22 resultados para Méthode de recherche Parse
Resumo:
Numerous scholars have already stressed the need to prepare students prior to academic mobility (Abdallah-Pretceille, 2003; Jackson, 2013, for example) in order to face hypermodernity (Aubert, 2004). As per the new mobilities paradigm (Urry, 2007), this implies considering individuals at the centre of political and institutional issues. Furthermore, the multiplicity of terminology of references towards academic mobility, and intercultural competences, justifies this research. The theory, for this doctoral dissertation, applies “renewed interculturality” (Dervin, 2012), a move away from a culturalist approach. Intercultural competences are therefore defined as a stepping back from discourses on the Other that may emerge during encounters. In order to collect the data, six focus groups have been organised with two batches of students from a Higher Education Institution in Hong-Kong, an “education hub” (Dervin & Machart, 2014) that is striving to be competitive particularly in increasing the number of incomingand outcoming students. Training and education to interculturality have been implemented prior to academic mobility in order to observe the impact on participants’ discourses before and after the mobility. Theories of enunciation and dialogism represent the methodology allowing us to compare and analyse the reported voices in the participants’ discourse and their prosodic realisation (Martin & White, 2005) before and after the experience of academic mobility. I have attempted to observe the dialogic space available to welcome the Other during encounters in the participants’ discourse. The results seem to underline the increased number of reported voices in participants’ discourse after study abroad, but as the space opened for negotiation is instable and depends on the interlocutors and the voices addressed, consequently, further research appears necessary to study the influences of a preparation prior to mobility on the contraction or expansion of heteroglossia. All in all, this doctoral dissertation aimed to renew preparation
Resumo:
Ce mémoire de master porte sur l’apprentissage des voyelles françaises par les apprenants finnophones. Il vise à examiner si les étudiants du français différencient les phonèmes /e/ et /ɛ/ et s’il a une amélioration dans leur production après l’enseignement et la pratique de ces voyelles. Cette étude empirique profite de la recherche antérieure réalisée dans le domaine de l’acquisition des langues étrangères et utilise des outils méthodologiques provenant de la phonétique. L’étude a impliqué 14 étudiants du français qui ont participé au cours de la prononciation française, organisé à l’université de Turku. La recherche a consisté en tests de production des mots d’une syllabe avant et après l’enseignement des phonèmes examinés. La méthode utilisée est l’analyse acoustique des voyelles. Les productions des sujets ont été analysées acoustiquement et statistiquement à l’égard de la voyelle /E/. Les résultats montrent que les sujets différencient les phonèmes au niveau d’aperture. Pourtant, l’analyse des résultats suggère qu’ils les prononcent plus postérieures que les locuteurs natifs. En plus, il n’y avait pas d’amélioration dans la prononciation des sujets quant aux phonèmes examinés. L’étude suggère que la difficulté de prononcer les phonèmes examinés ne se trouve pas tant au niveau d’aperture/fermeture, mais plutôt au niveau d’antériorité/ postériorité. Quant à l’enseignement des phonèmes français, il serait utile de mettre l’accent sur l’antériorité des voyelles françaises par rapport aux voyelles finnoises. En ce qui concerne la voyelle /e/ mi-fermée, ce sont les caractéristiques de tension et écartement qui différencient cette voyelle la plus clairement de la /e/ du finnois et qui devraient être soulignées lors de l’apprentissage de ce phonème. Dans l’enseignement d’une langue étrangère, plus d’attention devrait être portée aux sons qui sont similaires par rapport à la langue maternelle, parce que ce sont les sons les plus difficiles d’apprendre. Les sons étrangers devraient être enseignés dès qu’on commence à apprendre une langue étrangère car l’apprentissage devient plus difficile avec l’âge.