20 resultados para cognitive remediation therapy
Resumo:
Vulvovaginal pain problems are major health concerns in women of childbearing age. Controlled studies have shown that vulvovaginal pain can adversely affect women and their partners’ general psychological well-being, relationship adjustment and overall quality of life. These women have significantly lower levels of sexual desire, arousal, and satisfaction, as well as a lower intercourse frequency than normal controls. They also report more anxiety and depression, in addition to more distress about their body image and genital self-image. Empirical studies indicate that specific psychological and relationship factors may increase vulvovaginal pain intensity and its psychosexual sequelae. Randomized clinical trials have shown that psychosexual interventions, namely cognitive-behavioral therapy (CBT), are efficacious in reducing vulvovaginal pain and improving associated psychosexual outcomes. Women reporting significant psychological, sexual and/or relationship distress should be referred for psychosexual treatment. A multimodal approach to care integrating psychosexual and medical management is thought to be optimal.
Resumo:
Partner behavioral responses to pain can have a significant impact on patient pain and depression, but little is known about why partners respond in specific ways. Using a cognitive-behavioral model, the present study examined whether partner cognitions were associated with partner behavioral responses, which prior work has found to predict patient pain and depressive symptoms. Participants were 354 women with provoked vestibulodynia and their partners. Partner pain-related cognitions were assessed using the partner versions of the Pain Catastrophizing Scale and Extended Attributional Style Questionnaire, whereas their behavioral responses to pain were assessed with the Multidimensional Pain Inventory. Patient pain was measured using a numeric rating scale, and depressive symptoms were assessed using the Beck Depression Inventory–II. Path analysis was used to examine the proposed model. Partner catastrophizing and negative attributions were associated with negative partner responses, which were associated with higher patient pain. It was also found that partner pain catastrophizing was associated with solicitous partner responses, which in turn were associated with higher patient pain and depressive symptoms. The effect of partner cognitions on patient outcomes was partially mediated by partner behavioral responses. Findings highlight the importance of assessing partner cognitions, both in research and as a target for intervention. Perspective The present study presents a cognitive-behavioral model to partially explain how significant others' thoughts about pain have an effect on patient pain and depressive symptoms. Findings may inform cognitive-behavioral therapy for couples coping with PVD.
Resumo:
L'EMDR est une thérapie qui a été développée pour traiter les souvenirs traumatiques, puis proposée pour traiter une variété de troubles psychologiques. Ce texte est le premier à recenser en français les études qui ont évalué l'efficacité de cette forme de thérapie. L'efficacité de l'EMDR est d'abord démontrée à l'aide d'études de cas qui comportent des limites importantes. Les études de cas basées sur un protocole expérimental donnent des résultats plus mitigés. Les études contrôlées qui examinent l'efficacité de l'EMDR sont ensuite décrites en fonction du type de contrôle exercé et du type de trouble traité. L'EMDR est aussi efficace que la thérapie cognitivocomportementale pour traiter le trouble de stress posttraumatique, mais pas pour le traitement de la phobie spécifique ni du trouble panique. De plus, les études montrent de façon répétée que l'absence des mouvements oculaires ne modifie pas l'efficacité de l'EMDR. Une analyse des différences et des similitudes entre l'EMDR et l'approche cognitivo-comportementale est présentée. Les caractéristiques pseudo-scientifiques qui ont marquées le développement et la diffusion de l'EMDR sont aussi abordées.
Resumo:
La vestibulodynie provoquée (VP) est la forme la plus répandue de douleur génito-pelvienne/trouble de la pénétration et la cause la plus fréquente de douleur vaginale chez les femmes pré-ménopausées. Les femmes qui en souffrent rapportent plus de détresse psychologique ainsi qu’un fonctionnement sexuel appauvri, une diminution de la fréquence des activités sexuelles et du plaisir, et plus d’attitudes négatives à l’égard de la sexualité. Les recherches portant sur les couples souffrant de VP ont montré le rôle prépondérant des variables relationnelles dans la modulation des conséquences sexuelles et psychologiques pour les femmes et leurs partenaires. Cependant, aucune analyse dyadique n’a été appliquée au facteur de risque étiologique le plus robuste, soit la maltraitance durant l’enfance. Par ailleurs, malgré des recommandations répétées pour inclure le partenaire dans le traitement psychologique pour la VP, aucune étude à ce jour n’a examiné l’efficacité d’une psychothérapie qui inclut systématiquement le partenaire et dont la cible est le couple. L’objectif général de cette thèse a été d’utiliser une perspective dyadique afin d’examiner les antécédents de maltraitance et l’efficacité d’une intervention conçue pour améliorer les issues des couples souffrant de VP. Le premier article vise à examiner les liens entre la maltraitance durant l’enfance des femmes souffrant de VP et leurs partenaires, et leur fonctionnement sexuel, leur ajustement psychologique, leur satisfaction conjugale et enfin avec la douleur rapportée par les femmes durant les relations sexuelles. Quarante-neuf couples souffrant de VP ont complété des questionnaires auto-rapportés. La maltraitance durant l’enfance chez les femmes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible chez les femmes et les hommes, une augmentation de l’anxiété chez les femmes seulement, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles. La maltraitance durant l’enfance chez les hommes était associée à un fonctionnement sexuel plus faible, moins de satisfaction conjugale, plus d’anxiété chez les femmes et les hommes, et une douleur affective accrue durant les relations sexuelles rapportée par les femmes. En se basant sur les recommandations issues des études empiriques, une thérapie cognitive et comportementale pour les couples (TCCC) souffrant de VP a été développée. Le deuxième article présente les résultats d’une étude pilote testant son efficacité, fidélité et faisabilité potentielles. Neuf couples ont complété des questionnaires auto-rapportés pré- et post-traitement. La TCCC de 12 rencontres était manualisée. Les femmes ont rapporté une amélioration significative de la douleur, du fonctionnement et de la satisfaction sexuels, et les partenaires ont rapporté une amélioration significative de leur satisfaction sexuelle. Les couples ont rapporté des niveaux élevés de satisfaction quant à la psychothérapie, et les psychothérapeutes ont rapporté suivre le manuel de traitement de manière fidèle. Le troisième article, s’appuyant sur les résultats prometteurs de l’étude pilote, décrit le protocole de recherche pour un essai clinique randomisé mesurant l’efficacité de la TCCC comparée à une intervention médicale de première ligne, la lidocaïne topique, pour le traitement de la VP. Enfin, les implications cliniques et théoriques de la thèse sont discutées.
Resumo:
Objective: Our aim was to identify moderators of the effects of a cognitive behavioral group-based prevention program (CB group) and CB bibliotherapy, relative to an educational brochure control condition and to one another, in a school-based effectiveness randomized controlled prevention trial. Method: 378 adolescents (M age ¼ 15.5, 68% female) with elevated depressive symptoms were randomized in one of three conditions and were assessed at pretest, posttest, and 6-month follow-up. We tested the moderating effect of three individual (baseline depressive symptoms, negative attributional style, substance use), three environmental (negative life events, parental support, peer support), and two sociodemographic (sex, age) characteristics. Results: Baseline depressive symptoms interacted with condition and time. Decomposition indicated that elevated baseline depressive symptoms amplified the effect of CB bibliotherapy at posttest (but not 6-month follow-up) relative to the control condition, but did not modify the effect of CB group relative to the control condition or relative to bibliotherapy. Specifically, CB bibliotherapy resulted in lower posttest depressive symptoms than the control condition in individuals with elevated, but not average or low baseline symptoms. We found no interaction effect for other putative moderators. Conclusions: Our findings suggest that bibliotherapy is effective only in participants who have elevated depressive symptoms at baseline. The fact that no study variable moderated the effects of CB group, which had a significant main effect in reducing depressive symptoms relative to the control condition, suggests that this indicated prevention intervention is effective for a wide range of adolescents.