392 resultados para philosophy, philosophie, ethics,


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Ce mmoire sur les fondements de la dsobissance civile se divise en trois parties. Le premier chapitre concerne la dfinition de la dsobissance civile daprs lanalyse dHugo Adam Bedau. Le deuxime chapitre traite des origines historiques du concept partir des textes de David Henry Thoreau et Lon Tolsto jusquaux campagnes de Mohandas Gandhi et Martin Luther King. Le dernier chapitre porte sur la pratique de la dsobissance civile dans les rgimes dmocratiques selon John Rawls. Lobjectif de ce mmoire est de dmontrer que la dsobissance civile est conforme la justice malgr son caractre illgal, quelle a t bnfique historiquement lvolution des mentalits et quelle est ncessaire en dmocratie.

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Thse effectue en cotutelle avec lUniversit de Montral et lUniversit Paris 1 Panthon-Sorbonne (IHPST)

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Ce mmoire consiste en une explication de la critique biblique de Spinoza contenue dans la Trait thologico-politique. Cette critique rpond un problme prcis : la subversion de la religion en superstition. Cette critique, nous lexpliquons en quatre parties. La premire partie consiste en une mise en situation problmatique. Elle montre que le problme biblique, qui appelle une critique, est la subversion de la religion. On y montre aussi lorigine de la superstition et la manire dont elle subvertit la religion. La seconde partie consiste en une mise en contexte historique, o lon montre la pertinence historique dune telle critique. Nous voyons en effet que la critique biblique de Spinoza sinscrit dans une priode de controverses thologiques importante. La troisime partie expose la mthode dinterprtation des critures de Spinoza (mthode historico-critique) et cherche claircir la notion de lumire naturelle, notion fondamentale de la dite mthode. Enfin, dans la quatrime partie, nous exposons la critique spinoziste des autres mthodes interprtatives, juges errones par ce dernier, soient les mthodes surnaturelle, sceptique et dogmatique. Nous le verrons, la critique biblique, qui se rapporte une question trs prcise, a une finalit plus gnrale. En effet, la critique biblique est insparable du but que se donne Spinoza dans le Trait thologico-politique, soit dfendre la libert de penser et de dire ce que lon pense. En fait, la critique biblique est un moyen pour raliser ce but.

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Cette thse propose une tude des raisons thoriques et empiriques impliques dans llaboration dune nouvelle astronomie par Johannes Kepler (1571-1630) tel quexpos dans son ouvrage Astronomia nova (1619). Cette thse se droule en deux temps : la premire partie touche de prs aux textes mmes de Kepler, tandis que la seconde partie utilise la notion dabduction pour interprter logiquement ce processus de dcouverte et de justification. La premire partie dbute avec une analyse du projet de Kepler et de ses fondements philosophiques, mtaphysiques et thologiques tels quexposs dans son premier ouvrage, le Mysterium cosmographicum. Ensuite, une tude des propos explicites de Kepler quant la nature et au statut des hypothses astronomiques est propose via une tude de son trait intitul Apologia pro Tychone contra Ursum. Une tude attentive des sources philosophiques, mathmatiques et scientifiques ayant influenc Kepler pour sa nouvelle astronomie est ensuite propose avant lanalyse dtaille des arguments scientifiques et des diffrentes tapes dmonstratives qui sont prsents dans lAstronomia nova. La deuxime partie vise clairer le dbat sur labduction en se penchant dabord sur trois approches traditionnelles (Platon, Aristote et picure) quant la connaissance scientifique des phnomnes clestes permettant dobtenir un discours vraisemblable ou une multiplicit dexplications concordantes avec les phnomnes. Enfin, quatre interprtations contemporaines et abductives du processus de dcouverte suivi par Kepler dans lAstronomia nova sont prsentes, reformules et critiques afin de proposer une nouvelle interprtation abductive laissant une plus grande place au projet mme de construire une astronomie nouvelle fonde sur les causes. Cela nous donne des outils pour mieux saisir le sens et la porte de ce qui peut tre dsign comme tant la rvolution kplrienne , soit le passage dun systme gocentrique un systme non pas simplement hliocentrique mais hliodynamique, ayant permis aux astronomes de saffranchir du paradigme des orbites circulaires.

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La guerre et ses consquences sont trop importantes pour que la rflexion philosophique ne sy attarde pas. Pour comprendre ses fondements et ses mcanismes internes, il faut une pense qui creuse au coeur mme des comportements guerriers. Cest ce que Thomas Hobbes et Carl von Clausewitz ont chacun tent de faire en rflchissant sur la nature de la guerre. Ce mmoire vise entre autres rendre compte de leur thorie respective sur la nature de la guerre et de voir les rapprochements possibles. Lanalyse du concept dtat de guerre et de ses causes chez Hobbes, de mme que la pense de Clausewitz centre sur la nature de la guerre, rendent compte dune mme dynamique o la relation de rciprocit quentretiennent les belligrants conduit une monte de la violence. La notion de volont est centrale chez nos auteurs, car elle explique autant cette monte continue de la violence que sa possible rsolution vers la paix. cartant la sphre de la morale et du droit pour penser le phnomne guerrier, leurs rflexions se veulent froides et sans illusion. En saisissant la dynamique relationnelle (et mimtique) qui conduit un dsir illimit de puissance, nos deux auteurs dcortiquent lessence de la guerre par une pense fondamentalement oriente vers la paix. Ainsi nous donnent-ils des outils pour viter le pire.

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La sympathie comme principe par lequel une idee se convertit en impression nest pas la seule espece de sympathie employee par David Hume dans ses ouvrages. Le terme sympathie possedait des sens varies dans le langage courant au XVIIIeme siecle, et il arrive que le philosophe ecossais se serve du terme sympathie dans lun ou lautre de ces sens. Cest ainsi que, outre son concept philosophique, Hume se sert du terme sympathie suivant cinq autres sens. Lidentification des differentes sortes de sympathie presentes dans les ouvrages de Hume a permis de mieux comprendre ce quil en etait de la nature de son concept philosophique de sympathie. Ainsi, on a pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec un autre principe de production daffections mentionne a loccasion par Hume : la contagion. Ainsi, on a egalement pu comprendre quels rapports la sympathie entretenait avec dautres elements de la philosophie humienne, tels que les esprits animaux, leurs mouvements et les emotions. Les analyses ont demontre, par ailleurs, que les esprits animaux et leurs mouvements jouaient un role de premier plan dans la theorie humienne des passions et que le principe de la sympathie, au final, designait laugmentation de lagitation des esprits animaux. Cest ainsi que la sympathie entendue comme principe par lequel une idee etait convertie en impression designait un mecanisme physiologique chez Hume. Les analyses ont egalement demontre que les impressions que Hume nommait emotions designaient plus particulierement le mouvement des esprits animaux. Quainsi, lon devait considerer quil y avait dans la taxonomie du philosophe ecossais non seulement des perceptions de lentendement humain (idees, passions, sentiments, etc.) mais egalement des perceptions du corps humain (emotions) et que celles-ci etaient en correspondance etroite avec celles-la. On peut ainsi faire lhypothese quil y a dans la philosophie humienne des elements susceptibles de fonder une theorie de lunion entre lame et le corps. La consideration de la sympathie comme un principe physiologique dagitation des esprits animaux permet que lon jette un regard nouveau sur la facon dont David Hume concevait la nature humaine.

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Ce projet de mmoire de matrise portera sur Descartes et la preuve dite "ontologique" de l'existence de Dieu. La prsentation qui sera faite de cette preuve, de ses tenants et de ses aboutissants, tiendra compte: premirement, du rle et du statut de celle-ci dans l'ordre des raisons mtaphysiques; deuximement, des relations entre la preuve "ontologique" et la preuve dite "par les effets"; et troisimement, des diffrentes oeuvres de Descartes dans lesquelles il est question de l'argument ontologique. Ainsi, cette analyse permettra de noter les diffrences relatives qu'il pourrait y avoir chez Descartes quant au fond ou la forme de cet argument. Nous voquerons notamment la position diffrente qu'occupe cette preuve dans deux crits, soient les Mditations mtaphysiques (1641) et les Principes de la philosophie (1644). Ce genre d'analyse nous permettra de nous pencher sur le dbat initi par Martial Guroult et Henri Gouhier concernant la place de la preuve "ontologique" de l'existence de Dieu au sein de l'ordre des raisons mtaphysiques ainsi que ses relations avec la preuve "par les effets". La postrit de ce dbat sera galement considre. Aussi, nous serons mme de poser la question savoir s'il y a une volution de la preuve "ontologique" de l'existence de Dieu au fil des oeuvres dans la pense de Descartes. En rsum, dans ce mmoire, nous aborderons deux problmatiques: la question de l'autonomie ou de la non autonomie de la preuve "ontologique" par rapport la preuve "par les effets", et le questionnement quant la possibilit d'une volution de la place et de la nature de la preuve dite "ontologique" de l'existence de Dieu dans les crits de Descartes.

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Le rapport quentretient Hegel lgard de la philosophie kantienne est ambivalent. Il la louange maintes occasions alors quil la critique svrement dautres. La philosophie morale de Kant ny fait pas exception. Hegel est rput pour lavoir critique avec vhmence. Cette critique, dsormais clbre, est connue sous le nom de critique du devoir-tre ou Sollenkritik. Nous porterions prjudice la richesse de la doctrine hglienne si nous nous bornions voir en cette critique un rejet catgorique de toutes les thses avances par Kant. Notre travail se donne une double mission. Dans un premier temps, nous montrerons quels sont les divers points litigieux entre la moralit kantienne et la doctrine hglienne. Dans un second temps, nous nous efforcerons dexpliquer en quoi la moralit participe de la vrit que nous rvle Hegel.

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Thrasymaque de Chalcdoine, un sophiste de renom dans l'Athnes du Ve sicle av. J.C. est prsent comme l'interlocuteur principal de Socrate dans le livre I de la Rpublique. Il y est surtout question de la justice et des implications qui en dcoulent, Socrate et Thrasymaque ne s'entendant videmment pas sur la nature de la justice. Thrasymaque, pouss par le questionnement constant de Socrate, en vient formuler diffrentes thses sur la justice, notamment : Je soutiens, moi, que le juste n'est rien d'autre que l'intrt du plus fort (Rp. 338c) et la justice et le juste constituent en ralit le bien d'un autre. (Rp. 343c) Paralllement, il oppose au philosophe une vision de la justice difficile accepter, mais aussi difficile rfuter : celui qui commet l'injustice est plus heureux que celui qui agit en fonction de la justice. Ainsi, pour Thrasymaque, l'injuste est meilleur que le juste et est plus heureux, car l'injustice est plus profitable pour soi-mme. Selon cette vision, qu'est-ce donc que la justice, et en quoi n'est-elle pas profitable pour soi-mme? L'objectif de ce mmoire sera de faire ressortir positivement la conception de la justice de Thrasymaque, car c'est avec elle qu'entre en conflit la recherche du bonheur. En effet, si la justice est la reprsentation des intrts du dirigeant, comme l'avance le sophiste, alors tre juste n'est rien d'autre qu'agir en fonction des intrts d'autrui et non de soi-mme. Cependant, dans une Cit o les individus sont sous la gouverne de la loi, il n'est pas si simple d'agir toujours selon ses propres intrts lorsque ceux-ci sont contraires la justice. C'est pourquoi il sera galement pertinent de s'attarder aux caractristiques et aux vertus qu'un individu doit possder, selon Thrasymaque, pour tre heureux. Nous essaierons donc de dgager de la pense de Thrasymaque un modle de vie suivre : le . En dernire analyse, nous mettrons en relief la position de Thrasymaque avec la critique platonicienne. Pour Socrate, la position voulant que l'injustice soit profitable est difficile, car il lui faudra montrer que c'est en fait la justice qui apporte le bonheur, en tant qu'elle est une vertu de l'me.

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La prsente tude se propose de dgager les significations successives quemprunte le fameux paradoxe socratique du mal involontaire dans luvre de Platon. Pour ce faire, notre propos se dclinera en trois principaux dveloppements : 1) le premier consistera clarifier le sens que recouvraient les catgories du volontaire et de linvolontaire dans lAntiquit, de manire viter toute confusion anachronique avec les acceptions modernes de ces mmes notions ; 2) le second tchera de mettre au jour le postulat anthropologique qui fonde chez Platon lide quaucun homme ne saurait agir mchamment de son plein gr ; 3) le troisime exposera tour de rle les trois grands dispositifs de disculpation qulabore Platon dans son uvre : les dispositifs de lme ignorante, de lme renverse et de lme malade. Nous montrerons ainsi comment Platon, rebours de la thodice chrtienne classique, cherche blanchir lhomme de toute implication morale vritable dans la gense causale de ses mauvaises actions.

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Ce mmoire a pour but dexplorer la littrature sur le sujet de la justice scolaire. Ltude sera divise sous trois axes. Il sera question dabord de laccessibilit lducation. Il y a au moins quatre grands principes au libralisme : (1) les individus sont libres et gaux ; (2) les individus ont tous droit des chances gales de mener terme leur projet de vie ; (3) les individus sont dtenteurs dun ensemble de droits garantis par la socit ; (4) ltat adopte une posture de neutralit. Partant de ces valeurs, nous tablissons des liens avec la ncessit dune accessibilit lducation. En second lieu, ce mmoire tudiera trois modles dcole : lcole parentale, lcole tatique, et lcole oriente vers lautonomie. Nous argumenterons, avec Harry Brighouse, leffet que lducation oriente vers lautonomie constitue lobjectif qui respecte le plus les valeurs du libralisme, dont limpratif de neutralit, et les intrts des jeunes. Dans la dernire partie de cette tude, nous tudierons trois conceptions de lgalit : galit des ressources (Jean-Fabien Spitz), galit des opportunits (Richard Arneson) de bien-tre et le suffisantisme (Debra Satz). Afin de juger de leurs qualits respectives, nous tenterons de les appliquer au systme ducatif afin den faire ressortir les forces et les faiblesses.

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Le prsent mmoire porte sur la question de la mort de Dieu dans la philosophie allemande du XIXe sicle. Plus prcisment elle entend mettre en lumire le rle quun auteur comme Ludwig Feuerbach (1804-1872) a pu jouer dans la rception dun tel vnement pour la philosophie de cette poque. On observe en effet chez Hegel et Nietzsche, certainement les deux philosophes les plus importants stre intresss au thme de la mort de Dieu, deux manires tout fait diffrentes, voire antinomiques, dinterprter un tel vnement. Ce qui fera dire certains auteurs comme Deleuze et Foucault notamment, quentre Hegel et Nietzsche il ne saurait y avoir quune coupure radicale tant leurs comprhensions de la mort de Dieu diffre. Un tel geste trahit cependant un certain arbitraire qui empche de comprendre la gense philosophique dun tel dplacement, entre Hegel et Nietzsche, dans la manire daborder la mort de Dieu. Cest ici que ltude de la philosophie feuerbachienne savre fructueuse, car si elle demeure dans un dialogue critique par rapport la conception hglienne de la mort de Dieu, sa rponse opre cependant un dplacement qui anticipe certains aspects de la pense nietzschenne. Cest partir de lanalyse de sa critique de la religion chrtienne et de lanthropologie philosophique nouvelle qui ly oppose que lon sera en mesure de saisir la nature de ce dplacement feuerbachien.

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Le problme de la direction du temps est un problme classique autant en physique quen philosophie. Quoiquil existe plusieurs faons de sinterroger sur ce problme, lapproche thermodynamique est la plus frquemment utilise. Cette approche consiste considrer la flche du temps thermodynamique comme la flche fondamentale de laquelle les autres flches ne sont que des manifestations. Ce mmoire vise fournir une analyse philosophique de cette approche. Pour ce faire, nous esquisserons la problmatique gnrale, nous exposerons les diffrentes approches et thories alternatives visant rsoudre ce problme et nous prsenterons la thse forte soutenant lapproche thermodynamique. Ensuite, nous valuerons la pertinence du recours la mcanique statistique et la cosmologie visant remdier aux dficiences de cette mme approche. Enfin, nous analyserons en quoi cette approche, et plus particulirement la notion dentropie, est en mesure de fournir un cadre conceptuel pour la rsolution du problme de la flche du temps.

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Ce mmoire de maitrise propose de faire une analyse fministe du concept de droit de la femme tel quil est conu dans les thories des droits humains. Le paradigme libral en thorie des droits humains sera critiqu parce quil contient des idalisations ingalitaires. Cela mnera aborder la question sous langle de droits humains spcifiques aux femmes. Cette investigation commencera par lexamen de la possibilit thorique de produire une thorie des droits de la femme plausible. Limportance de tenir compte des conditions non idales du monde sera souligne. Puis, une argumentation en faveur de droits socioconomiques spcifiques sera faite. Enfin, cela mnera une dfense de lapproche des capabilits de Martha Nussbaum pour la protection des intrts particuliers des femmes.

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Cette thse se rapporte la notion de contradiction, entendue en son sens logique ou formel. Plus prcisment, elle vise dgager une conception de la contradiction chez un philosophe qui, du point de vue chronologique, prcde lavnement de la syllogistique et de la logique : Platon. partir de lexamen des dialogues rfutatifs de Platon, il sagira de mettre en lumire la forme des propositions contradictoires, de dterminer la terminologie et les mtaphores utilises par Platon pour nommer et dcrire la contradiction et dvaluer le contexte dans lequel avait lieu la rflexion platonicienne. Lanalyse rvlera que Platon se faisait une ide somme toute assez prcise de la contradiction logique et quil a mme eu une influence sur Aristote lorsque ce dernier labora son clbre principe de non-contradiction.