4 resultados para Visions.
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
The fracture risk assessment tool (FRAX(®)) has been developed for the identification of individuals with high risk of fracture in whom treatment to prevent fractures would be appropriate. FRAX models are not yet available for all countries or ethnicities, but surrogate models can be used within regions with similar fracture risk. The International Society for Clinical Densitometry (ISCD) and International Osteoporosis Foundation (IOF) are nonprofit multidisciplinary international professional organizations. Their visions are to advance the awareness, education, prevention, and treatment of osteoporosis. In November 2010, the IOF/ISCD FRAX initiative was held in Bucharest, bringing together international experts to review and create evidence-based official positions guiding clinicians for the practical use of FRAX. A consensus meeting of the Asia-Pacific (AP) Panel of the ISCD recently reviewed the most current Official Positions of the Joint Official Positions of ISCD and IOF on FRAX in view of the different population characteristics and health standards in the AP regions. The reviewed position statements included not only the key spectrum of positions but also unique concerns in AP regions.
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To what extent do and could e-tools contribute to a democracy like Switzerland? This paper puts forward experiences and visions concerning the application of e-tools for the most traditional democratic processes- elections and, of special importance in Switzerland, direct-democratic votes.Having the particular voting behaviour of the Swiss electorate in mind (low voter turnout - especially among the youngest age group, low political knowledge, etc.) we believe that e-tools which provide information in the forefront of elections or direct-democratic votes offer an enormous service to the voter. As soon as e-voting will be possible in Switzerland (as planned by the government), those e-tools for gathering information online will become indispensable and will gain power enormously. Therefore political scientists should not only focus on potential effects of e-voting itself but rather on the combination of (connected)e-tools of the pre-voting and the voting sphere. In the case of Switzerland, we argue in this paper, the offer of VAAs such as smartvote for elections and direct-democratic votes can provide the voter with more balanced and qualitatively higher information and thereby make a valuable contribution to the Swiss democracy.
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Combining theories on social trust and social capital with sociopsychological approaches and applying contextual analyses to Swiss and European survey data, this thesis examines under what circumstances generalised trust, often understood as public good, may not benefit everyone, but instead amplify inequality. The empirical investigation focuses on the Swiss context, but considers different scales of analysis. Two broader questions are addressed. First, might generalised trust imply more or less narrow visions of community and solidarity in different contexts? Applying nonlinear principal component analysis to aggregate indicators, Study 1 explores inclusive and exclusive types of social capital in Europe, measured as regional configurations of generalised trust, civic participation and attitudes towards diversity. Study 2 employs multilevel models to examine how generalised trust, as an individual predisposition and an aggregate climate at the level of Swiss cantons, is linked to equality- directed collective action intention versus radical right support. Second, might high-trust climates impact negatively on disadvantaged members of society, precisely because they reflect a normative discourse of social harmony that impedes recognition of inequality? Study 3 compares how climates of generalised trust at the level of Swiss micro-regions and subjective perceptions of neighbourhood cohesion moderate the negative relationship between socio-economic disadvantage and mental health. Overall, demonstrating beneficial, as well as counterintuitive effects of social trust, this thesis proposes a critical and contextualised approach to the sources and dynamics of social cohesion in democratic societies. -- Cette thèse combine des théories sur le capital social et la confiance sociale avec des approches psychosociales et s'appuie sur des analyses contextuelles de données d'enquêtes suisses et européennes, afin d'étudier dans quelles circonstances la confiance généralisée, souvent présentée comme un bien public, pourrait ne pas bénéficier à tout le monde, mais amplifier les inégalités. Les études empiriques, centrées sur le contexte suisse, intègrent différentes échelles d'analyse et investiguent deux questions principales. Premièrement, la confiance généralisée implique-t-elle des visions plus ou moins restrictives de la communauté et de la solidarité selon le contexte? Dans l'étude 1, une analyse à composantes principales non-linéaire sur des indicateurs agrégés permet d'explorer des types de capital social inclusif et exclusif en Europe, mesurés par des configurations régionales de confiance généralisée, de participation civique, et d'attitudes envers la diversité. L'étude 2 utilise des modèles multiniveaux afin d'analyser comment la confiance généralisée, en tant que prédisposition individuelle et climat agrégé au niveau des cantons suisses, est associée à l'intention de participer à des actions collectives en faveur de l'égalité ou, au contraire, à l'intention de voter pour la droite radicale. Deuxièmement, des climats de haute confiance peuvent-ils avoir un impact négatif sur des membres désavantagés de la société, précisément parce qu'ils reflètent un discours normatif d'harmonie sociale qui empêche la reconnaissance des inégalités? L'étude 3 analyse comment des climats de confiance au niveau des micro-régions suisses et la perception subjective de faire partie d'un environnement cohésif modèrent la relation négative entre le désavantage socio-économique et la santé mentale. En démontrant des effets bénéfiques mais aussi contre-intuitifs de la confiance sociale, cette thèse propose une approche critique et contextualisée des sources et dynamiques de la cohésion sociale dans les sociétés démocratiques.
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Si la famille est en général synonyme d'intimité et de relations de confiance, elle peut également être un lieu d'abus, de contrôle ou de violences. Les diverses formes de violences qui se déroulent dans la sphère privée ont été dénoncées dès les années 1970 par les mouvements féministes. Elles ont alors fait l'objet d'une variété de politiques et d'actions publiques ayant pour vocation de défendre et d'accompagner les victimes, de punir et soigner les agresseurs ou de rétablir des liens familiaux distendus. En s'attachant à la façon dont ces violences ont été définies dans des contextes différents, en Europe, en Amérique du Nord et en Amérique latine, cet article a pour ambition de donner à voir les perspectives variées que recouvrent des catégories d'action publique aussi diverses que violences conjugales, violences domestiques, violences intrafamiliales ou encore féminicides ou fémicides, et les conséquences que ces différentes visions du problème ont sur sa prise en charge. Largement influencé par les études genre et la sociologie des problèmes publics, cet article, notamment à travers la présentation des contributions qui composent ce numéro de la revue Enfances Familles Générations, entend questionner les notions de violences de genre dans le cadre familial, dont les frontières sont fluctuantes et investies de façon variée, ainsi que les formes d'institutionnalisation du problème et les solutions qui sont envisagées.