55 resultados para Schetter, Willy. Römische Epos

em Université de Lausanne, Switzerland


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Résumée Le théâtre romain d'Aventicum s'inscrit entre la petite ville moderne d'Avenches et le village de Donatyre, au pied d'une colline en pente douce délimitant au sud-est la plaine de la Broye. Il se situe à l'ouest des quartiers urbains antiques, construits selon un plan orthogonal, et s'intègre à une zone comptant divers temples et édifices publics. Dès l'hiver 1889/1890, l'Association Pro Aventico nouvellement fondée lança les premières fouilles archéologiques. Jusqu'en 1914, on dégagea les parties originales de la maçonnerie tout en assurant la restauration de l'édifice. En 1926/1927 et de 1939 à 1942 auront lieu d'autres fouilles de grande envergure, accompagnées de mesures de conservation. En 2001, la Fondation Pro Aventico lança un projet visant à étudier l'histoire de la construction ainsi que l'architecture du monument, alors connues en partie seulement. Sur la base de vestiges attestant la présence d'édifices antérieurs au théâtre, on définira pour la construction de ce dernier un terminus post quem entre 100 et 120 ap. J.-C. Comme l'indique l'étude du plan au sol, ce projet nécessita une importante planification. L'édifice lui-même se constitue d'une zone en demi-cercle réservée au public, dont les substructions indiquent qu'elle était partiellement isolée des autres. La cavea, subdivisée en trois secteurs concentriques, se termine par le bâtiment des halles et par les aditus; on relèvera que les rangées supérieures réservées aux spectateurs s'étendaient sans doute au-delà des halles et jusqu'à la façade. Les aditus permettaient d'accéder à la zone de l'orchestra et de la scène, dominée par une plate-forme de plan rectangulaire et bordée d'une proédrie. On disposait de deux voies d'accès différentes: l'une à l'avant, par les arcades des halles, et l'une à l'arrière, pratiquée dans le mur en demi-cercle; apparemment, on ne pouvait pénétrer que dans la partie centrale de ce dernier. On ne parvient à restituer que partiellement les voies de circulation dans les substructions de la cavea, en raison de leur piètre état de conservation. On a par contre pu repérer le deambulatorium, à la périphérie, ainsi que cinq vomitoria sur la première praecinctio et six vomitoria sur la seconde praecinctio. On peut admettre, sans toutefois disposer d'arguments à toute épreuve, que la troisième rangée, en haut, était accessible par des cages d'escaliers conduisant à la summa cavea. Ces hypothèses, fondées essentiellement sur le plan au sol de l'édifice et touchant aux voies de circulation, sont corroborées par une restitution des gradins des parties en élévation, aujourd'hui disparus. Quelques éléments architecturaux fournissent des arguments décisifs pour cette restitution, comme par exemple un bloc de gradin qui permet de conclure à un pendage de la cavea de 26.5°. On peut par ailleurs démontrer que le module architectural défini sur la base du plan au sol fut également appliqué lors de la planification de l'élévation. Grâce à des fragments de corniche, à deux chapiteaux de pilastre ornés de feuilles d'acanthe, à une base de pilastre engagée in situ dans la maçonnerie restaurée, et en tenant compte du module architectural, on peut proposer une reconstitution approximative de la composition de la façade de l'enceinte en demi-cercle. Si les structures architecturales révèlent que le théâtre fut planifié et édifié selon un seul et unique concept, on observe cependant quelques transformations et modifications au cours du temps. D'une part, on décèle en divers endroits des traces de réparation et de consolidation, visant sans doute à stabiliser un bâtiment ayant visiblement subi des dégâts. Par ailleurs, on a également entrepris des modifications structurelles ou fonctionnelles, comme l'édification ultérieure du postscaenium le long du mur de scène extérieur. Dans un contexte identique, on relèvera également deux murs flanquant les basiliques, qu'on suppose être en relation avec l'agrandissement du complexe architectural du temple du Cigognier et du théâtre, augmenté des deux temples édifiés au milieu du 2e s. ap. J.-C. au lieu-dit Au Lavoëx. L'excavation, au cours du dernier tiers du IIIe siècle ap. J.-C., d'un fossé de près de 6 m de large pour 1.5 m de profondeur tout autour de l'édifice fit du théâtre un véritable lieu fortifié. Au-dessus du fossé, on a pu relever une séquence stratigraphique témoignant d'une activité d'habitation à proximité du théâtre pour la période allant du IVe au VIIe siècle ap. J.-C. Il s'agit de l'un des rares cas où l'on peut, à Avenches, évoquer la présence d'un habitat de la période du Haut Moyen Age.

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Résumé : Erythropoietin (EPO) is a glycoprotein hormone endogenously produced by the kidney, whose main physiological role is the stimulation of erythropoiesis. Since the beginning of the nineties, recombinant human EPO (rhEPO), a potent anti-anaemia treatment drug, has been manufactured by pharmaceutical industries. However, the erythropoiesis stimulating power of rhEPO was rapidly misused by unscrupulous athletes in order to improve their performances in endurance sports. Endogenous EPO has the same amino-acid backbone as most of recombinant forms; the molecules however differ through their respective glycosylation patterns. This difference constitutes the basis of the usual EPO screening test (IEF) developed in 2000 and still currently used in all anti-doping laboratories of the world. Nowadays, 3 EPO generations have been commercialized. The fight against EPO abuse is a continuous challenge for anti-doping laboratories. The diversity of recombinant EPO forms and the continuous development of new ones considerably confuse the identification of EPO doping. Several facets of this fight were investigated in this work. One of the limiting aspects of doping agents screening is the availability of positive samples. Therefore, 2nd and 3rd generation EPOS, namely NESP and C.E.R.A., were injected to healthy subjects in the frame of pilot clinical studies. These latter allowed to review the current EPO identification criteria defined by the World Anti-Doping Agency (WADA) in the case of NESP and to validate and implement a new assay targeting C.E.R.A. in human serum. Both studies resulted in the determination of the respective detection windows of NESP and C.E.R.A. in biological fluids. Following that, Dynepo, a 1st generation EPO presenting similarities with the endogenous form, was also in the centre of a similar clinical study. Our work aimed to overcome the actual identification criteria, which are not adapted to Dynpeo, and to propose an alternative pattern classification method based on the discriminant analysis of IEF EPO profiles. This method might be validated for other EPO forms in the future. The detection window of this molecule was also determined. Under particular conditions, confounding effects can complicate the identification of EPO in biological matrices. For example, athletes having performed a strenuous physical effort can excrete modified isoforms of endogenous EPO, making it very similar to some recombinant forms. Such phenomena, called effort urines, were reproduced under controlled conditions and, after characterization of effort EPO, an urinary biochemical marker was proposed to unequivocally identify effort urines. It also happens that EPO analyses fail to detect endogenous levels of EPO. Such profiles were thoroughly investigated and potential causes identified. Natural reasons relying on urine properties and test specificity were underlined, but the possible addition of adulterant agents in urine samples was also considered. Therefore, a simple biochemical assay targeting the suspected substances was set up. Our work was based on the characterization of atypical EPO profiles from different origins. Therefore, 3 EPO molecules representing the 3 generations of the drug and 2 confounding effects confusing the results interpretation were studied. These studies resulted in tangible applications for the laboratory, the best example of which being the C.E.R.A. assay, but also in scientific findings allowing to improve our comprehension of EPO doping in sport.

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RésuméA l'image de son personnage, qui se déplace en subissant toutes sortes d'expériences lui permettant de « grandir », le roman d'apprentissage traverse les siècles et les cultures en Occident, mais trouve aussi un écho tout à fait particulier parmi de nombreux romans d'Afrique noire francophone. Ce genre littéraire se découvre tant parmi les productions de l'époque coloniale que parmi les plus contemporaines et peut être envisagé en tant que métaphore d'une autonomie langagière et littéraire progressivement acquise, tout en gardant à l'esprit que les catégories génériques occidentales n'ont pas à être dupliquées telles quelles sur les productions fictionnelles africaines. L'hypothèse de travail associe les dimensions diachronique et synchronique pour observer un croisement de pratiques formelles et génériques dans les textes de fiction romanesque d'Afrique subsaharienne. Elle utilise dans ce cadre les romans Karim d'Ousmane Socé (1935) et Une Vie de boy de Ferdinand Oyono (1956).AbstractLike their protagonists, who undergo a journey and in the process come of age, coming-on-age novels have abounded and evolved throughout the centuries in the West - but they are also present in sub-Saharian African literature. The coming-of-age genre was popular during colonial times and is even more so today. Where African Francophone literature is concerned, we can take this type of novel as a metaphor for its gradually acquired linguistic and literary autonomy, keeping in mind that Western genres and patterns cannot be applied willy-nilly to this new generation of African litterateurs. Taking into account both historical and territorial aspects, we will examine African Francophone literature, stylistically and thematically, in its approch to gender. To do so, we will analyse Ousmane Socé's Karim (1935) and Ferdinand Oyono's Une vie de boy (A boy servant's life, 1956).

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Das im letzten Viertel des 12. Jahrhunderts entstandene Alexander-Epos Walters von Châtillon, schon im 13. Jahrhundert in den ,,status of a classic" (Colker) und überdies zum Schultext avanciert, gehört zu den am reichhaltigsten überlieferten Erzähltexten der lateinischen Literatur des Mittelalters. Der Beitrag kann ausser den in der Ausgabe Colkers (1987) nachgewiesenen 209 Textzeugen 15 weitere Handschriften und Fragmente belegen und zudem einen Neufund vorstellen: Im Archiv der Bürgergemeinde Frauenfeld, Schweiz, erhielt sich als einzelnes Doppelblatt ein glossiertes Fragment des Textes aus dem späten 13. oder frühen 14. Jahrhundert. Sein Layout verrät, dass es für die begleitende Kommentierung von vornherein angelegt war und vermutlich einem Schulbuch entstammt. Die erhaltenen Scholien scheinen dem ,,Standardkommentar" (Killermann) zur ,Alexandreis' nahezustehen, könnten aber auch Bezüge zum Kommentar des Geoffrey de Vitry aufweisen, der in einer mit seinem Namen auktorial verbundenen, aus Rheinau stammenden Handschrift erhalten ist. In vergleichsweise dichter räumlicher und zeitlicher Nähe zu diesem Textzeugen entstand die Handschrift, aus der das neue Frauenfelder Fragment stammt: Die Untersuchung der Akte, als deren Schutzumschlag das Doppelblatt aus der ,Alexandreis' diente, zeigt, dass sie sich seit dem frühen 15. Jahrhundert im jetzigen Kontext, den Beständen des heutigen Archivs der Frauenfelder Bürgergemeinde, befunden hat, das auf eine seit dem 13. Jahrhundert geführte Sammlung zurückgeht. Da zudem in Frauenfeld eine Lateinschule seit dem 14. Jahrhundert nachweisbar und schon im 13. Jahrhundert zu vermuten ist, liegt es nahe, dass der Fundort des neuen Textzeugen auch der seiner Entstehung oder doch zumindest seiner Benutzung im Unterricht war. Das Fragment bietet einen trotz schlechter Abschrift (mit häufigen Korrekturen durch den Glossator) unverkennbar guten Text, in kritischer Hinsicht dabei nur geringen Gewinn. Seine textgeschichtliche Verortung kann angesichts der nach wie vor weitgehend unaufgearbeiteten Überlieferung der ,Alexandreis' nur in groben Zügen vorgenommen werden. - Mit einem durch einen kritischen Apparat erschlossenen diplomatischen Abdruck und zwei Abbildungen des neuen Fragments.

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Eretria war eine der grossen Städte des antiken Griechenland. Zahlreiche Monumente und Kunstwerke zeugen noch heute von ihrer bedeutenden Vergangenheit. 1964 haben Archäologen aus der Schweiz die Erforschung der antiken Stadt, die vor über einem Jahrhundert begonnen hatte, in enger Zusammenarbeit mit den zuständigen griechischen Behörden aufgenommen. Zum ersten Mal sollen nun die bisherigen Ergebnisse in der Schweiz präsentiert werden: Die Ausstellung lässt anhand von etwa 500 Ausgrabungsfunden eine blühende griechische Stadt wieder aufleben. Eretria war von Anfang an ein wichtiger Knotenpunkt zwischen Ost und West. Die Stadt liegt am östlichen Ufer des Golfes von Euböa gegenüber von Attika. Von diesem zentralen Punkt in der Ägäis brachen eretrische Abenteurer ab dem 8. Jh. v. Chr. auf, um das gesamte Mittelmeer zu durchkreuzen. Obschon Eretria zur Zeit der Perserkriege um 490 v. Chr. und unter der athenischen Herrschaft im 5. Jh. gelitten hatte, erlebte die Stadt in den folgenden Jahrhunderten eine neue Blütezeit, die sich bis in die römische Kaiserzeit fortsetzte. Erst im 6. Jh. n. Chr. wird der Ort vollständig verlassen. Die Stadt der Lebenden stellt anschaulich die verschiedenen Bereiche des Lebens in einer antiken griechischen Stadt vor. Anhand der Wohnhäuser der eretrischen Aristokratie wird das Privatleben thematisiert. Im Gegensatz zu den Privathäusern, die nach aussen geschlossen sind, öffnen sich die öffentlichen Gebäude auf grosse Plätze. Die Agora, die Säulenhallen, das Theater, die Palästren und das Gymnasion bieten den Einwohnern genügend Raum, um sich zu treffen, über Politik und Kultur zu debattieren und Neuigkeiten auszutauschen. Die Stadt der Götter zeigt, welche Götter man in Eretria verehrte. Im Zentrum Eretrias befand sich das Heiligtum des Apollon Daphnephoros (= <des Lorbeerträgers>). Der Stadtgott Apollon teilte sich mit seiner Zwillingsschwester Artemis die Vorrangstellung im eretrischen Pantheon. Daneben hatten aber auch andere Götter ihren Platz: Athena auf der Akropolis, Demeter und Kore an deren Abhängen und Dionysos beim Theater. Die Stadt der Toten geht auf die Jenseitsvorstellungen und auf die Bestattungsbräuche der damaligen Menschen ein. Die oberirdischen Monumente sind seit langem verschwunden. Die eigentlichen Gräber in der Tiefe der Erde mit den sterblichen Überresten und den Grabbeigaben blieben indes intakt. Sie lehren uns viel über die Gesellschaft Eretrias und über das Verhältnis der Menschen zum Tod. Begleitpublikation zur Ausstellung "ausgegraben! Schweizer Archäologen erforschen die griechische Stadt Eretria", die vom 22. September 2010 bis zum 30. Januar 2011 im Antikenmuseum Basel und Sammlung Ludwig gezeigt wurde.

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