dabord t effectue pour classifier les transcrits en diverses catgories (Gene Ontology; GO). Cette analyse a rvl une faible abondance des facteurs de transcription et une surprenante prdominance, parmi ceux-ci, des squences domaine Cold Shock. Chez L. polyedrum, plusieurs gnes sont rpts en tandem. Un alignement des squences obtenues par RNA-Seq avec les copies gnomiques de gnes organiss en tandem a t ralis pour examiner la prsence de transcrits polycistroniques, une hypothse formule pour expliquer le manque dlment promoteur dans la rgion intergnique de la squence de ces gnes. Cette analyse a galement dmontr une trs haute conservation des squences codantes des gnes organiss en tandem. Le transcriptome a galement t utilis pour aider lidentification de protines aprs leur squenage par spectromtrie de masse, et une fraction enrichie en phosphoprotines a t dtermine comme particulirement bien adapt aux approches danalyse haut dbit. La comparaison des phosphoprotomes provenant de deux priodes diffrentes de la journe a rvle quune grande partie des protines pour lesquelles ltat de phosphorylation varie avec le temps est relies aux catgories de liaison lARN et de la traduction. Le transcriptome a aussi t utilis pour dfinir le spectre des kinases prsentes chez L. polyedrum, qui a ensuite t utilis pour classifier les diffrents peptides phosphoryls qui sont potentiellement les cibles de ces kinases. Plusieurs peptides identifis comme tant phosphoryls par la Casein Kinase 2 (CK2), une kinase connue pour tre implique dans lhorloge circadienne des eucaryotes, proviennent de diverses protines de liaison lARN. Pour valuer la possibilit que quelques-unes des multiples protines domaine Cold Shock identifies dans le transcriptome puissent moduler lexpression des gnes de L. polyedrum, tel quobserv chez plusieurs autres systmes procaryotiques et eucaryotiques, la rponse des cellules des tempratures froides a t examine. Les tempratures froides ont permis dinduire rapidement un enkystement, condition dans laquelle ces cellules deviennent mtaboliquement inactives afin de rsister aux conditions environnementales dfavorables. Les changements dans le profil des phosphoprotines seraient le facteur majeur causant la formation de kystes. Les phosphosites prdits pour tre phosphoryls par la CK2 sont la classe la plus fortement rduite dans les kystes, une dcouverte intressante, car le rythme de la bioluminescence confirme que lhorloge a t arrte dans le kyste.
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Justification: Le glaucome entrane une perte progressive de la vision cause par la dtrioration du nerf optique. Le glaucome est rpandu dans le monde et cause la ccit dans environ sept millions de personnes. Le glaucome touche plus de 400 000 Canadiens et sa prvalence augmente avec le vieillissement de la population.1,2 Il s'agit d'une maladie chronique surnoise dont les symptmes se manifestent uniquement lors des stades avancs et qui peuvent mener la ccit. Prsentement, le seul moyen possible darrter la progression du glaucome au stade initial est de diminuer la pression intra-oculaire (PIO). Les analogues de prostaglandines (APG) topiques sont frquemment utilises comme traitement de premire ligne. Cependant, la recherche dmontre que cette classe de mdicaments peut changer certaines proprits de la corne, et possiblement influencer la mesure de la PIO.3 Objectif: dterminer si l'utilisation d'APG affecte les proprits biomcaniques de la corne. La conclusion sera base sur l'analyse intgre des rsultats obtenus de l'analyseur Reichert oculaire Rponse (ORA), la tonomtrie par applanation de Goldmann (TAG) et la pachymtrie ultrasonographique. Le deuxime objectif potentiel de cette tude est de dterminer la corrlation, le cas chant, entre les proprits biomcaniques de la corne, l'paisseur de la corne centrale (ECC) et la PIO chez les patients subissant un traitement dAPG topique. L'hypothse principale de cette tude est que lAPG influence les proprits de la corne telles que l'paisseur centrale, l'lasticit et la rsistance. Patients et mthodes : Soixante-dix yeux de 35 patients, gs de 50-85 ans, atteints de glaucome angle ouvert (GAO) et traits avec APG topique ont t examins. Seulement les sujets avec une rfraction manifeste entre -6,00 D et +4,25 D ont t inclus. Les critres d'exclusion sont: patients avec n'importe quelle autre maladie de la corne de lil, telles que la dystrophie endothliale de Fuchs et kratocne, ou tout antcdent de traumatisme ou d'une chirurgie de la corne, ainsi que le port de lentilles de contact. Nous avons demand aux patients atteints du glaucome qui ont des paramtres stables et qui utilisent lAPG dans les deux yeux de cesser lAPG dans l'il moins affect par la PIO, et de continuer lutilisation dAPG dans l'il contralatral. Le meilleur il est dfini comme celui avec moins de dommage sur le champ visuel (CV) (dviation moyenne (DM), le moins ngatif) ou une PIO maximale historique plus basse si la DM est gale ou encore celui avec plus de dommage sur la tomographie par cohrence optique (TCO, Cirrus, CA) ou la tomographie confocale par balayage laser (HRT, Heidelberg, Allemagne). Toutes les mesures ont t prises avant la cessation dAPG et rptes 6 semaines aprs larrt. Les patients ont ensuite recommenc lutilisation dAPG et toutes les mesures ont t rptes encore une fois aprs une priode supplmentaire de 6 semaines. Aprs commencer ou de changer le traitement du glaucome, le patient doit tre vu environ 4-6 semaines plus tard pour valuer l'efficacit de la goutte.4 Pour cette raison, on t dcid d'utiliser 6 semaines d'intervalle. Toutes les mesures ont t effectues linstitut du glaucome de Montral par le mme technicien, avec le mme quipement et la mme heure de la journe. L'il contralatral a servi comme il contrle pour les analyses statistiques. La tonomtrie par applanation de Goldmann a t utilise pour mesurer la PIO, la pachymtrie ultrasonographique pour mesurer l'ECC, et lORA pour mesurer les proprits biomcaniques de la corne, incluant l'hystrse cornenne (HC). Lhypothse de l'absence d'effet de l'arrt de lAPG sur les proprits biomcaniques a t examin par un modle linaire effets mixtes en utilisant le logiciel statistique R. Les effets alatoires ont t dfinies deux niveaux: le patient (niveau 1) et l'il de chaque patient (niveau 2). Les effets alatoires ont t ajouts au modle pour tenir compte de la variance intra-individuelle. Lge a galement t inclus dans le modle comme variable. Les contrastes entre les yeux et les temps ont t estims en utilisant les valeurs p ajustes pour contrler les taux d'erreur internes de la famille en utilisant multcomp paquet dans R. Rsultats: Une augmentation statistiquement significative due l 'HC a t trouve entre les visites 1 (sur APG) et 2 (aucun APG) dans les yeux de l'tude, avec une moyenne (erreur standard) des valeurs de 8,98 0,29 mmHg et 10,35 0,29 mmHg, respectivement, correspondant une augmentation moyenne de 1,37 0,18 mmHg (p <0,001). Une rduction significative de 1,25 0,18 mmHg (p <0,001) a t observe entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne HC finale de 9,09 0,29 mmHg. En outre, une diffrence statistiquement significative entre loeil dtude et le contrle n'a t observe que lors de la visite 2 (1,01 0,23 mmHg, p <0,001) et non lors des visites 1 et 3. Une augmentation statistiquement significative du facteur de rsistance conren (FRC) a t trouve entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'tude, avec des valeurs moyennes de 10,23 0,34 mmHg et 11,71 0,34 mmHg, respectivement. Le FRC a ensuite t rduit de 1,90 0,21 mmHg (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne FRC finale de 9,81 0,34 mmHg. Une diffrence statistiquement significative entre loeil dtude et le contrle n'a t observe que lors de la visite 2 (1,46 0,23 mmHg, p <0,001). Une augmentation statistiquement significative de l'ECC a t trouve entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'tude, avec des valeurs moyennes de 541,83 7,27 m et 551,91 7,27 m, respectivement, ce qui correspond une augmentation moyenne de 10,09 0,94 m (p <0,001). L'ECC a ensuite diminu de 9,40 0,94 m (p <0,001) entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne finale de 542,51 7,27 m. Une diffrence entre ltude et le contrle des yeux n'a t enregistr que lors de la visite 2 (11,26 1,79 m, p <0,001). De mme, on a observ une augmentation significative de la PIO entre les visites 1 et 2 dans les yeux de l'tude, avec des valeurs moyennes de 15,37 0,54 mmHg et 18,37 0,54 mmHg, respectivement, ce qui correspond une augmentation moyenne de 3,0 0,49 mmHg (p <0,001). Une rduction significative de 2,83 0,49 mmHg (p <0,001) a t observe entre les visites 2 et 3, avec une valeur moyenne de la PIO finale de 15,54 0,54 mmHg. Loeil de contrle et dtude ne diffraient que lors de la visite 2 (1,91 0,49 mmHg, p <0,001), ce qui confirme l'efficacit du traitement de lAPG. Lors de la visite 1, le biais de la PIO (PIOcc - PIO Goldmann) tait similaire dans les deux groupes avec des valeurs moyennes de 4,1 0,54 mmHg dans les yeux de contrles et de 4,8 0,54 mmHg dans les yeux dtudes. Lors de la visite 2, aprs un lavage de 6 semaines dAPG, le biais de la PIO dans l'il test a t rduit 1,6 0,54 mmHg (p <0,001), ce qui signifie que la sous-estimation de la PIO par TAG tait significativement moins dans la visite 2 que de la visite 1. La diffrence en biais PIO moyenne entre l'tude et le contrle des yeux lors de la visite 2, en revanche, n'a pas atteint la signification statistique (p = 0,124). On a observ une augmentation peu significative de 1,53 0,60 mmHg (p = 0,055) entre les visites 2 et 3 dans les yeux de l'tude, avec une valeur de polarisation finale de la PIO moyenne de 3,10 0,54 mmHg dans les yeux d'tudes et de 2,8 0,54 mmHg dans les yeux de contrles. Nous avons ensuite cherch dterminer si une faible HC a t associe un stade de glaucome plus avanc chez nos patients atteints du glaucome angle ouvert traits avec lAPG. Lorsque l'on considre tous les yeux sur lAPG au moment de la premire visite, aucune association n'a t trouve entre les dommages sur le CV et l'HC. Cependant, si l'on considre seulement les yeux avec un glaucome plus avanc, une corrlation positive significative a t observe entre la DM et l'HC (B = 0,65, p = 0,003). Une HC infrieure a t associ une valeur de DM de champ visuelle plus ngative et donc plus de dommages lis au glaucome. Conclusions : Les prostaglandines topiques affectent les proprits biomcaniques de la corne. Ils rduisent l'hystrse cornenne, le facteur de rsistance cornen et l'paisseur centrale de la corne. On doit tenir compte de ces changements lors de l'valuation des effets dAPG sur la PIO. Plus de recherche devrait tre menes pour confirmer nos rsultats. De plus, dautres tudes pourraient tre ralises en utilisant des mdicaments qui diminuent la PIO sans influencer les proprits biomcaniques de la corne ou l'aide de tonomtre dynamique de Pascal ou similaire qui ne dpend pas des proprits biomcaniques de la corne. En ce qui concerne l'interaction entre les dommages de glaucome et l'hystrsis de la corne, nous pouvons conclure qu' une HC infrieure a t associ une valeur de DM de CV plus ngative. Mots Cls glaucome - analogues de prostaglandines - hystrse cornenne lpaisseur de la corne centrale - la pression intraoculaire - proprits biomcaniques de la corne.
Resumo:
Le prsent projet doctoral vise considrer les lacunes dans la documentation scientifique sur le Trouble Paraphilique Coercitif (TPC) en mettant laccent sur la validit des critres diagnostiques proposs pour inclusion dans le DSM-5 et les marqueurs comportementaux. ce fait, les donnes archives dindividus ayant sexuellement agress des femmes adultes ont t tudies. La thse est constitue de trois articles empiriques. Le premier article prsente des rsultats cls dcoulant des analyses, labors dans les articles subsquents. Le second (N = 47) value les frquences observes du TPC, la validit et limpact du recours au nombre minimal de victimes comme critre diagnostique, ainsi que les indices prdisant la rcidive sexuelle. Le troisime article (N = 52) compare les groupes diagnostiques sur une srie de comportements dlictuels, tels que les gestes sexuels et les comportements violents, dans le but didentifier les marqueurs comportementaux associs avec la propension au viol qui pourraient assister dans le processus diagnostique. Dans le mme ordre dides, nous avons cr des typologies de violeurs partir des gestes sexuels commis, dun ct, et des comportements violents, de lautre ct. Consquemment, les caractristiques des typologies ainsi obtenues et leur association avec le TPC furent examines. Dans lensemble, nos rsultats ne soutiennent pas le recours au nombre de victimes. Nos donnes suggrent que, globalement, les violeurs avec le TPC utilisent un niveau de gestes sexuels plus envahissant et un niveau de violence moindre que les violeurs nayant pas ce diagnostic, et que lexhibitionnisme et lattouchement pourraient servir de marqueurs comportementaux pour le TPC. En outre, les violeurs avec le TPC sont caractriss davantage par demande indcente, exhibitionnisme, attouchement, masturbation, tentative de pntration et pntration digitale que par pntration vaginale et sodomie. De plus, ces derniers font moins recours lutilisation darmes, semblent ne pas frapper/donner des coups la victime et sont caractriss par la manipulation plutt que par le recours aux menaces de mort, force excessive et utilisation darmes. En somme, nos donnes soulignent la ncessit de sappuyer sur une combinaison de mthodes dvaluation afin damliorer la validit diagnostique et discriminante du TPC.