154 resultados para Kinésithérapie réadaptation
Resumo:
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
Resumo:
Depuis les années 1980, le développement de l’autodétermination des personnes présentant une déficience intellectuelle (DI) est devenu une priorité dans les interventions qui leur sont offertes. Les agents de socialisation (p.ex., éducateurs, travailleurs sociaux, enseignants, parents, etc.) ont un rôle crucial dans sa promotion de par le soutien qu’ils leur offrent et les apprentissages qu’ils tentent de favoriser chez elles. La façon de communiquer et le type de relation que les agents de socialisation établissent avec la personne présentant une DI ont une influence certaine dans son développement. Pourtant, peu d’études ont jusqu’à ce jour évalué quelles sont les manières optimales de communiquer et d’interagir des agents socialisation pouvant faciliter l’autodétermination des personnes présentant une DI. Ancrée dans la théorie de l’autodétermination (TAD), cette thèse s’intéresse à évaluer, les effets d’un type de soutien spécifique, le soutien à l’autonomie (ou à l’autodétermination; SA, une manière de communiquer et d’être en relation qui satisfait le besoin d’autodétermination), sur la satisfaction du besoin d’autodétermination et la présence de bénéfices comportementaux, motivationnels et affectifs chez les personnes présentant une déficience intellectuelle légère (DIL) dans un contexte d’apprentissage. Deux articles seront présentés dans cette thèse. Le concept d’autodétermination comprend une large littérature et revêt de multiples définitions. Le premier article, de nature théorique, permettra de mieux le comprendre et de l’éclaircir à la lumière de la théorie fonctionnelle de l’autodétermination (TfAD) et de la théorie de l’autodétermination (TAD). Les études portant sur les interventions de promotion de l’autodétermination de la TAD et de la TfAD seront présentées. Dans un deuxième temps, la TAD et la TfAD seront comparées et contrastées l’une avec l’autre ce qui permettra de démontrer leurs différences, leurs similarités et leurs complémentarités tant au niveau théorique que de l’intervention. Enfin, il est proposé que le SA étudié par la TAD puisse constituer une intervention prometteuse, en plus des interventions proposées par la TfAD, afin de favoriser le développement de l’autodétermination et engendrer des bénéfices comportementaux, motivationnels et affectifs chez cette population. La deuxième étude visera à évaluer cette proposition. Par le biais d’une étude expérimentale, il sera évalué si le SA peut satisfaire le besoin d’autonomie/autodétermination des personnes présentant une DIL et peut faciliter l’intériorisation de la valeur d’une tâche, l’engagement et la diminution de l’anxiété lorsqu’ils réalisent une tâche de résolution de problème, une activité d’apprentissage qui est à la fois importante et fastidieuse. Ainsi, l’étude permettra de comparer les effets d’une tâche réalisée avec ou sans SA (condition expérimentale et témoin respectivement). Les participants (N = 51) présentaient tous une DIL et ont été recrutés dans un centre de réadaptation de la région de Montréal, au Québec (Canada). Les résultats démontrent que comparativement à la condition témoin, le SA amène chez les participants une satisfaction plus élevée du besoin d’autodétermination, un plus grand niveau d’engagement, une plus grande diminution de leur anxiété lors de l’activité et facilite l’intériorisation de la valeur de la tâche. La signification et l’interprétation de ces résultats, de même que leurs implications potentielles pour la recherche et les interventions offertes à ces personnes sont finalement discutées.
Resumo:
Les adolescents qui ont subi de la négligence ou des abus substantiels dans leur famille risquent de présenter des symptômes anxieux et dépressifs et des comportements antisociaux plus importants. Parmi les ressources internes qui pourraient contribuer à la résilience de ces jeunes, les stratégies qu’ils adoptent pour composer avec les situations stressantes ont été peu examinées. Dans cette thèse, nous examinons les stratégies d’adaptation utilisées par 336 adolescents placés en centre de réadaptation, avec pour objectif de vérifier leur rôle modérateur dans la relation entre les mauvais traitements qu’ils perçoivent et l’ampleur de leurs problèmes intériorisés ou extériorisés. Le premier chapitre présente une revue de la recherche sur les liens entre divers stresseurs, les stratégies d’adaptation des jeunes et leur condition psychologique. Ces études mettent en lumière combien les effets des stratégies qu’ils utilisent peuvent varier selon les stresseurs familiaux ou sociaux auxquels ils sont exposés. Les deux études empiriques aux chapitres 2 et 3 portent sur les interactions entre trois types de maltraitance (abus émotionnel ou physique, négligence émotionnelle) et quatre stratégies d’adaptation (centrées sur les problèmes, les émotions, la diversion sociale et la distraction). Dans la première étude, ces interactions sont testées pour leurs effets sur l’ampleur des problèmes intériorisés rapportés par les jeunes ou leurs éducateurs; la seconde étude explore leurs effets sur l’ampleur des problèmes extériorisés. Quand les problèmes intériorisés sont rapportés par les adolescents, les stratégies centrées sur les problèmes, la diversion sociale et la distraction avaient un effet protecteur sur l’ampleur des symptômes associés à la maltraitance émotionnelle, surtout chez les filles. Les stratégies centrées sur les problèmes ont aussi un effet protecteur sur la relation entre l’abus émotionnel et les comportements agressifs rapportés par les jeunes. Toutefois quand il s’agit des problèmes extériorisés, plusieurs interactions montrent plutôt que les effets adaptatifs de certaines stratégies diminuent quand les mauvais traitements augmentent. Il en est ainsi pour les stratégies centrées sur les problèmes ou la diversion sociale quand ces problèmes sont observés par les éducateurs, et pour les distractions, lorsqu’ils sont rapportés par les filles. Enfin la diversion sociale est associée à des comportements délinquants plus marqués rapportés par les jeunes et son effet modérateur chez les garçons montre que cette relation est plus forte quand ils sont moins maltraités. Les stratégies d’adaptation examinées contribuent donc surtout à atténuer la détresse émotionnelle des filles victimes de maltraitance psychologique, mais elles semblent avoir peu d’impact sur les comportements antisociaux des jeunes maltraités. Ces résultats sont discutés en lien avec les caractéristiques de notre échantillon. Les implications cliniques qui s’en dégagent permettent de suggérer des pistes pour mieux soutenir ces jeunes dans l’apprentissage de stratégies adaptatives pour réguler leur stress.
Resumo:
Cette étude exploratoire dresse un portrait des transitions de milieux de vie (MDV) dans des Centres de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) de la grande région de Montréal. Elle permet d’identifier 1) les pratiques de transition de MDV des intervenants pivots en CRDITED, 2) les critères de succès de la transition de MDV et les moyens de les évaluer selon les personnes présentant une déficience intellectuelle et les intervenants pivots et 3) l’écart entre les pratiques souhaitées et les pratiques actuelles à partir du point de vue des deux types de participants. Des personnes présentant une déficience intellectuelle (N = 9) et des intervenants pivots (N = 19) se sont exprimés sur leurs expériences de transition de MDV en participant à des entretiens de groupe. Une analyse qualitative de contenu a permis d’identifier une typologie des expériences de transition de MDV du point de vue des intervenants pivots. Un seul type de transition de MDV parmi les cinq identifiés, le type préparée, offre des conditions favorisant la réalisation de la transition dans des conditions satisfaisantes pour les intervenants pivots. Les autres types de transitions (types dernière minute, explosive, clé en main et salle d’attente) offrent peu d’occasions pour la personne présentant une déficience intellectuelle de s’impliquer dans le processus de transition. Les propos des intervenants pivots permettent d’identifier les caractéristiques d’une transition de MDV qu’ils jugent idéale (type comme si c’était moi). Les types de transitions sont comparés entre eux sur deux axes, soit sur l’axe représentant un continuum d’implication de la personne présentant une déficience intellectuelle dans sa propre transition et sur l’axe identifiant les grandes étapes de réalisation de la transition. Les résultats permettent de déceler un écart important entre les transitions actuellement effectuées et les politiques, intentions et engagements de l’offre de service auprès de cette clientèle, notamment au regard de l’implication de la personne présentant une déficience intellectuelle dans les décisions relatives à sa transition de MDV. L’étude permet aussi d’identifier trois dimensions importantes de l’évaluation du succès de la transition selon les perspectives des personnes présentant une déficience intellectuelle et des intervenants pivots. Les dimensions identifiées sont : bien-être psychologique et comportement, santé physique et collaboration. Les propos des intervenants pivots permettent de constater qu’il existe parfois un paradoxe entre leurs perceptions du succès de la transition de MDV et celles des personnes présentant une déficience intellectuelle. L’interprétation des résultats a permis d’élaborer des recommandations afin de favoriser de meilleures pratiques de transition.
Resumo:
Travail dirigé présenté à la Faculté des études supérieures en vue de l’obtention du grade de maître ès sciences (M.Sc.) en criminologie option sécurité intérieure
Resumo:
La déchirure de la coiffe des rotateurs est une des causes les plus fréquentes de douleur et de dysfonctionnement de l'épaule. La réparation chirurgicale est couramment réalisée chez les patients symptomatiques et de nombreux efforts ont été faits pour améliorer les techniques chirurgicales. Cependant, le taux de re-déchirure est encore élevé ce qui affecte les stratégies de réhabilitation post-opératoire. Les recommandations post-chirurgicales doivent trouver un équilibre optimal entre le repos total afin de protéger le tendon réparé et les activités préconisées afin de restaurer l'amplitude articulaire et la force musculaire. Après une réparation de la coiffe, l'épaule est le plus souvent immobilisée grâce à une écharpe ou une orthèse. Cependant, cette immobilisation limite aussi la mobilité du coude et du poignet. Cette période qui peut durer de 4 à 6 semaines où seuls des mouvements passifs peuvent être réalisés. Ensuite, les patients sont incités à réaliser les exercices actifs assistés et des exercices actifs dans toute la mobilité articulaire pour récupérer respectivement l’amplitude complète de mouvement actif et se préparer aux exercices de résistance réalisés dans la phase suivante de la réadaptation. L’analyse électromyographique des muscles de l'épaule a fourni des évidences scientifiques pour la recommandation de beaucoup d'exercices de réadaptation au cours de cette période. Les activités sollicitant les muscles de la coiffe des rotateurs à moins de 20% de leur activation maximale volontaire sont considérés sécuritaires pour les premières phases de la réhabilitation. À partir de ce concept, l'objectif de cette thèse a été d'évaluer des activités musculaires de l'épaule pendant des mouvements et exercices qui peuvent théoriquement être effectués au cours des premières phases de la réhabilitation. Les trois questions principales de cette thèse sont : 1) Est-ce que la mobilisation du coude et du poignet produisent une grande activité des muscles de la coiffe? 2) Est-ce que les exercices de renforcement musculaire du bras, de l’avant-bras et du torse produisent une grande activité dans les muscles de la coiffe? 3) Au cours d'élévations actives du bras, est-ce que le plan d'élévation affecte l'activité de la coiffe des rotateurs? Dans notre première étude, nous avons évalué 15 muscles de l'épaule chez 14 sujets sains par électromyographie de surface et intramusculaire. Nos résultats ont montré qu’avec une orthèse d’épaule, les mouvements du coude et du poignet et même quelques exercices de renforcement impliquant ces deux articulations, activent de manière sécuritaire les muscles de ii la coiffe. Nous avons également introduit des tâches de la vie quotidienne qui peuvent être effectuées en toute sécurité pendant la période d'immobilisation. Ces résultats peuvent aider à modifier la conception d'orthèses de l’épaule. Dans notre deuxième étude, nous avons montré que l'adduction du bras réalisée contre une mousse à faible densité, positionnée pour remplacer le triangle d’une orthèse, produit des activations des muscles de la coiffe sécuritaires. Dans notre troisième étude, nous avons évalué l'électromyographie des muscles de l’épaule pendant les tâches d'élévation du bras chez 8 patients symptomatiques avec la déchirure de coiffe des rotateurs. Nous avons constaté que l'activité du supra-épineux était significativement plus élevée pendant l’abduction que pendant la scaption et la flexion. Ce résultat suggère une séquence de plan d’élévation active pendant la rééducation. Les résultats présentés dans cette thèse, suggèrent quelques modifications dans les protocoles de réadaptation de l’épaule pendant les 12 premières semaines après la réparation de la coiffe. Ces suggestions fournissent également des évidences scientifiques pour la production d'orthèses plus dynamiques et fonctionnelles à l’articulation de l’épaule.
Resumo:
Background and Purpose. This descriptive cohort study investigated a physical therapy program of pelvic-floor neuromuscular electrostimulation (NMES) combined with exercises, with the aim of developing a simple, inexpensive, and conservative treatment for postpartum genuine stress incontinence (GSI). Subjects. Eight female subjects with urodynamically established GSI persisting more than 3 months after delivery participated in the study. The subjects ranged in age from 24 to 37 years (X̅=32, SD=4.2). Methods. This was a descriptive multiple-subject cohort study. Each subject received a total of nine treatment sessions during 3 consecutive weeks, consisting of two 15-minute sessions of NMES followed by a 15-minute pelvic-floor muscle exercise program. Patients also practiced daily pelvic-floor exercises during the 3-week treatment period. The treatment intervention was measured using three separate variables. Maximum muscle contractions (pretraining, during training, and posttraining) were measured indirectly as pressure, using perineometry. Urine loss pretraining and posttraining was measured by means of a Pad test. Self-reported frequency of incontinence was recorded daily throughout the period of the study, using a diary. Data were analyzed using a one-way repeated measures analysis of variance (ANOVA), a Wilcoxon signed-ranks test, and a Friedman two-way ANOVA by ranks. Results. The results indicated that maximum pressure generated by pelvic-floor contractions was greater and both the quantity of urine loss and the frequency of incontinence were lower following the implementation of the physical therapy program. Five subjects became continent, and three others improved. A follow-up survey 1 year later confirmed the consistency of these results. Conclusion and Discussion. The results suggest that the proposed physical therapy program may influence postpartum GSI. Further studies are needed to validate this simple, inexpensive, and conservative physical therapy protocol.
Resumo:
Background and Purpose. Electrical stimulation of the pelvic floor is used as an adjunct in the conservative treatment of urinary incontinence. No consensus exists, however, regarding electrode placements for optimal stimulation of the pelvic-floor musculature. The purpose of this study was to compare two different bipolar electrode placements, one suggested by Laycock and Green (L2) the other by Dumoulin (D2), during electrical stimulation with interferential currents of the pelvic-floor musculature in continent women, using a two-group crossover design. Subjects. Ten continent female volunteers, ranging in age from 20 to 39 years (X̅=27.3, SD=5.6), were randomly assigned to one of two study groups. Methods. Each study group received neuromuscular electrical stimulation (NMES) of the pelvic-floor musculature using both electrode placements, the order of application being reversed for each group. Force of contraction was measured as pressure (in centimeters of water [cm H2O]) exerted on a vaginal pressure probe attached to a manometer. Data were analyzed using a two-way, mixed-model analysis of variance. Results. No difference in pressure was observed between the two electrode placements. Differences in current amplitude were observed, with the D2 electrode placement requiring less current amplitude to produce a maximum recorded pressure on the manometer. Subjective assessment by the subjects revealed a preference for the D2 electrode placement (7 of 10 subjects). Conclusion and Discussion. The lower current amplitudes required with the D2 placement to obtain recordings comparable to those obtained with the L2 technique suggest a more comfortable stimulation of the pelvic-floor muscles. The lower current amplitudes required also suggest that greater increases in pressure might be obtained with the D2 placement by increasing the current amplitude while remaining within the comfort threshold. These results will help to define treatment guidelines for a planned clinical study investigating the effects of NMES and exercise in the treatment of urinary stress incontinence in women postpartum.
Resumo:
This paper describes a novel algorithm for tracking the motion of the urethra from trans-perineal ultrasound. Our work is based on the structure-from-motion paradigm and therefore handles well structures with ill-defined and partially missing boundaries. The proposed approach is particularly well-suited for video sequences of low resolution and variable levels of blurriness introduced by anatomical motion of variable speed. Our tracking method identifies feature points on a frame by frame basis using the SURF detector/descriptor. Inter-frame correspondence is achieved using nearest-neighbor matching in the feature space. The motion is estimated using a non-linear bi-quadratic model, which adequately describes the deformable motion of the urethra. Experimental results are promising and show that our algorithm performs well when compared to manual tracking.
Resumo:
Introduction and hypothesis The purpose of this study was to evaluate the effects of a pelvic floor muscle (PFM) rehabilitation program on the striated urethral sphincter in women over 60 years with stress urinary incontinence (SUI). We hypothesized that the PFM rehabilitation program would also exercise the striated urethral sphincter and that this would be demonstrated by hypertrophy of the sphincter on magnetic resonance imaging (MRI). Methods Women with at least weekly episodes of SUI were recruited. Participants were evaluated before and after a 12-week group PFM rehabilitation intervention with T2-weighted fast-spin-echo MRI sequences recorded in the axial plane at rest to assess urethral sphincter size. Data on SUI symptoms and their bother were also collected. No control group was included. Results Seventeen women participated in the study. The striated urethral sphincter increased significantly in thickness (21 %, p < 0.001), cross-sectional area (20 %, p = 0.003), and volume (12 %, p = 0.003) following the intervention. The reported number of incontinence episodes and their bother also decreased significantly. Conclusions This study appears to demonstrate that PFM training for SUI also trains the striated urethral sphincter and that improvement in incontinence signs and symptoms is associated with sphincter hypertrophy in older women with SUI. These findings support previous ultrasound (US) data showing an increase in urethral cross-sectional area following PFM training and extend the previous findings by more specifically assessing the area of hypertrophy and by demonstrating that older women present the same changes as younger women when assessed using MRI data.
Resumo:
Aims To compare magnetic resonance imaging (MRI) of the pelvic floor musculature (PFM), bladder neck and urethral sphincter morphology under three conditions (rest, PFM maximal voluntary contraction (MVC), and straining) in older women with symptoms of stress (SUI) or mixed urinary incontinence (MUI) or without incontinence. Methods This 2008–2012 exploratory observational cohort study was conducted with community-dwelling women aged 60 and over. Sixty six women (22 per group), mean age of 67.7 ± 5.2 years, participated in the study. A 3 T MRI examination was conducted under three conditions: rest, PFM MVC, and straining. ANOVA or Kruskal–Wallis tests (data not normally distributed) were conducted, with Bonferroni correction, to compare anatomical measurements between groups. Results Women with MUI symptoms had a lower PFM resting position (M-Line P = 0.010 and PC/H-line angle P = 0.026) and lower pelvic organ support (urethrovesical junction height P = 0.013) than both continent and SUI women. Women with SUI symptoms were more likely to exhibit bladder neck funneling and a larger posterior urethrovesical angle at rest than both continent and MUI women (P = 0.026 and P = 0.008, respectively). There were no significant differences between groups on PFM MVC or straining. Conclusions Women with SUI and MUI symptoms present different morphological defects at rest. These observations emphasize the need to tailor UI interventions to specific pelvic floor defects and UI type in older women.
Resumo:
Background Pelvic floor muscle training (PFMT) is a commonly used physical therapy for women with urinary incontinence (UI). Objectives To determine the effects of PFMT for women with UI in comparison to no treatment, placebo or other inactive control treatments. Search Methods Cochrane Incontinence Group Specialized Register, (searched 15 April 2013). Selection Criteria Randomized or quasi-randomized trials in women with stress, urgency or mixed UI (based on symptoms, signs, or urodynamics). Data Collection and Analysis At least two independent review authors carried out trial screening, selection, risk of bias assessment and data abstraction. Trials were subgrouped by UI diagnosis. The quality of evidence was assessed by adopting the (GRADE) approach. Results Twenty-one trials (1281 women) were included; 18 trials (1051 women) contributed data to the meta-analysis. In women with stress UI, there was high quality evidence that PFMT is associated with cure (RR 8.38; 95% CI 3.68 to 19.07) and moderate quality evidence of cure or improvement (RR 17.33; 95% CI 4.31 to 69.64). In women with any type of UI, there was also moderate quality evidence that PFMT is associated with cure (RR 5.5; 95% CI 2.87–10.52), or cure and improvement (RR 2.39; 95% CI 1.64–3.47). Conclusions The addition of seven new trials did not change the essential findings of the earlier version of this review. In this iteration, using the GRADE quality criteria strengthened the recommendations for PFMT and a wider range of secondary outcomes (also generally in favor of PFMT) were reported.
Resumo:
Aims This paper, the first of four emanating from the International Continence Society's 2011 State-of-the-Science Seminar on pelvic-floor-muscle training (PFMT) adherence, aimed to summarize the literature on theoretical models to promote PFMT adherence, as identified in the research, or suggested by the seminar's expert panel, and recommends future directions for clinical practice and research. Methods Existing literature on theories of health behavior were identified through a conventional subject search of electronic databases, reference-list checking, and input from the expert panel. A core eligibility criterion was that the study included a theoretical model to underpin adherence strategies used in an intervention to promote PFM training/exercise. Results A brief critique of 12 theoretical models/theories is provided and, were appropriate, their use in PFMT adherence strategies identified or examples of possible uses in future studies outlined. Conclusion A better theoretical-based understanding of interventions to promote PFMT adherence through changes in health behaviors is required. The results of this scoping review and expert opinions identified several promising models. Future research should explicitly map the theories behind interventions that are thought to improve adherence in various populations (e.g., perinatal women to prevent or lessen urinary incontinence). In addition, identified behavioral theories applied to PFMT require a process whereby their impact can be evaluated.
Resumo:
Aims This review aims to locate and summarize the findings of qualitative studies exploring the experience of and adherence to pelvic floor muscle training (PFMT) to recommend future directions for practice and research. Methods Primary qualitative studies were identified through a conventional subject search of electronic databases, reference-list checking, and expert contact. A core eligibility criterion was the inclusion of verbatim quotes from participants about PFMT experiences. Details of study aims, methods, and participants were extracted and tabulated. Data were inductively grouped into categories describing “modifiers” of adherence (verified by a second author) and systematically displayed with supporting illustrative quotes. Results Thirteen studies (14 study reports) were included; eight recruited only or predominantly women with urinary incontinence, three recruited postnatal women, and two included women with pelvic organ prolapse. The quality of methodological reporting varied. Six “modifiers” of adherence were described: knowledge; physical skill; feelings about PFMT; cognitive analysis, planning, and attention; prioritization; and service provision. Conclusions Individuals' experience substantial difficulties with capability (particularly knowledge and skills), motivation (especially associated with the considerable cognitive demands of PFMT), and opportunity (as external factors generate competing priorities) when adopting and maintaining a PFMT program. Expert consensus was that judicious selection and deliberate application of appropriate behavior change strategies directed to the “modifiers” of adherence identified in the review may improve PFMT outcomes. Future research is needed to explore whether the review findings are congruent with the PFMT experiences of antenatal women, men, and adults with fecal incontinence.
Resumo:
Aims There is scant information on pelvic floor muscle training (PFMT) adherence barriers and facilitators. A web-based survey was conducted (1) to investigate whether responses from health professionals and the public broadly reflected findings in the literature, (2) if responses differed between the two groups, and (3) to identify new research directions. Methods Health professional and public surveys were posted on the ICS website. PFMT adherence barriers and facilitators were divided into four categories: physical/condition, patient, therapy, and social-economic. Responses were analyzed using descriptive statistics from quantitative data and thematic data analysis for qualitative data. Results Five hundred and fifteen health professionals and 51 public respondents participated. Both cohorts felt “patient-related factors” constituted the most important adherence barrier, but differed in their rankings of short- and long-term barriers. Health professionals rated “patient-related” and the public “therapy-related” factors as the most important adherence facilitator. Both ranked “perception of PFMT benefit” as the most important long-term facilitator. Contrary to published findings, symptom severity was not ranked highly. Neither cohort felt the barriers nor facilitators differed according to PFM condition (urinary/faecal incontinence, pelvic organ prolapse, pelvic pain); however, a large number of health professionals felt differences existed across age, gender, and ethnicity. Half of respondents in both cohorts felt research barriers and facilitators differed from those in clinical practice. Conclusions An emphasis on “patient-related” factors, ahead of “condition-specific” and “therapy-related,” affecting PFMT adherence barriers was evident. Health professionals need to be aware of the importance of long-term patient perception of PFMT benefits and consider enabling strategies.