5 resultados para Singvögel, Artenvielfalt, Biodiversität, Artbildung

em Université de Lausanne, Switzerland


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Die Biodiversität ist unsere Lebensgrundlage - ihr ökonomischer, ökologischer, sozialer und ästhetischer Wert kann nicht hoch genug eingeschätzt werden. Im Jahr 2003 beschlossen die Umweltminister Europas daher, den Verlust der Biodiversität bis ins Jahr 2010 zu stoppen. Haben wir dieses Ziel erreicht?Die vorliegende Studie des Forum Biodiversität Schweiz gibt fundierte Antworten auf diese Frage. Die umfassende Analyse zeigt auf Basis der besten verfügbaren Daten und differenziert für unterschiedliche Aspekte der biologischen Vielfalt, wie sich die Biodiversität in der Schweiz seit 1900 entwickelt hat. Die Resultate zeigen, dass weiterhin ein großer Handlungsbedarf besteht.

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Nutzen und Umweltrisiken von gentechnisch verändertem (GV) Sommerweizen mit verbesserter Mehltauresistenz wurde von einem Verbund Schweizer Forschungsgruppen von 2008 bis 2010 an zwei Standorten im Freiland untersucht. GV Weizenlinien mit spezifischer Resistenz gegen Mehltau und allgemeiner Pilzresistenz wurde mit Kontrolllinien, kommerziellen Weizensorten sowie Gerste und Triticale verglichen. Neben der Mehltauresistenz wurden die Auswirkungen auf Insekten und Bodenlebewesen (Bakterien, Mykorrhizapilze, Bodenfauna) sowie die Auskreuzung auf Weizen untersucht. Mehrere GV Weizenlinien waren deutlich resistenter gegen Mehltau als ihre Kontrollen. Es wurden keine relevanten Auswirkungen auf Nichtzielorganismen, deren Biodiversität und ausgewählte Ökosystemleistungen gefunden. Insgesamt waren die Unterschiede zwischen GV und Kontrolllinien geringer als zwischen kommerziellen Weizensorten oder anderen Getreidearten. Auskreuzungsereignisse waren selten und wurden nur in kurzer Distanz zu GV Versuchspflanzen gefunden.

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L'analyse globale (tab. 1) révèle qu'à quelques rares exceptions, la biodiversité s'est notablement appauvrie entre 1900 et 1990. Durant les vingt dernières années, le recul des effectifs de nombreuses espèces et l'érosion de la surface de certains habitats ont pu être ralentis. Dans de rares cas une évolution positive a même été constatée. Ces développements, encourageants en soi, ne se sont toutefois opérés qu'à partir d'un très faible niveau de biodiversité. Sur le Plateau suisse notamment, son état est très préoccupant.Dans l'ensemble, il n'a pas été possible d'enrayer le déclin de la biodiversité; nous n'avons pas encore touché le fond. Selon nos prévisions pour 2020 une tendance générale à la hausse, voire un véritable inversement de tendance, n'est pas possible dans les conditions actuelles (lois, instruments et mesures, respectivement mise en oeuvre de ces outils). La persistance de cet appauvrissement est notamment imputable à l'intensification de l'exploitation agricole des régions de montagne, à l'extension du milieu urbain et à l'accroissement des activités de tourisme et de loisir. A cela s'ajoutent de nouveaux facteurs de menace, tels que l'expansion des espèces invasives et les répercussions directes et indirectes des changements climatiques qui augmenteront encore la pression sur les espèces et les écosystèmes déjà menacés.

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Il est maintenant accepté par une large part de la communauté scientifique que le climat est en train de changer sous l'influence des gaz à effet de serre émis par les activités humaines. Pour la Suisse, cela correspond à une augmentation des températures et à une diminution probable des précipitations estivales.Etant donné le manque de recul et de données historiques précises, l'influence des changements climatiques sur la biodiversité n'est encore connue que d'études ponctuelles limitées à certaines espèces. Celles-ci nous livrent néanmoins des signaux clairs de changement dans la distribution et la phénologie des espèces, généralement cohérents avec les résultats des modèles prédictifs pour le futur.Globalement, les espèces montrent une tendance à migrer vers les altitudes supérieures. Celles qui occupent aujourd'hui les altitudes les plus élevées vont probablement voir leur domaine se rétrécir. De grands risques d'extinction planent donc sur les espèces alpines, pour lesquelles la Suisse a une responsabilité toute particulière. Parallèlement, la diminution des précipitations estivales va augmenter les problèmes de sécheresses, ce qui pourrait conduire, par exemple, à une réduction des forêts en Valais central et à un assèchement prématuré des lieux de ponte des amphibiens. Inversement, certaines espèces thermophiles de basses altitudes pourraient profiter des nouvelles conditions en accroissant leur domaine de répartition, comme déjà observé chez certains insectes.En plus des changements climatiques, d'autres facteurs menacent indirectement les espèces. La forte fragmentation du territoire limitera la capacité des espèces à coloniser de nouveaux territoires par manque de connexions entre les milieux favorables. Un climat plus chaud permettra une intensification de l'agriculture en montagne, accompagnée des effets néfastes déjà bien connus en plaine, ou pourrait favoriser certaines maladies. De plus, les printemps plus précoces décaleront le développement de certaines espèces, ce qui pourrait fortement modifier les interactions entre espèces et les chaînes trophiques.Les conséquences des changements climatiques sur la biodiversité dépendront aussi des décisions prises au niveau national et international et des mesures prises pour la protection du climat. Afin de limiter les pertes, il est important de mettre en place des corridors favorisant la colonisation de nouvelles aires par les espèces et d'utiliser les synergies possibles entre protection de la biodiversité et lutte contre les changements climatiques. De plus, le monitoring des espèces les plus sensibles aidera à développer, avant qu'il ne soit trop tard, les mesures complémentaires nécessaires à leur conservation.