11 resultados para personnage musical

em Université de Lausanne, Switzerland


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Using optimized voxel-based morphometry, we performed grey matter density analyses on 59 age-, sex- and intelligence-matched young adults with three distinct, progressive levels of musical training intensity or expertise. Structural brain adaptations in musicians have been repeatedly demonstrated in areas involved in auditory perception and motor skills. However, musical activities are not confined to auditory perception and motor performance, but are entangled with higher-order cognitive processes. In consequence, neuronal systems involved in such higher-order processing may also be shaped by experience-driven plasticity. We modelled expertise as a three-level regressor to study possible linear relationships of expertise with grey matter density. The key finding of this study resides in a functional dissimilarity between areas exhibiting increase versus decrease of grey matter as a function of musical expertise. Grey matter density increased with expertise in areas known for their involvement in higher-order cognitive processing: right fusiform gyrus (visual pattern recognition), right mid orbital gyrus (tonal sensitivity), left inferior frontal gyrus (syntactic processing, executive function, working memory), left intraparietal sulcus (visuo-motor coordination) and bilateral posterior cerebellar Crus II (executive function, working memory) and in auditory processing: left Heschl's gyrus. Conversely, grey matter density decreased with expertise in bilateral perirolandic and striatal areas that are related to sensorimotor function, possibly reflecting high automation of motor skills. Moreover, a multiple regression analysis evidenced that grey matter density in the right mid orbital area and the inferior frontal gyrus predicted accuracy in detecting fine-grained incongruities in tonal music.

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Même si Alison Fairlie, Tzvetan Todorov, Han Verhoeff et Simone Balayé ont reconnu l'importance de la parole dans les récits littéraires de Benjamin Constant (Amélie et Germaine, Cécile, Ma vie et Adolphe), dans leurs commentaires ces critiques ont surtout mis en évidence les échecs et les malentendus inhérents à toute communication verbale. Au-delà de ces constatations, il restait à montrer que les récits constantiens donnent à voir et à comprendre l'intérêt que cet écrivain nourrissait pour la parole, tout particulièrement pour la parole privée -celle qu'il a choisi de mettre en scène dans ces quatre oeuvres, qui acquièrent, grâce à cette spécificité, une manière d'unité. Cette parole intime, aux antipodes de la parole publique, s'offre comme un champ d'investigation illimité tant le locuteur est alors impliqué dans sa pratique verbale. Les introspections des narrateurs-personnages constantiens font naître la peinture d'un sujet moderne, fragilisé dans sa vie personnelle et peu engagé dans la vie sociale, mais elles offrent surtout un vaste panorama des situations d'interlocution et présentent en creux les nombreuses ressources de la parole. Ces récits, qui accordent une attention tout à fait signifiante à l'écriture de la parole, mais échappent parfois à toute classification générique, parviennent à mimer les incertitudes de leur narrateur-personnage tout en révélant que c'est par la parole, originale et singulière, que le sujet s'individualise expérience rendue souvent difficile à cause de la langue conventionnelle dont usent ceux que l'on rencontre dans les lieux de sociabilité, en ce XIXe siècle naissant.

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A 47 ans, Edwige Feuillère est la vedette principale du Blé en herbe (1954), où elle incarne une femme d'âge mûr qui entreprend l'initiation amoureuse d'un jeune homme ; quatre ans plus tard, elle joue dans En cas de malheur le rôle d'une épouse qui, dans l'abnégation la plus complète, accepte les infidélités de son mari et s'efface devant le couple formé par Jean Gabin (54 ans) et Brigitte Bardot (24 ans). La place accordée aux deux personnages interprétés par Feuillère sera examinée en termes de construction de l'image d'une star vieillissante à travers l'étude du triangle amoureux qui structure le récit de ces deux adaptations (qu'il s'agira de comparer aux romans de Colette et de Simenon dont elles sont issues), de la stratégie promotionnelle pratiquée et des discours émis à propos de Feuillère au sein de la réception critique. Le contexte de production des films ainsi que certaines versions non retenues du scénario seront discutées à partir des archives du fonds Claude Autant-Lara de la Cinémathèque suisse.