11 resultados para Sawtooth oak

em Université de Lausanne, Switzerland


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Occupational exposures to wood dust have been associated with an elevated risk of sinonasal cancer (SNC). Wood dust is recognized as a human carcinogen but the specific cancer causative agent remains unknown. One possible explanation is a co-exposure to; wood dust and polycyclic aromatic hydrocarbons (PAHs). PAHs could be generated during incomplete combustion of wood due to heat created by use of power tools. To determine if PAHs are generated from wood during common wood working operations, PAH concentrations in wood dust samples collected in an experimental chamber operated under controlled conditions were analyzed. In addition, personal air samples from workers exposed to wood dust (n = 30) were collected. Wood dust was generated using three different power tools: vibrating sander, belt sander, and saw; and six wood materials: fir, Medium Density Fiberboard (MDF), beech, mahogany, oak and wood melamine. Monitoring of wood workers was carried out by means of personal sampler device during wood working operations. We measured 21 PAH concentrations in wood dust samples by capillary gas chromatography-ion trap mass spectrometry (GC-MS). Total PAH concentrations in wood dust varied greatly (0.24-7.95 ppm) with the lowest being in MDF dust and the highest in wood melamine dust. Personal PAH exposures were between 37.5-119.8 ng m(-3) during wood working operations. Our results suggest that PAH exposures are present during woodworking operations and hence could play a role in the mechanism of cancer induction related to wood dust exposure.

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Fungal symbionts commonly occur in plants influencing host growth, physiology, and ecology (Carlile et al., 2001). However, while whole-plant growth responses to biotrophic fungi are readily demonstrated, it has been much more difficult to identify and detect the physiological mechanisms responsible. Previous work on the clonal grass Glyceria striata has revealed that the systemic fungal endophyte Epichloë glyceriae has a positive effect on clonal growth of its host (Pan & Clay, 2002; 2003). The latest study from these authors, in this issue (pp. 467- 475), now suggests that increased carbon movement in hosts infected by E. glyceriae may function as one mechanism by which endophytic fungi could increase plant growth. Given the widespread distribution of both clonal plants and symbiotic fungi, this research will have implications for our understanding of the ecology and evolution of fungus-plant associations in natural communities.

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Introduction: The specificity of ethyl glucuronide (EtG) in hair as marker of alcohol consumption exceeds by far those of fatty acid ethyl esters. False positive cases are therefore very rare but not excluded as recent publications have shown. Especially, the use of plant extracts containing high percentages of ethanol can lead to EtG hair concentrations typically found in cases of chronic alcohol consumption. As proposed by Baumgartner et al., a nucleohilic substitution could most likely explain this phenomenon. Fresh and dried plants as well as commercial hair lotions based on plants extracts have been analysed for EtG presence or EtG formation. Methods: Urtica dioica, Plantago lanceolata, Cortex Quercus, Sempervivum, Armoracia rusticana, Juniperus communis, Brassica alba, Thymian vulgaris, Salvia officinalis, Majorana hortensis, Aloe vera, birch gingko and green tea leafs, ginger, lemon grass were extracted in water, water/ethanol (50/50) and ethanol (100%). The extracts as well as diluted hair lotions were measured by immunological test (Microgenics DRI® EtG assay) and by LC-MS/MS on Shimadzu Nexera UHPLC coupled with an AB Sciex 4500 QTrap. Results: EtG could not be detected in water extracts of all tested plants. However, DRI® EtG assay indicated the presence of EtG in 66% of the tested ethanolic plant extracts. That could only be confirmed by mass spectrometry in the cases of fresh thyme as well as in dried birch, oak and plantain extracts where EtG concentrations between of 0.25 and 2,09 mg/l were measured. In one hair lotion, the EtG concentration was 0,76 mg/l. Conclusion: Ethanolic plant extracts represents a non-negligible risk for false positive EtG hair tests, especially when applied as lotion without following washing out. The use of hair care products must therefore be evaluated at every hair sampling. In case of doubt, the product should be analysed by mass spectrometric methods since the presence of EtG can't be proven by use of the DRI® EtG assay, only. Our results support Baumgartner's assumption of a nucleophilic substitution in presence of ethanol because EtG was only measured in the ethanolic extracts.

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This contribution aims to analyse how to incur companies' criminal liability when they violate environmental protection globally. In Switzerland, companies' criminal liability has already been provided for to fight against money launder- ing (Article 102 CP). Could a similar liability be incurred, in Switzerland, for companies that infringe environmental protection? This is what our contribution is all about. Since the company is at the heart of our subject, the point is to see to what extent criminal liability could be transposed to cases of violation by companies of the environmental principles promoted by the CSR concept.

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L'exposition aux poussières de bois est associé à un risque accru d'adénocarcinomes des fosses nasales et des sinus paranasaux (SNC, 'Sinonasal cancer') chez les travailleurs du bois. Les poussières de bois sont ainsi reconnues comme cancérogènes avérés pour l'homme par le Centre international de Recherche sur le Cancer (CIRC). Toutefois, l'agent causal spécifique et le mécanisme sous-jacent relatifs au cancer lié aux poussières de bois demeurent inconnus. Une possible explication est une co-exposition aux poussières de bois et aux Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP), ces derniers étant potentiellement cancérogènes. Dans les faits, les travailleurs du bois sont non seulement exposés aux poussières de bois naturel, mais également à celles générées lors d'opérations effectuées à l'aide de machines (ponceuses, scies électriques, etc.) sur des finitions de bois (bois traités) ou sur des bois composites, tels que le mélaminé et les panneaux de fibres à densité moyenne (MDF, 'Medium Density Fiberboard'). Des HAP peuvent en effet être générés par la chaleur produite par l'utilisation de ces machines sur la surface du bois. Les principaux objectifs de cette thèse sont les suivants: (1) quantifier HAP qui sont présents dans les poussières générées lors de diverses opérations courantes effectuées sur différents bois (2) quantifier l'exposition individuelle aux poussières de bois et aux HAP chez les travailleurs, et (3) évaluer les effets génotoxiques (dommages au niveau de l'ADN et des chromosomes) due à l'exposition aux poussières de bois et aux HAP. Cette thèse est composée par une étude en laboratoire (objectif 1) et par une étude de terrain (objectifs 2 et 3). Pour l'étude en laboratoire, nous avons collecté des poussières de différents type de bois (sapin, MDF, hêtre, sipo, chêne, bois mélaminé) générées au cours de différentes opérations (comme le ponçage et le sciage), et ceci dans une chambre expérimentale et dans des conditions contrôlées. Ensuite, pour l'étude de terrain, nous avons suivi, dans le cadre de leur activité professionnelle, 31 travailleurs de sexe masculin (travailleurs du bois et ébenistes) exposés aux poussières de bois pendant deux jours de travail consécutifs. Nous avons également recruté, comme groupe de contrôle, 19 travailleurs non exposés. Pour effectuer une biosurveillance, nous avons collecté des échantillons de sang et des échantillons de cellules nasales et buccales pour chacun des participants. Ces derniers ont également rempli un questionnaire comprenant des données démographiques, ainsi que sur leur style de vie et sur leur exposition professionnelle. Pour les travailleurs du bois, un échantillonnage individuel de poussière a été effectué sur chaque sujet à l'aide d'une cassette fermée, puis nous avons évalué leur exposition à la poussière de bois et aux HAP, respectivement par mesure gravimétrique et par Chromatographie en phase gazeuse combinée à la spectrométrie de masse. L'évaluation des dommages induits à l'ADN et aux chromosomes (génotoxicité) a été, elle, effectuée à l'aide du test des micronoyaux (MN) sur les cellules nasales et buccales et à l'aide du test des comètes sur les échantillons de sang. Nos résultats montrent dans la poussière de la totalité des 6 types de bois étudiés la présence de HAP (dont certains sont cancérogènes). Des différences notoires dans les concentrations ont été néanmoins constatées en fonction du matériau étudié : les concentrations allant de 0,24 ppm pour la poussière de MDF à 7.95 ppm pour le mélaminé. Nos résultats montrent également que les travailleurs ont été exposés individuellement à de faibles concentrations de HAP (de 37,5 à 119,8 ng m-3) durant les opérations de travail du bois, alors que les concentrations de poussières inhalables étaient relativement élevés (moyenne géométrique de 2,8 mg m-3). En ce qui concerne la génotoxicité, les travailleurs exposés à la poussière de bois présentent une fréquence significativement plus élevée en MN dans les cellules nasales et buccales que les travailleurs du groupe témoin : un odds ratio de 3.1 a été obtenu pour les cellules nasales (IC 95% : de 1.8 à 5.1) et un odds ratio de 1,8 pour les cellules buccales (IC 95% : de 1.3 à 2.4). En outre, le test des comètes a montré que les travailleurs qui ont déclaré être exposés aux poussières de MDF et/ou de mélaminé avaient des dommages à l'ADN significativement plus élevés que les deux travailleurs exposés à la poussière de bois naturel (sapin, épicéa, hêtre, chêne) et que les travailleurs du groupe témoin (p <.01). Enfin, la fréquence des MN dans les cellules nasales et buccales augmentent avec les années d'exposition aux poussières de bois. Par contre, il n'y a pas de relation dose-réponse concernant la génotoxicité due à l'exposition journalière à la poussière et aux HAP. Cette étude montre qu'une exposition aux HAP eu bien lieu lors des opérations de travail du bois. Les travailleurs exposés aux poussières de bois, et donc aux HAP, courent un risque plus élevé (génotoxicité) par rapport au groupe témoin. Étant donné que certains des HAP détectés sont reconnus potentiellement cancérogènes, il est envisageable que les HAP générés au cours du travail sur les matériaux de bois sont un des agents responsables de la génotoxicité de la poussière de bois et du risque élevé de SNC observé chez les travailleurs du secteur. Etant donné la corrélation entre augmentation de la fréquence des MN, le test des micronoyaux dans les cellules nasales et buccales constitue sans conteste un futur outil pour la biosurveillance et pour la détection précoce du risque de SNC chez les travailleurs. - Exposures to wood dust have been associated with an elevated risk of adenocarcinomas of the Dasal cavity and the paranasal sinuses (sinonasal cancer or SNC) among wood workers. Wood dust is recognized as a human carcinogen by the International Agency for Research on Cancer. However, the specific cancer causative agent(s) and the mechanism(s) behind wood dust related carcinogenesis remains unknown. One possible explanation is a co-exposure to wood dust and polycyclic aromatic hydrocarbons (PAH), the latter being carcinogenic. In addition, wood workers are not only exposed to natural wood but also to wood finishes and composite woods such as wood melamine and medium density fiber (MDF) boards during the manipulation with power tools. The heat produced by the use of power tools can cause the generation of PAH from wood materials. The main objectives of the present thesis are to: (1) quantify possible PAH concentrations in wood dust generated during various common woodworking operations using different wood materials; (2) quantify personal wood dust concentrations and PAH exposures among wood workers; and (3) assess genotoxic effects (i.e., DNA and chromosomal damage) of wood dust and PAH exposure in wood workers. This thesis is composed by a laboratory study (objective 1) and a field study (objectives 2 and 3). In the laboratory study we collected wood dust from different wood materials (fir, MDF, beech, mahagany, oak, and wood melamine) generated during different wood operations (e.g., sanding and sawing) in an experimental chamber under controlled conditions. In the following field study, we monitored 31 male wood workers (furniture and construction workers) exposed to wood dust during their professional activity for two consecutive work shifts. Additionally, we recruited 19 non exposed workers as a control group. We collected from each participant blood samples, and nasal and buccal cell samples. They answered a questionnaire including demographic and life-style data and occupational exposure (current and past). Personal wood dust samples were collected using a closed-face cassette. We used gravimetrie analysis to determine the personal wood dust concentrations and capillary gas chromatography - mass spectrometry analysis to determine PAH concentrations. Genotoxicity was assessed with the micronucleus (MN) assay for nasal and buccal cells and with the comet assay for blood samples. Our results show that PAH (some of them carcinogenic) were present in dust from all six wood materials tested, yet at different concentrations depending on the material. The highest concentration was found in dust from wood melamine (7.95 ppm) and the lowest in MDF (0.24 ppm). Our results also show that workers were individually exposed to low concentrations of PAHs (37.5-119.8 ng m"3) during wood working operations, whereas the concentrations of inhalable dust were relatively high (geometric mean 2.8 mg m"3). Concerning the genotoxicity, wood workers had a significantly higher MN frequency in nasal and buccal cells than the workers in the control group (odds ratio for nasal cells 3.1 (95%CI 1.8-5.1) and buccal cells 1.8 (95%CI 1.3-2.4)). Furthermore, the comet assay showed that workers who reported to be exposed to dust from wooden boards (MDF and wood melamine) had significantly higher DNA damage than both the workers exposed to natural woods (fir, spruce, beech, oak) and the workers in the control group (p < 0.01). Finally, MN frequency in nasal and buccal cells increased with increasing years of exposure to wood dust. However, there was no genotoxic dose-response relationship with the per present day wood dust and PAH exposure. This study shows that PAH exposure occurred during wood working operations. Workers exposed to wood dust, and thus to PAH, had a higher risk for genotoxicity compared to the control group. Since some of the detected PAH are potentially carcinogenic, PAH generated from operations on wood materials may be one of the causative agents for the observed increased genotoxicity in wood workers. Since increased genotoxicity is manifested in an increased MN frequency, the MN assay in nasal and buccal cells may become a relevant biomonitoring tool in the future for early detection of SNC risk.