18 resultados para Tapaninen, Anna-Maria

em Université de Lausanne, Switzerland


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Hypertension is a heritable and major contributor to the global burden of disease. The sum of rare and common genetic variants robustly identified so far explain only 1%-2% of the population variation in BP and hypertension. This suggests the existence of more undiscovered common variants. We conducted a genome-wide association study in 1,621 hypertensive cases and 1,699 controls and follow-up validation analyses in 19,845 cases and 16,541 controls using an extreme case-control design. We identified a locus on chromosome 16 in the 5' region of Uromodulin (UMOD; rs13333226, combined P value of 3.6×10(-11)). The minor G allele is associated with a lower risk of hypertension (OR [95%CI]: 0.87 [0.84-0.91]), reduced urinary uromodulin excretion, better renal function; and each copy of the G allele is associated with a 7.7% reduction in risk of CVD events after adjusting for age, sex, BMI, and smoking status (H.R. = 0.923, 95% CI 0.860-0.991; p = 0.027). In a subset of 13,446 individuals with estimated glomerular filtration rate (eGFR) measurements, we show that rs13333226 is independently associated with hypertension (unadjusted for eGFR: 0.89 [0.83-0.96], p = 0.004; after eGFR adjustment: 0.89 [0.83-0.96], p = 0.003). In clinical functional studies, we also consistently show the minor G allele is associated with lower urinary uromodulin excretion. The exclusive expression of uromodulin in the thick portion of the ascending limb of Henle suggests a putative role of this variant in hypertension through an effect on sodium homeostasis. The newly discovered UMOD locus for hypertension has the potential to give new insights into the role of uromodulin in BP regulation and to identify novel drugable targets for reducing cardiovascular risk.

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BACKGROUND AND STUDY AIMS: Low dose photodynamic therapy (LDPDT) may modify the mucosal immune response and may thus provide a therapy for Crohn's disease. We evaluated the efficacy and safety of this technique in a murine T cell-mediated colitis model. METHODS: The safety of LDPDT was first tested in BALB/c mice. Naïve T cells were used to induce colitis in mice with severe combined immunodeficiency, which were followed up endoscopically, and a murine endoscopic index of colitis (MEIC) was developed. The efficacy of LDPDT (10 J/cm (2); delta-aminolevulinic acid, 15 mg/kg bodyweight) was then tested on mice with moderate colitis, while a disease control group received no treatment. The MEIC, weight, length, and histology of the colon, cytokine expression indices, number of mucosal CD4 (+) T cells, percentage of apoptotic CD4 (+) T cells, body weight, and systemic side effects were evaluated. RESULTS: LDPDT improved the MEIC ( P = 0.011) and the histological score ( P = 0.025), diminished the expression indices of the proinflammatory cytokines, interleukin-6 ( P = 0.042), interleukin-17 ( P = 0.029), and interferon-gamma ( P = 0.014), decreased the number of mucosal CD4 (+) T cells, and increased the percentage of apoptotic CD4 (+) T cells compared with the disease control group. No local or systemic side effects occurred. CONCLUSION: LDPDT improves murine T cell-mediated colitis, decreases the proinflammatory cytokines interleukin-6, interleukin-17, and interferon-gamma, and decreases the number of CD4 (+) T cells. No adverse events were observed. Therefore, this technique is now being evaluated in patients with inflammatory bowel disease.

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We report on a 70-year-old woman with partial complex status epilepticus who was initially diagnosed with herpes simplex-2 (HSV-2) encephalitis, based on brain magnetic resonance imaging (MRI) findings, cerebrospinal fluid (CSF) lymphocytic pleocytosis and HSV-2 DNA detection by polymerase chain reaction (PCR) in the CSF, but without improvement on intravenous acyclovir. Anti-Ri antibodies were positive and computed tomography (CT) investigations revealed a small cell carcinoma at biopsy suggesting paraneoplastic encephalitis. The outcome was unfavourable and the autopsy showed typical features of paraneoplastic encephalitis but no evidence of viral inclusions. This case report is interesting because: (1) it is the first report of an autopsy proven paraneoplastic widespread encephalitis with anti-Ri antibodies; (2) despite a positive HSV-2 PCR in the CSF, there was no sign of herpetic infections of the nervous system; and (3) it illustrates the fact that if paraneoplastic antibodies are usually good markers of the underlying tumour, they are not always predictive of neurological deficits.

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Le présent travail rend compte de la double articulation d'analyse pensée par Antoine Berman dans Pour une critique des traductions: John Donne (Gallimard, 1994). La méthode bermanienne s'attache tant à une histoire, événementielle et individuelle, des traductions qu'à une analyse des textes à la lumière de leurs entours (paratextes, projets de traduction, etc.). Dans une première partie, nous tenterons de décrire et de comprendre à l'aide d'un panorama historique l'importation de la poésie de Rilke en traduction française, des premières versions du début du XXe siècle aux dernières traductions des Élégies de Duino (2008, 2010). Reprenant la formule de Berman, nous « irons au traducteur », à sa façon de traduire et à la traduction qu'il livre. Nous nous pencherons ainsi sur l'identité de ces traducteurs (premiers ou bien nouveaux), sur leur statut socioculturel ainsi que sur les circonstances dans lesquelles ils furent amenés à traduire et virent leur travail publié. Il s'agira d'établir de façon synthétique ce que Berman, sous l'influence de H. R. Jauss, dénomme l' « horizon » d'une traduction qui, à une date donnée, prend en compte une pluralité de critères allant de traits propres au traducteur aux codes poétiques en vigueur dans le vaste champ des Lettres et la société. Nous replacerons ainsi la traduction dans le plus large contexte du transfert culturel et de l'importation et examinerons les traducteurs en présence : les universitaires, les poètes, les traducteurs à plein temps et, dans une moindre mesure, les philosophes. De ce panorama historique émergera l'idée d'une concurrence entre les multiples traducteurs de la poésie de Rilke, plus spécialement entre universitaires et poètes. Dans une seconde partie, reflet de l'autre facette de la pensée bermanienne, nous procèderons à la comparaison et à l'évaluation critique de plusieurs versions françaises de la première Élégie de Duino - opus poétique rilkéen le plus retraduit en français. Notre corpus se limitera à cette première Élégie et à une dizaine de versions françaises que nous faisons dialoguer ou s'opposer. Partant de premières considérations sur l'enveloppe prosodique et typographique du poème, qui nous permettent de saisir la diversité des entreprises et de cerner tant des lignes de force communes que la singularité d'expérimentations plus marginales, nous « confronterons » ensemble les quatre premières versions françaises de la première Élégie, accomplies quasi simultanément dans les années 1930 par des traducteurs d'horizons variés (un germaniste, J.F. Angelloz, une artiste-peintre, L. Albert-Lasard, un traducteur de métier, M. Betz, et un poète, A. Guerne). Il s'agira de saisir l'apport de chacune d'entre elles, ainsi que le type de lien qui les unit (ou les oppose). L'étude de la quatrième version, celle d'Armel Guerne, nous mènera presque naturellement vers la question de la perception de l'écart poétique et du caractère extra-ordinaire de l'original. A la lumière de cette problématique cardinale en poésie, nous procèderons à la comparaison de versions issues des cinquante dernières années et, en considérant plusieurs éléments de sens, nous tenterons de voir comment chaque traducteur, qui est aussi et avant tout un lecteur, a perçu et restitué dans son texte français la matière poétique propre de l'original. Au terme de ce parcours contrastif parmi différentes versions de la première Élégie, nous confronterons les résultats de notre analyse textuelle et le constat de concurrence qui se dégageait de la première partie. Il s'agira de voir alors si la pratique traductive, telle qu'elle se manifeste concrètement au niveau du texte, reflète un antagonisme particulier entre Poésie et Université, ou s'il convient au contraire de relativiser, voire démystifier cette dichotomie.