49 resultados para mères porteuses

em Université de Lausanne, Switzerland


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Mères entre amour familial et "individualisme moderne?" Une mise en perspective (XVIIIe-XIXe siècles)

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Objectifs Évaluer et comparer la présence de symptômes de stress post-traumatique, en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Méthode En fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel moins de 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe témoin de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats Les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mères et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Conclusion La naissance prématurée est susceptible d'entraîner l'apparition de symptômes de stress post-traumatique chez les parents. Les mères et les pères réagissent différemment. Objectives Evaluation of the symptoms of parental post-traumatic stress disorder (PTSD), according to the severity of the prematurity, in mothers and fathers of premature babies. Materials and methods According to the Perinatal Risk Inventory (PERI), the parents of premature infants (gestational age less than 34 weeks) were divided into two groups, parents of a low-risk premature infants (n = 16) and of high-risk premature infants (n = 26). The symptoms of intrusion and avoidance, as a part of the post-traumatic stress disorder, were evaluated by an autoadministrated questionnaire, the Impact of Event Scale (IES). Their responses were compared with a control group of parents of full-term infants (n = 24). The differences in the answers of mothers and fathers were analysed. Results The occurrence of symptoms of post-traumatic stress disorder is increased in parents of preterm infants compared with the control group. Whereas mothers of premature infants are at risk of presenting symptoms of PTSD, linked to the prematurity, with fathers the infant perinatal risk factors play a greater role. The symptoms of intrusion are present in mothers and fathers of preterm infants of both groups. Mothers of both groups present avoidance symptoms, although only fathers of high-risk preterm infants present them. Conclusions Premature birth has an impact on both parents in terms of post-traumatic stress reactions. However, mothers and fathers react in different ways according to the severity of the prematurity.

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Rapport de synthèse : Cette étude réalisée conjointement par les services de pédopsychiatrie et de néonatologie du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse, s'inscrit dans un groupe de publications issues d'un projet portant sur les représentations parentales et le devenir de 1a prématurité, financée par le Fonds National de la Recherche Scientifique entre 1998 et 2002 (FNRS 32-49712.96), soutenue par la Fondation de la Psychiatrie pour la Petite Enfance. Elle à pour objectifs d'évaluer et de compazer la présence de symptômes de stress post-traumatique; en fonction de la gravité de la prématurité, chez les mères et chez les pères de bébés nés prématurément. Population et Méthode : en fonction du score de risque périnatal (PERI) du bébé, les parents des prématurés (âge gestationnel < 34 semaines) ont été divisés en deux groupes : les parents de prématurés à faible risque (n = 16) et à haut risque (n = 26). Les symptômes d'intrusion et d'évitement, de l'état de stress post-traumatique, ont été évalués chez les parents à l'aide d'un questionnaire rempli par les parents, l'Impact of Event Scale (IES). Leurs réponses ont été comparées à un groupe contrôle de parents de nouveau-nés à terme (n = 24). Les différences entre les réponses des mères et des pères, ont été analysées. Résultats : les parents de bébés prématurés sont plus à risque que les parents de nouveau-nés à terme, de présenter des symptômes de stress post-traumatique. Les mères en lien avec le fait même de la prématurité du bébé, les pères en lien avec la gravité de la prématurité. Les mèrés et les pères des prématurés des deux groupes (prématurés à faible risque, prématurés à haut risque) décrivent des symptômes d'intrusion, alors que les symptômes d'évitement sont décrits par toutes les mères, mais seulement par les pères de prématurés à haut risque périnatal. Le vécu particulier des parents, ainsi que les enjeux différents pour les mères et les pères lors d'une naissance prématurée, sont ainsi mis en évidence. La prise en compte de ces différences devrait influencer les interventions des pédopsychiatres et des équipes de néonatologie qui interviennent auprès des parents et guident la construction des liens avec le bébé né prématurément. Publiée par la revue «Neuropsychiatrie de l'enfance et de l'adolescence », aux éditions Elsevier Masson sous le titre : « Etat de stress post-traumatique chez les mères et chez les pères d'enfants prématurés : similitudes et différences» ; numéró 57 (2009) 385-391.

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Le sentiment d'efficacité parentale est d'une importance fondamentale pour la mise en place de pratiques parentales adaptées (Williams et al., 1987). Notre étude adopte le point de vue de la mère, et s'intéresse à comprendre comment le sentiment d'efficacité, les pratiques maternelles et la position socioéconomique de la mère influencent le développement de l'enfant. Nous nous basons sur la théorie du sentiment d'efficacité de Bandura (2003), et nous avons utilisé trois instruments : la Liste des tâches parentales (Sanders & Wooley, 2001), l'Echelle des compétences éducatives parentales (Terrisse & Larose, 2001) et le Questionnaire sur les points forts et les points faibles de Goodman (1997). Dans notre étude qui porte sur un échantillon composé de 85 mères (N=85), nous nous sommes intéressés d'une part aux types de liens existant entre le sentiment d'efficacité parentale, les pratiques parentales, les comportements de l'enfant et la position socioéconomique de la mère. D'autre part, nous nous sommes intéressés à comparer les résultats obtenus par les mères jeunes avec ceux obtenus avec des mères plus matures. Les résultats principaux suggèrent que les mères estimant avoir des pratiques libérales perçoivent davantage les troubles de l'hyperactivité chez leur enfant que les mères estimant avoir des pratiques normatives. Par ailleurs, les résultats montrent qu'une relation étroite entre la perception des problèmes de développement chez l'enfant et un sentiment d'efficacité faible chez les mères. Ces résultats soulignent l'importance, afin de prévenir les problèmes de développement chez l'enfant, de la mise en place de la part du parent de pratiques parentales adaptées à l'enfant et de la présence d'un sentiment d'efficacité parentale élevé. De plus, ces deux variables s'avèrent particulièrement importantes lorsque la mère est jeune et confrontée à un contexte socioéconomique difficile, du fait que les pratiques parentales adaptées et le sentiment d'efficacité parentale protègent l'enfant des influences négatives d'un contexte hostile à son développement. Ainsi, nous pouvons conclure en soulignant l'importance, dans les interventions préventives des problèmes développementaux chez les enfants, de se cibler sur le développement du sentiment d'efficacité, sur l'amélioration de la qualité des pratiques parentales, sans oublier la nécessité de soigner la qualité du contexte socioéconomique.