12 resultados para Tomasi, Dominic

em Université de Lausanne, Switzerland


Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé : Nous avons effectué une étude de cohorte examinant la survie de tous les patients qui ont présenté une sepsis sévère ou un choc septique aux soins intensifs de médecine et de chirurgie du CIIUV durant une période de 3 ans. Introduction: La sepsis sévère et le choc septique constituent la deuxième cause de mortalité dans les unités de soins intensifs non coronaires. La survie à long terme est mal connue. Nous avons comparé la survie à 28 jours de notre collectif avec les données de la littérature, examiné la survie à long terme des patients ayant survécus plus de 28 jours et identifié des paramètres prédictifs de la survie. Matériel et méthode : Nous avons classifié les patients ayant présenté un épisode septique rétrospectivement en sepsis sévère ou choc septique selon les critères de Bone (1). Les données cliniques et paracliniques ont été relevées au moment de l'épisode. Des courbes de survie uni- et multivariées ont été établies à 28 jours et à long terme chez ceux qui ont survécus plus de 28 jours, d'après les données de questionnaires envoyés aux médecins traitants. Résultats : Durant Ìa période de l'étude, 339 patients ont présenté un choc septique (169) ou une sepsis sévère (170). La mortalité à 28 jours a été de 33% (choc septique: 55%, sepsis sévère: 11.2%, p<10"5). Les données significativement associées à la mortalité à 28 jours dans l'analyse de régression multivariée selon Cox ont été le type d'épisode septique (choc septique vs. sepsis sévère, p=0.001), le «Acute Physiology Score» du score APACHE II (p=0.02) et le nombre de dysfonctions d'organes (plus de trois dysfunctions, p=0.04). 227 patients ont survécu plus de 28 jours et des données de suivi ont été obtenues chez 225. Le suivi moyen après 28 jours a été de 25.1 mois (5700 mois-patients). La mortalité globale de ces patients, extrapolée des courbes de Kaplan-Meyer, a été de l'ordre de 7% à 1 an et de 15% à 2 ans. Les données significativement associées à leur survie à long terme ont été les "chronic health points" du score APACHE II (p=0.02), l'âge (p=0.05) et le fait d'avoir subi une opération chirurgicale avant l'épisode septique (p=0.02). Conclusion : La mortalité à 28 jours de notre cohorte de patients s'est révélée comparable aux chiffres publiés. La survie à long terme des patients ayant survécu plus de 28 jours a été satisfaisante. Elle s'est révélée indépendante de la sévérité de l'épisode septique, mais dépendait plutôt des conditions de santé sous-jacentes.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Airborne particles can come from a variety of sources and contain variable chemical constituents. Some particles are formed by natural processes, such as volcanoes, erosion, sea spray, and forest fires, while other are formed by anthropogenic processes, such as industrial- and motor vehicle-related combustion, road-related wear, and mining. In general, larger particles (those greater than 2.5 μm) are formed by mechanical processes, while those less than 2.5 μm are formed by combustion processes. The chemical composition of particles is highly influenced by the source: for combustion-related particles, factors such as temperature of combustion, fuel type, and presence of oxygen or other gases can also have a large impact on PM composition. These differences can often be observed at a regional level, such as the greater sulphate-composition of PM in regions that burn coal for electricity production (which contains sulphur) versus regions that do not. Most countries maintain air monitoring networks, and studies based on the resulting data are the most common basis for epidemiology studies on the health effects of PM. Data from these monitoring stations can be used to evaluate the relationship between community-level exposure to ambient particles and health outcomes (i.e., morbidity or mortality from various causes). Respiratory and cardiovascular outcomes are the most commonly assessed, although studies have also considered other related specific outcomes such as diabetes and congenital heart disease. The data on particle characteristics is usually not very detailed and most often includes some combination of PM2.5, PM10, sulphate, and NO2. Other descriptors that are less commonly found include particle number (ultrafine particles), metal components of PM, local traffic intensity, and EC/OC. Measures of association are usually reported per 10 μg/m3 or interquartile range increase in pollutant concentration. As the exposure data are taken from regional monitoring stations, the measurements are not representative of an individual's exposure. Particle size is an important descriptor for understanding where in the human respiratory system the particles will deposit: as a general rule, smaller particles penetrate to deeper regions of the lungs. Initial studies on the health effects of particulate matter focused on mass of the particles, including either all particles (often termed total suspended particulate or TSP) or PM10 (all particles with an aerodynamic diameter less than 10 μm). More recently, studies have considered both PM10 and PM2.5, with the latter corresponding more directly to combustion-related processes. UFPs are a dominant source of particles in terms of PNC, yet are negligible in terms of mass. Very few epidemiology studies have measured the effect of UFPs on health; however, the numbers of studies on this topic are increasing. In addition to size, chemical composition is of importance when understanding the toxicity of particles. Some studies consider the composition of particles in addition to mass; however this is not common, in part due the cost and labour involved in such analyses.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Resumo:

Ce travail concerne les 26 premiers patients opérés à Lausanne de juillet 1995 à avril 1998 d?une gie de réduction de volume pulmonaire pour un emphysème sévère. Il présente leurs actéristiques préopératoires générales, leur évaluation radiologique et cardiologique, ainsi que mesures fonctionnelles pulmonaires. Il examine ensuite la technique opératoire, la période ériopératoire, ainsi que les résultats fonctionnels postopératoires des patients. De plus il présente les entretiens ayant eu lieu avec chaque patient pour connaître son évaluation de l?opération et de ges résultats. Ces informations sont ensuite comparées avec les résultats présents dans la littérature. Le profil préopératoire, la technique opératoire, la période péripopératoire, et les résultats fonctionnels postopératoires sont comparés. Un groupe de patients qui n?a pas répondu au point de vue fonctionnel A la chirurgie est ensuite examiné afin de tenter de définir des critères préopératoires de bonne ou mauvaise réponse, et ceux-ci sont mis en relation avec les données de la littérature. On compare ensuite le groupe de mauvais répondeurs fonctionnels avec le groupe des patients ne s?estimant pas améliorés par l?opération. En faisant une étude statistiques des valeurs fonctionnelles pré et postopératoire, on observe une amélioration significative du VEMS, du volume résiduel, de la PaC02, de la distance parcounie au test de marche de six minutes et de la dyspnée engendrée par le test sur une échelle de Borg. L?amélioration de la Pa02 postopératoire et de la saturation en oxygène pendant le test de marche n?était pas significative statistiquement. On peut voir que ce collectif de patients lausannois est comparable aux autres séries au niveau du profil préopératoire et de la gravité de l?atteinte fonctionnelle, au niveau de la technique opératoire, de la mortalité et morbidité, et des résultats fonctionnels postopératoires. On observe comme différence un volume résiduel moyen préopératoire plus élevé et davantage amélioré en postopératoire que dans la littérature. Cette étude ne met pas en évidence - et c?est également le cas dans la littérature - de critères clairs préopératoires prédictifs d?une bonne réponse à la chirurgie. De même elle n?a pas mis en évidence de concordance entre l?amélioration de la symptomatologie des patients et les résultats fonctionnels postopératoires. 11 serait donc intéressant de poursuivre ce travail par une évaluation prospective plus systématique des patients opérés et de pouvoir la comparer avec les résultats des patients récusés ou refusant la chirurgie de réduction de volume pulmonaire, afin de pouvoir mieux en évaluer les bénéfices à long terme.

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador:

Relevância:

10.00% 10.00%

Publicador: