4 resultados para UHUU Centre

em Université de Lausanne, Switzerland


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

OBJECTIVES: This study aimed at investigating whether data from medical teleconsultations may contribute to influenza surveillance. METHODS: International Classification of Primary Care 2nd Edition (ICPC-2) codes were used to analyse the proportion of teleconsultations due to influenza-related symptoms. Results were compared with the weekly Swiss Sentinel reports. RESULTS: When using the ICPC-2 code for fever we could reproduce the seasonal influenza peaks of the winter seasons 07/08, 08/09 and 09/10 as depicted by the Sentinel data. For the pandemic influenza 09/10, we detected a much higher first peak in summer 2009 which correlated with a potential underreporting in the Sentinel system. CONCLUSIONS: ICPC-2 data from medical teleconsultations allows influenza surveillance in real time and correlates very well with the Swiss Sentinel system.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction:¦L'incidence annuelle du cancer de l'ovaire en Suisse est de 600 cas, il touche principalement les femmes âgées de plus de 60 ans. Le cancer de l'ovaire est aujourd'hui la 1ère cause de mortalité par cancer gynécologique chez la femme. Le but de notre recherche, est de créer une base de données de toutes les¦patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV pour la prise en charge de leur maladie.¦Cette étude rétrospective monocentrique nous permettra en premier lieu d'analyser les caractéristiques de¦cette tumeur présentées par les patientes, les traitements instaurés pour traiter ce cancer et les taux de¦récidives et de survie des patientes en fonction de ces variables.¦Méthodologie:¦Analyse rétrospective de 147 patientes diagnostiquées d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV entre¦septembre 2001 et mars 2010 pour la prise en charge de leur tumeur ovarienne. Utilisation du programme informatique ARCHIMED qui contient les dossiers médicaux de toutes les patientes inclues dans l'étude et création de 2 bases des données. La 1ère base de données regroupe l'ensemble des patientes de l'étude y¦compris les tumeurs type borderline, la 2ème base de données concerne uniquement les patientes ayant récidivé de leur tumeur. Les tumeurs bénignes ont été exclues de l'étude.¦Résultats:¦La probabilitéde survie à 1 an chez les patientes avec un cancer de l'ovaire, tous stades FIGO et prises en¦charge confondus, hospitalisées au CHUV est de 88,04% (95% CI = 0.7981-­‐0.9306), à 3 ans la probabilité de survie est de 70,4% (95% CI = 0.5864-­‐0.7936), et à plus de 5 ans, elle est de 60% (95% CI = 0.4315-­‐0.6859).¦Nous avons comparé le taux de survie en fonction du stade FIGO de la tumeur ovarienne et nous avons observé une différence significative de survie entre les stades FIGO précoces et les stades avancés (Pvaleur=¦0.0161).¦En plus d'une intervention chirurgicale, les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire sont normalement traitées par une chimiothérapie. Dans notre étude, 70 patientes ont bénéficié d'une chimiothérapie; un¦traitement adjuvant a été donné dans 78 % des cas (N = 55), un traitement néoadjuvant a été administré chez 22% des patientes (N=15). Le type combiné carboplatine-­‐taxane est la chimiothérapie la plus fréquente (75%). Au total sur l'étude, 66 patientes sur les 147 (44%) ont récidivé de leur tumeur. En ce qui¦concerne leur prise en charge, 46% des patientes ont reçu une chimiothérapie unique comme du gemzar, cealyx ou taxotère après leur récidive. Une cytoréduction secondaire a également été effectuée chez 33% de ces patientes ayant une récidive. Nous avons également étudié l'intervalle de temps entre la date de la¦récidive et celle du décès. Parmi les 28 patientes décédées chez les récidives, 10 d'entre-­‐elles (36%) ont survécu moins d'un an une fois la récidive diagnostiquée, 8 (28%) patientes ont survécu jusqu'à 2 ans, et¦les 10 (36%) autres patientes ont survécu de 2 à 5 ans. En ce qui concerne le taux de mortalité; 39 patientes sur les 147 étudiées sont décédées pendant la période d'observation, soit 26% des cas. La tumeur¦type borderline, présente une prolifération épithéliale atypique sans invasion dans le stroma et représente¦10 à 20% de toutes les tumeurs ovariennes. Dans notre étude, 41 patientes sont porteuses de cette tumeur¦(28%) et la moyenne d'âge est de 49 ans. En ce qui concerne leur prise en charge, l'intervention chirurgicale¦la plus fréquente, soit 23% des cas, est l'annexectomie unilatérale, qui reste une attitude conservative pour¦ces patientes désirant préserver leur fertilité. 6 patientes présentant ce type de tumeur ont récidivé, soit 14% des cas, avec une progression pelvienne, et 3 de ces 6 patientes sont décédées. Dans notre analyse, on observe que la probabilité de vivre plus longtemps que 1an pour les patientes ayant une tumeur borderline est de 93,8% (95% CI= 0.6323-­‐ 0.9910), à 3 ans elle est également de 93,8% (95% CI = 0.6323-­‐0.9910) et à 5 ans elle est de 78,1% (95% CI = 0.3171-­‐0.9483). Nous n'avons pas observé de¦différence de survie dans notre étude entre les patientes présentant une tumeur borderline et le « non‐borderline ». (Pvaleur=0.3301)

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Interest groups advocate centre-specific outcome data as a useful tool for patients in choosing a hospital for their treatment and for decision-making by politicians and the insurance industry. Haematopoietic stem cell transplantation (HSCT) requires significant infrastructure and represents a cost-intensive procedure. It therefore qualifies as a prime target for such a policy. We made use of the comprehensive database of the Swiss Blood Stem Cells Transplant Group (SBST) to evaluate potential use of mortality rates. Nine institutions reported a total of 4717 HSCT - 1427 allogeneic (30.3%), 3290 autologous (69.7%) - in 3808 patients between the years 1997 and 2008. Data were analysed for survival- and transplantation-related mortality (TRM) at day 100 and at 5 years. The data showed marked and significant differences between centres in unadjusted analyses. These differences were absent or marginal when the results were adjusted for disease, year of transplant and the EBMT risk score (a score incorporating patient age, disease stage, time interval between diagnosis and transplantation, and, for allogeneic transplants, donor type and donor-recipient gender combination) in a multivariable analysis. These data indicate comparable quality among centres in Switzerland. They show that comparison of crude centre-specific outcome data without adjustment for the patient mix may be misleading. Mandatory data collection and systematic review of all cases within a comprehensive quality management system might, in contrast, serve as a model to ascertain the quality of other cost-intensive therapies in Switzerland.