13 resultados para Union University, Schenectady, N.Y.

em Université de Lausanne, Switzerland


Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVE: To assess the quality of preventive care according to physician and patient gender in a country with universal health care coverage. METHODS: We assessed a retrospective cohort study of 1001 randomly selected patients aged 50-80years followed over 2years (2005-2006) in 4 Swiss university primary care settings (Basel, Geneva, Lausanne, Zürich). We used indicators derived from RAND's Quality Assessment Tools and examined percentages of recommended preventive care. Results were adjusted using hierarchical multivariate logistic regression models. RESULTS: 1001 patients (44% women) were followed by 189 physicians (52% women). Female patients received less preventive care than male patients (65.2% vs. 72.1%, p<0.001). Female physicians provided significantly more preventive care than male physicians (p=0.01) to both female (66.7% vs. 63.6%) and male patients (73.4% vs. 70.7%). After multivariate adjustment, differences according to physician (p=0.02) and patient gender (p<0.001) remained statistically significant. Female physicians provided more recommended cancer screening than male physicians (78.4 vs. 71.9%, p=0.01). CONCLUSIONS: In Swiss university primary care settings, female patients receive less preventive care than male patients, with female physicians providing more preventive care than male physicians. Greater attention should be paid to female patients in preventive care and to why female physicians tend to provide better preventive care.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

HYPOTHESIS: Gastric banding (GB) and Roux-en-Y gastric bypass (RYGBP) are used in the treatment of morbidly obese patients. We hypothesized that RYGBP provides superior results. DESIGN: Matched-pair study in patients with a body mass index (BMI) less than 50. SETTING: University hospital and regional community hospital with a common bariatric surgeon. PATIENTS: Four hundred forty-two patients were matched according to sex, age, and BMI. INTERVENTIONS: Laparoscopic GB or RYGBP. MAIN OUTCOME MEASURES: Operative morbidity, weight loss, residual BMI, quality of life, food tolerance, lipid profile, and long-term morbidity. RESULTS: Follow-up was 92.3% at the end of the study period (6 years postoperatively). Early morbidity was higher after RYGBP than after GB (17.2% vs 5.4%; P<.001), but major morbidity was similar. Weight loss was quicker, maximal weight loss was greater, and weight loss remained significantly better after RYGBP until the sixth postoperative year. At 6 years, there were more failures (BMI>35 or reversal of the procedure/conversion) after GB (48.3% vs 12.3%; P<.001). There were more long-term complications (41.6% vs 19%; P.001) and more reoperations (26.7% vs 12.7%; P<.001) after GB. Comorbidities improved more after RYGBP. CONCLUSIONS: Roux-en-Y gastric bypass is associated with better weight loss, resulting in a better correction of some comorbidities than GB, at the price of a higher early complication rate. This difference, however, is largely compensated by the much higher long-term complication and reoperation rates seen after GB.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction : L'équipe mobile de soins palliatifs intra hospitalière (EMSP) du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV) a été mise en place en 1996. Il s'agit d'une des premières équipes interdisciplinaire de consultants mise à disposition d'un hôpital tertiaire. Le CHUV est l'hôpital de proximité de la ville de Lausanne (850 lits) mais aussi un hôpital de référence pour le reste du canton. En 2007, il y a eu 38'359 patients hospitalisés au CHUV. Les facteurs d'évaluation du taux d'utilisation d'une équipe mobile de soins palliatifs consultantes sont variés et complexes. Plusieurs méthodes sont décrites dans la littérature pour tenter de répondre à cette problématique. Avant de pouvoir évaluer l'utilisation de notre équipe mobile consultante de soins palliatifs intra hospitalière, il nous est apparu nécessaire de mieux décrire et définir la population qui meurt dans notre institution. McNamara et collègues ont proposé des critères qui classifient une population palliative comme « minimale », « intermédiaire » ou « maximale ». L'objectif de cette étude est de déterminer le taux de patients décédés au CHUV sur une période de 4 mois (Γ1 février au 31 mai 2007) suivie par notre EMSP en utilisant la méthode de classification «minimal » et « maximal ». Méthode : les archives médicales du CHUV ont été analysées pour chaque patient adulte décédé pendant la période sélectionnée. Les populations « maximal » et « minimal » de ces patients ont été ensuite déterminées selon des critères basés sur les codes diagnostiques figurants sur les certificats de décès. De ces deux populations, nous avons identifié à partir de notre base de données, les patients qui ont été suivie par notre EMSP. Le CHUV utilise les mêmes codes diagnostiques (International Classification of Disease, ICD) que ceux utilisés dans la classification de McNamara. Une recherche pilote effectuée dans les archives médicales du CHUV manuellement en analysant en profondeur l'ensemble du dossier médical a révélé que la classification de la population « minimal » pouvait être biaisée notamment en raison d'une confusion entre la cause directe du décès (complication d'une maladie) et la maladie de base. Nous avons estimé le pourcentage d'erreur de codification en analysé un échantillon randomisé de patients qui remplissait les critères « minimal ». Résultats : sur un total de 294 décès, 263 (89%) remplissaient initialement les critères « maximal » et 83 (28%) les critères «minimal», l'analyse de l'échantillon randomisé de 56 dossiers de patients sur les 180 qui ne remplissaient pas les critères « minimal » ont révélé que 21 (38%) auraient dus être inclus dans la population « minimal ». L'EMSP a vu 67/263 (25.5%) de la population palliative « maximal » et 56/151 (37.1%) de la population palliative « minimal ». Conclusion : cette étude souligne l'utilité de la méthode proposée par McNamara pour déterminer la population de patients palliatifs. Cependant, notre travail illustre aussi une limite importante de l'estimation de la population « minima » en lien avec l'imprécision des causes de décès figurant sur les certificats de décès de notre institution. Nos résultats mettent aussi en lumière que l'EMSP de notre institution est clairement sous- utilisée. Nous prévoyons une étude prospective de plus large envergure utilisant la même méthodologie afin d'approfondir les résultats de cette étude pilote.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

RESUME :Les fourmis du groupe Formica rufa, ou fourmis des bois, ainsi appelées en raison de leur préférence pour les écosystèmes forestiers, sont parmi les fourmis les plus fascinantes et les plus étudiées d'Europe. Ces fourmis jouent un rôle clé dans la plupart des forêts dans lesquelles elles vivent et sont considérées comme étant les meilleurs bioindicateurs de ces milieux. Pour ces raisons, les fourmis des bois sont protégées par la loi dans de nombreux pays européens, y compris en Suisse. Cependant, malgré leur protection, ces fourmis sont inscrites sur la liste rouge des espèces menacées dans plusieurs pays d'Europe et il est donc indispensable de bien les connaître afin de mieux les protéger.À l'heure actuelle, on considère que le groupe Formica rufa est composé de six espèces distinctes : F. rufa, F. polyctena, F. lugubris, F. paralugubris, F. aquilonia et F. pratensis. Toutefois, malgré la grande quantité d'études effectuées sur ces espèces, la systématique et l'identification des fourmis des bois sont toujours sujettes à discussion. Ceci est essentiellement dû au fait que ces espèces sont morphologiquement similaires et qu'elles sont parfois capables de s'hybrider ou de former des colonies mixtes.Une des conditions fondamentales pour toute étude en biologie de la conservation est l'identification correcte des espèces à protéger. Avec cette étude, nous désirons donc dénouer les problèmes liés à la systématique des fourmis des bois et analyser la diversité de ces espèces en adoptant une approche multidisciplinaire.Nous avons d'abord étudié la distribution des espèces jumelles F. lugubris et F. paralugubris dans les Álpes italiennes en re-analysant l'une des plus grandes collections de références sur ces espèces, déposée à l'Université de Pavie, Italie, et en récoltant de nouveaux échantillons sur le terrain. Nos analyses ont montré que F, paralugubris, décrite récemment et souvent «oubliée »par les chercheurs, est bien présente dans les Alpes et vit souvent en sympathie avec F. lugubris. Ensuite nous avons développé un outil moléculaire basé sur l'ADN mitochondrial pour une identification rapide et efficace de ces deux espèces. Au vu des bons résultats, nous avons étendu nos analyses génétiques (microsatellites) à toutes les espèces du groupe F. rufa, ce qui nous a permis de montrer que les outils moléculaires sont très efficaces pour identifier ces fourmis. En outre, nos analyses ont mis en évidence la présence d'une nouvelle espèce cryptique (appelée F. lugubris-X) au sein du Parc National Suisse. L'existence d'une nouvelle espèce peut avoir une grande influence sur les projets de conservation en faveur de ces espèces. Nous avons donc décidé de confirmer ce résultat avec des analyses comportementales et des analyses chimiques basées sur les phéromones sexuelles des différentes espèces, y compris F. lugubris-X. Les deux approches confirment nos données génétiques et indiquent que F. lugubris-X représente bel et bien une nouvelle espèce de fourmis des bois dans les Alpes Suisses.Les résultats de cette étude ont une grande importance du point de vue de la biodiversité. En plus, ils livrent aux futurs chercheurs des outils fiables pour l'identification des fourmis des bois et ouvrent de captivantes perspectives pour une meilleure protection de ces insectes et, par conséquent, de nos écosystèmes forestiers. .Abstract :Mound building red wood ants (species of the Formica rufa group) belong to one of the most studied groups of ants in Europe and have fundamental roles and positive effects in forested habitats of the northern hemisphere. In addition, they are considered among the most promising bioindicators of forest ecosystems. Because of their importance, these ants are protected by law in many European countries, including Switzerland. However, despite this protection, they are included on the red list of threatened species edited by the International Union for Conservation of Nature (IUCN) and on the red list of some particular countries like Switzerland. Because of their similar morphology and a high intraspecific variability, the morphological identification of these species can be quite complicated. In addition, they are sometimes able to hybridize or to form mixed colonies. Consequently, the taxonomy of this group of ants has been much debated during the past decades. Based on a phylogenetic study, today the group is considered to count six species in Europe: F. rufa, F. po/yctena, F. lugubris, F. paralugubris, F. aquilonia and F. pratensis. Nevertheless, the taxonomy of the group is often neglected mainly due to the lack of reliable and easy to use identification methods.Considering the importance of correct species assessment in conservation biology, in this study we want to disentangle the taxonomical difficulties within the Formica rufa group and to clarify the diversity of these protected ants, by using an integrative approach.We first analyzed the distribution of .the sibling species F. lugubris and F. paralugubris in the Italian Alps by collecting new samples on the field and by examining one of the major red wood ant collections, which is deposited at the University of Pavia, Italy. After that, we developed a molecular tool based on mitochondria) DNA, which provides a reliable and easy-to-use technique for the identification of F. lugubris and F. paralugubris. Afterwards, we extended the use of molecular markers for species identification to the whole F. rufa group and made a microsatellite analysis. Results confirm that molecular markers are consistent tools for species identification and that the six known species represent six different genetic pools. In addition, genetic data highlighted the existence of a new cryptic species in the Swiss Alps, called Formica lugubris-X.The presence of a new species can have a great influence on future conservation plans in favour of these protected ants and consequently for forested habitats. We therefore completed molecular data by behavioural (pupae recognition) and chemical analyses based on six pheromones of the entire F. rufa group. Both approaches are in accordance to genetic results and confirm that F. lugubris-X really represents a new cryptic species of red wood ant within the Swiss National Park (Eastern Swiss Alps).Results obtained in this study have a great importance in terms of biodiversity. Moreover, they provide important taxonomical information, reliable tools for species identifications and future perspectives for a consequent conservation of red wood ant species.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Objectif. Analyser les déterminants de la prolongation des séjours hospitaliers en service de soins de suite et réadaptation gériatrique (SSRG) et identifier les indicateurs du devenir des patients après leur sortie. Méthode. Étude rétrospective au CHRU de Strasbourg de l'ensemble des séjours de durée supérieure à 90 jours entre le 1 janvier 2012 et le 30 septembre 2013. L'ensemble des données sociodémographiques, descriptives des séjours et de l'état de santé des patients ont été analysées. Les patients ont été suivis 9 mois après leur sortie. Les réhospitalisations, l'admission en institution et le décès ont été informés par un contact téléphonique auprès du médecin traitant ou de la famille. Résultats. Quarante-six séjours ont été analysés. Les patients étaient à 68,0 % des femmes. La moyenne d'âge était de 82,9 ± 5,8 ans. Quatre-vingt-dix-huit pour cent d'entre eux vivaient à domicile avant l'admission en milieu hospitalier. Les raisons justifiant la prolongation étaient d'ordre médical (60,8 %), psychique (45,6 %), social (65,2 %) et liées à la difficulté de trouver une solution d'aval (58,7 %). À la fin de leur séjour, 9 patients ont pu regagner leur domicile et 37 ont été admis directement en institution. Durant la période de suivi, 17 patients ont été réhospitalisés au moins une fois et 3 jusqu'à trois fois. Au 9e mois, 9 patients étaient décédés dans un délai moyen de 75 jours après la sortie du SSRG. Les résultats des analyses unifactorielles et multivariées ont permis d'identifier des indicateurs d'évolution défavorable (décès et/ou réhospitalisation). Aucune des variables sociodémographiques ou de syndrome gériatrique n'a été identifiée. Par contre un « motif d'hospitalisation pour une maladie infectieuse », ou pour « un trouble de la marche ou une chute », une « prolongation du séjour en SSRG pour raison médicale » et un « séjour prolongé en court séjour » étaient les facteurs identifiés. Conclusion. Dans la tendance actuelle à améliorer la rentabilité de l'utilisation des ressources de santé, ces résultats rappellent qu'il est important de maintenir un juste équilibre entre utilisation raisonnée des ressources et les besoins spécifiques des patients âgés.