3 resultados para Labor Conditions
em Portal do Conhecimento - Ministerio do Ensino Superior Ciencia e Inovacao, Cape Verde
Resumo:
Michigan State University
Resumo:
post-independence, and on the other hand, the testimonies from Sao Tomeans individuals from different social conditions and different degrees of political responsibility, this article approaches some possible connections between poverty and micro-violence in Sao Tome and Principe. It is offered an outline of research for the difficulties of the eradication of poverty and, concomitantly, the diffusion of a growing feeling of social disruption, processes in all contrary to the promises of independence for this archipelago. Frequently, the archipelago’s visitors make hasty opinions about the imaginary effortlessness of governing two islands with less than one hundred and fifty thousand citizens. However, contrary to this very common prejudice, the micro-insularity is considered an obstacle to development, a notion shared by many Sao Tomeans. Could micro-insularity equally be, under this outlook, an impoverishment-inducing factor? Regarding the development, there is some truth in this diagnosis, which the Sao Tomeans also use to justify their current difficulties. Throughout the 70s and 80s, the MLSTP – Movimento de Libertação de São Tomé e Príncipe (Movement for the Liberation of Sao Tome and Principe) endorsed a development founded on an expansion of cacao cultures, at the expenses of an intensified production rate, and on an incipient industrialization, which was intended to avoid importations and economic dependency. At the time, the Sao Tomeans leaders justified the rising daily difficulties, quite the opposite of the promises made during the independence, with an economic disarticulation resulting from the gradual abandonment of economic infrastructures inflicted by the last batch of colonists, which affected the cacao plantations too. Simultaneously, both the inefficiency and cost of the industrial endeavors launched after the independence and the erosion of labor and social relationships in nationalized farms had been rather neglected.
Resumo:
Dans les sols infestés avec Macrophomina phaseolina les semences de niébé ne germent pas ou bien la plantule est détruite plus ou moins rapidement après la germination. Clonostachys rosea est un champignon commun du sol reconnu comme un saprophyte avec une haute capacité de compétition sur les racines et dans le sol. Notre étude a pour objectif d’évaluer l’effet de C. rosea en traitement de semences du niébé conservées à 40°C sur le développement de la pourriture charbonneuse. L’effet de la durée de conservation sur la viabilité des spores et le pouvoir antagonique du bioagent a également été étudié dans les conditions semi contrôlé et au champ. Les isolats de C. rosea proviennent de la collection du laboratoire de phytopathologie de AGRHYMET. La production des spores a été effectuée sur le milieu PDA pendant 4 semaines. Les semences du niébé ont été traitées avec une suspension de spores à la concentration de 108 spores / ml à raison de 5 ml de suspension par kg de semences. Les semences traitées ont été séchées sous la hotte à flux laminaire pendant 2 h avant d’être semées ou conservées à 40°C. Des tests de viabilité des spores de C. rosea sur le milieu de culture PDA ont été effectués au laboratoire tous les 15 jours de conservation. Le taux de germination des semences sur papier buvard, évalué au cinquième jour après semis au laboratoire a été de 99 %. La forte moyenne de spores viables au jour de l’enrobage (J0) (>4,5 105), a chuté à 1700 spores par graines après 75 jours de conservation. En serre, le niveau de colonisation des tissus des plants de niébé se développant sur le sol infesté a été significativement plus faible chez les plants issus de graines enrobées (1009 microsclérotes/g tissus) que chez ceux issus de graines non enrobées (2356 microsclérotes/g tissus). Par rapport a la sévérité de la maladie, exprimée sur une échelle de 1-5, ont été notées une forte infection des plants du témoin Macrophomina (graines non traitées semées dans un sol infesté) et des attaques moins sévères sur les traitements G3M et G4M (graines traitées semées dans un sol infesté). Au champ dans l’essai semé avec des graines enrobées mais non conservées, l’association des isolats G3 et G4 a été nettement supérieure aux autres traitements par rapport aux rendements en fane et en graines. Par contre, par rapport au rendement, aucun effet des traitements n’a été observé dans l’essai semé avec les graines conservées pendant 30 jours.