11 resultados para bombyx-mori

em Université de Lausanne, Switzerland


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The American College of Surgeons Committee on Trauma's Advanced Trauma Life Support Course is currently taught in 50 countries. The 8th edition has been revised following broad input by the International ATLS subcommittee. Graded levels of evidence were used to evaluate and approve changes to the course content. New materials related to principles of disaster management have been added. ATLS is a common language teaching one safe way of initial trauma assessment and management.

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OBJECTIVE: We examined cognitive performance in children after stroke to study the influence of age at stroke, seizures, lesion characteristics, neurologic impairment (NI), and functional outcome on cognitive outcome. METHODS: This was a prospectively designed study conducted in 99 children who sustained an arterial ischemic stroke (AIS) between the age of 1 month and 16 years. All children underwent cognitive and neurologic follow-up examination sessions 2 years after the insult. Cognitive development was assessed with age-appropriate instruments. RESULTS: Although mean cognitive performance was in the lower normative range, we found poorer results in subtests measuring visuoconstructive skills, short-term memory, and processing speed. Risk factors for negative cognitive outcome were young age at stroke, seizures, combined lesion location (cortical and subcortical), as well as marked NI. CONCLUSIONS: We recommend that all children with a history of AIS undergo regularly scheduled neuropsychological assessment to ensure implementation of appropriate interventions and environmental adjustments as early as possible.

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The valuation of human costs is a necessity, but this task poses many problems of method. A team made of a philosopher, a psychologist and a physician has been working with economist researchers in order to look into the meaning that the preferences announced at the time of the inquiries on human costs by QALY methods could assume. These methods are often used to obtain a valuation of the impact of a health attack on people's quality of life. The methods--in the frame of the argument assumed by the economic theory on well-being--hypothesize that people's choices depend mainly on cognitive work. The qualitative interviews show that the psychological construction process for the announced preferences largely overlap this frame. In this paper the authors hastily tackle the factors which have an effect on the preferences. They conclude that the QALY methods don't seem to be able to assess the quality of life nori to valuate the damage that the quality of life could include.

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OBJECTIVE: To identify the genetic causes underlying early-onset autosomal recessive retinitis pigmentosa (arRP) in the Spanish population and describe the associated phenotype. DESIGN: Case series. PARTICIPANTS: A total of 244 unrelated families affected by early-onset arRP. METHODS: Homozygosity mapping or exome sequencing analysis was performed in 3 families segregating arRP. A mutational screening was performed in 241 additional unrelated families for the p.Ser452Stop mutation. Haplotype analysis also was conducted. Individuals who were homozygotes, double heterozygotes, or carriers of mutations in RP1 underwent an ophthalmic evaluation to establish a genotype-phenotype correlation. MAIN OUTCOME MEASURES: DNA sequence variants, homozygous regions, haplotypes, best-corrected visual acuity, visual field assessments, electroretinogram responses, and optical coherence tomography images. RESULTS: Four novel mutations in RP1 were identified. The new mutation p.Ser542Stop was present in 11 of 244 (4.5%) of the studied families. All chromosomes harboring this mutation shared the same haplotype. All patients presented a common phenotype with an early age of onset and a prompt macular degeneration, whereas the heterozygote carriers did not show any signs of retinitis pigmentosa (RP). CONCLUSIONS: p.Ser542Stop is a single founder mutation and the most prevalent described mutation in the Spanish population. It causes early-onset RP with a rapid macular degeneration and is responsible for 4.5% of all cases. Our data suggest that the implication of RP1 in arRP may be underestimated. FINANCIAL DISCLOSURE(S): The author(s) have no proprietary or commercial interest in any materials discussed in this article.

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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.

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Mammary tumors of a newly isolated strain of Chinese wild mouse (JYG mouse) harbor exogenous mouse mammary tumor virus (MMTV). The complete nucleotide sequence of exogenous JYG-MMTV was determined on the proviral 5' long terminal repeat (LTR)(partial)-gag-pol-env-3' LTR (partial) fragment cloned into a plasmid vector and the cDNA sequence from JYG-MMTV producing cells. Similarly to the other MMTV species the LTR of JYG-MMTV contains an open reading frame (ORF). The amino acid sequence of the JYG-MMTV ORF resembles that of SW-MMTV (92% identity) and endogenous Mtv-7 (93% identity) especially at the C-terminal region. Thus, a functional similarity in T-cell receptor V beta recognition as a superantigen is implicated among these MMTV species. Analysis of the viral gag nucleotide sequence revealed that this gene is not disrupted by the bacterial insertion sequence IS1 or IS2, which have been reported to be present in the majority of the plasmids containing the gag region. Comparison of amino acid sequences of JYG-MMTV with those of BR6-MMTV showed that over 96% of the amino acids of gag, pol, protease and env products are identical. These results suggest the intact nature of the nucleotide sequence of the near full-length MMTV genome cloned in the plasmid.

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To improve the yield of the cytogenetic analysis in patients with acute nonlymphocytic leukemia (ANLL), six culture conditions for bone marrow or peripheral blood cells were tested in parallel. Two conditioned media (CM), phytohemagglutinin leukocyte PHA-LCM and 5637 CM, nutritive elements (NE), and methotrexate (MTX) cell synchronization were investigated in 14 patients presenting with either inv(16)/ t(16;16) (group 1, n = 9 patients) or t(15;17) (group 2, n = 5). The criteria used to identify the most favorable culture conditions were the mitotic index (MI), the morphological index (MorI), and the percentage of abnormal metaphases. In the presence of PHA-LCM and 5637 CM, the MI were significantly increased in group 2, whereas in the MTX conditions, MI remained very low in both groups. The values of the MorI did not reveal any significant changes in chromosome resolution between the conditions in either group. The addition of NE did not have a positive effect in quantity or quality of metaphases. Because of the variability of the response of leukemic cells to different stimulations in vitro, several culture conditions in parallel are required to ensure a satisfactory yield of the chromosome analysis in ANLL.

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Uncontrolled endoplasmic reticulum (ER) stress responses are proposed to contribute to the pathology of chronic inflammatory diseases such as type 2 diabetes or atherosclerosis. However, the connection between ER stress and inflammation remains largely unexplored. Here, we show that ER stress causes activation of the NLRP3 inflammasome, with subsequent release of the pro-inflammatory cytokine interleukin-1β. This ER-triggered proinflammatory signal shares the same requirement for reactive oxygen species production and potassium efflux compared with other known NLRP3 inflammasome activators, but is independent of the classical unfolded protein response (UPR). We thus propose that the NLRP3 inflammasome senses and responds to ER stress downstream of a previously uncharacterized ER stress response signaling pathway distinct from the UPR, thus providing mechanistic insight to the link between ER stress and chronic inflammatory diseases.

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Pneumolysin (PLY) is a key Streptococcus pneumoniae virulence factor and potential candidate for inclusion in pneumococcal subunit vaccines. Dendritic cells (DC) play a key role in the initiation and instruction of adaptive immunity, but the effects of PLY on DC have not been widely investigated. Endotoxin-free PLY enhanced costimulatory molecule expression on DC but did not induce cytokine secretion. These effects have functional significance as adoptive transfer of DC exposed to PLY and antigen resulted in stronger antigen-specific T cell proliferation than transfer of DC exposed to antigen alone. PLY synergized with TLR agonists to enhance secretion of the proinflammatory cytokines IL-12, IL-23, IL-6, IL-1β, IL-1α and TNF-α by DC and enhanced cytokines including IL-17A and IFN-γ by splenocytes. PLY-induced DC maturation and cytokine secretion by DC and splenocytes was TLR4-independent. Both IL-17A and IFN-γ are required for protective immunity to pneumococcal infection and intranasal infection of mice with PLY-deficient pneumococci induced significantly less IFN-γ and IL-17A in the lungs compared to infection with wild-type bacteria. IL-1β plays a key role in promoting IL-17A and was previously shown to mediate protection against pneumococcal infection. The enhancement of IL-1β secretion by whole live S. pneumoniae and by PLY in DC required NLRP3, identifying PLY as a novel NLRP3 inflammasome activator. Furthermore, NLRP3 was required for protective immunity against respiratory infection with S. pneumoniae. These results add significantly to our understanding of the interactions between PLY and the immune system.

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BACKGROUND AND OBJECTIVES: Neonatal arterial ischemic stroke (NAIS) is associated with considerable lifetime burdens such as cerebral palsy, epilepsy, and cognitive impairment. Prospective epidemiologic studies that include outcome assessments are scarce. This study aimed to provide information on the epidemiology, clinical manifestations, infarct characteristics, associated clinical variables, treatment strategies, and outcomes of NAIS in a prospective, population-based cohort of Swiss children. METHODS: This prospective study evaluated the epidemiology, clinical manifestations, vascular territories, associated clinical variables, and treatment of all full-term neonates diagnosed with NAIS and born in Switzerland between 2000 and 2010. Follow-up was performed 2 years (mean 23.3 months, SD 4.3 months) after birth. RESULTS: One hundred neonates (67 boys) had a diagnosis of NAIS. The NAIS incidence in Switzerland during this time was 13 (95% confidence interval [CI], 11-17) per 100 000 live births. Seizures were the most common symptom (95%). Eighty-one percent had unilateral (80% left-sided) and 19% had bilateral lesions. Risk factors included maternal risk conditions (32%), birth complications (68%), and neonatal comorbidities (54%). Antithrombotic and antiplatelet therapy use was low (17%). No serious side effects were reported. Two years after birth, 39% were diagnosed with cerebral palsy and 31% had delayed mental performance. CONCLUSIONS: NAIS in Switzerland shows a similar incidence as other population-based studies. About one-third of patients developed cerebral palsy or showed delayed mental performance 2 years after birth, and children with normal mental performance may still develop deficits later in life.