18 resultados para Reaaliaikainen PMU-mittaus
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
Lab tests are frequently used in primary care to guide patient care. This is particularly the case when a severe disorder, or one that will affect patients' initial care, needs to be excluded rapidly. At the PMU-FLON walk-in clinic the use of HIV testing as recommended by the Swiss Office of Public Health was hampered by the delay in obtaining test results. This led us to introduce rapid HIV testing which provides results within 30 minutes. Following the first 250 tests the authors discuss the results as well as the benefits of rapid HIV testing in an urban walk-in clinic.
Resumo:
The current lack of general practitioners in Switzerland is the result of health care policy which aimed in the past years to reduce the number of medical students and physicians in private practice. Furthermore, during the past decades, the Swiss Medical Schools emphasized on the transmission of medical care by specialists and neglected primary care medicine. The Faculty of medicine at the University of Lausanne recently decided to renew the curriculum. The Department of ambulatory care and community medicine (Policlinique Médicale Universitaire) of Lausanne is committed to the elaboration of this move. The biomedical model, essential to the acquisition of clinical competence, is still taught to the students. Nevertheless, from the beginning to the end of the curriculum, an emphasis is now put on the clinical skills and the clinical reasoning.
Resumo:
Primary care medicine is first in line to meet the necessary changes in our health care system. Innovations in this field pursue three types of objectives: accessibility, quality and continuity of care. The Department of ambulatory care and community medicine of the University of Lausanne (Policlinique médicale universitaire) is committed to this path, emphasizing interprofessional collaboration. The doctor, nurse and medical assistant coordinate their activities to contribute efficiently to meet the needs of patients today and tomorrow. This paper also addresses how our department, as a public and academic institution, might play a major role as a health care network actor. A master degree dissertation in health management has started to identify the critical success factors and the strategic core competencies needed to achieve this development.
Resumo:
Le projet REVIAC: Le projet REVIAC (Réinsertion vie active) est un projet de collaboration entre le Service de prévoyance et d'aides sociales (SPAS) et la Policlinique médicale universitaire (PMU) pour améliorer les possibilités de démarches de réinsertion chez les bénéficiaires du revenu d'insertion (RI) avec certificat d'incapacité de travail. En effet, certains bénéficiaires ont des certificats médicaux d'incapacité récurrents et les assistants sociaux (AS) ne peuvent entreprendre les démarches nécessaires. Le projet développé par le SPAS et la PMU comprend deux axesa : ? La création à la PMU d'une consultation pour les bénéficiaires du RI dont l'état de santé compromet toute démarche d'insertion/d'activation. ? Le développement de l'information et de la formation : a) des médecins, principalement de premier recours, sur les thématiques sociales liées au RI et le réseau socio-sanitaire existant, et b) des assistants sociaux sur les pratiques des médecins traitants. Les objectifs du projet sont : Encourager l'élaboration de projets favorisant l'autonomie des bénéficiaires (autonomie sociale comme professionnelle et financière), compatibles avec leur état de santé, réalistes et réalisables ; Apporter un soutien médical aux bénéficiaires entrant dans une démarche d'insertion ou en cours d'insertion, en collaboration avec leurs médecins traitants ; Fournir aux AS les informations nécessaires leur permettant d'initier, au besoin, une collaboration avec l'AI dans le cadre de mesures de prévention et d'insertion ; Permettre aux AS de diriger et accompagner les bénéficiaires dont l'état de santé est incompatible avec une démarche d'insertion vers d'autres types de mesures ou d'autres prises en charge plus adéquates (rentes AI, etc.) ; Améliorer la collaboration entre les médecins traitants des bénéficiaires et les assistants sociaux en charge de leur dossier ; Proposer, à terme, le développement de nouvelles mesures adaptées aux problématiques de santé des bénéficiaires.
Resumo:
En 2008, la PMU et le CHUV ont mis en place une commission chargée d'évaluer, pour le canton de Vaud, les demandes fondées sur des arguments médicaux d'aménagement des conditions d'hébergement de personnes soumises au régime de l'aide d'urgence, introduit à la suite de l'acceptation en votation populaire, le 24 septembre 2006, de la nouvelle loi sur l'asile (LAsi). Nous présentons le contexte historique, politique, institutionnel et médical dans lequel ce groupe de travail intervient, ainsi que ses modalités de fonctionnement, puis abordons les résultats d'une analyse récente de nos données sur les caractéristiques démographiques et l'état de santé des personnes dont les dossiers nous ont été soumis. Cette analyse révèle leur mauvaise santé générale, notamment psychique, avec en particulier une prévalence très élevée d'états de stress post-traumatiques. De façon surprenante, les événements traumatiques surviennent assez fréquemment après l'arrivée en Suisse. Nous évoquons pour conclure une série de préoccupations éthiques en rapport avec cette activité.
Resumo:
Résumé De nombreuses recommandations nationales et internationales sont publiées régulièrement qui définissent la manière dont les patients hypertendus devraient être pris en charge. Ces recommandations sont-elles suivies et applicables ? Dans cette étude transverse effectuée à la PMU à Lausanne, nous avons évalué la qualité de la prise en charge de 225 patients hypertendus suivis par des assistants en formation de médecine de premier recours. Ces 225 patients ont été retenus après une sélection de 1044 dossiers de la consultation générale de la PMU. Les résultats montrent que la moyenne des 3 dernières pressions artérielles était contrôlée dans 32,4% des cas à moins de 140/90 mmHg (TA systolique contrôlée à 42% et TA diastolique à 58%). 60% des patients ont eu une mesure de pression à chacune des 3 dernières consultations. 79% des mesures se terminaient par 0 ou par 5(théoriquement 20%). Le contrôle de la pression artérielle n'était pas statistiquement différent quelles que soient les comorbidités connues (diabète, insuffisance rénale ou insuffisance cardiaque). En conclusion, la qualité de la mesure et de la prise en charge de la TA par les médecins de premier recours en formation est comparable à celle retrouvée en pratique ambulatoire et pourrait être améliorée. Les recommandations basées sur la stratification des FRCV se heurtent à des problèmes dans leur application pratique. Le contrôle de la TA n'est pas meilleur chez les patients à haut risque cardio-vasculaire.
Resumo:
The pending workforce crisis in family medicine has triggered various initiatives. This article describes the PMU-FLON walk-in clinic, a project of the Institute of General Medicine University of Lausanne. The working conditions in this clinic are close to that of a family practice. Doctors in training are supervised by family doctors who work part-time in the clinic. The objective is to improve training in the various fields of family medicine, from technical skills (improving optimal use of diagnostic tools), to integrating patients' requests in a more global patient-centered approach. This new educational model allows doctors in training to benefit from the specific approaches of different trainers. It will contribute to promoting quality family medicine in the future.
Resumo:
Mental disorders (depression, anxiety and somatization) are frequent in Primary care and are often associated to physical complaints and to psychosocial stressors. Mental disorders have in this way a specific presentation and in addition patients may present different associations of them. Sometimes it is difficult to recognize them, but it is important to do so and to take rapidly care of these patients. Specific screening questions exist and have been used in a research of the Institute of General Medicine and the Department of Ambulatory Care and Community Medicine (PMU), University of Lausanne, Switzerland.
Resumo:
L'entrevue médicale est constituée de plusieurs étapes, chacune d'entre elles comprenant des tâches et des objectifs particuliers pour le médecin. La partie initiale de la consultation médicale, la phase sociale, constitue la première pierre dans la construction d'une relation médecin-patient de confiance et de qualité. Si, d'un point de vue structurel, la littérature a répondu de façon claire et concordante, des questions demeurent ouvertes d'un point de vue procédural. De quelle manière le médecin parvient-il à établir le premier contact ? Comment procède-t-il pour accueillir son patient ? Des pistes pour répondre à ces questions se repèrent dans le travail de révision des enregistrements vidéo des consultations de médecine générale qui sont régulièrement pratiqués à la Policlinique médicale universitaire (PMU) de Lausanne. [Auteurs] The medical interview consists of several steps, each consisting of specific tasks and objectives for the doctor. The initial step of the medical consultation, the social phase, is the cornerstone in the construction of a doctor-patient relationship of trust and quality. If, in a structural point of view, the literature has responded in a clear and consistent way, questions remain openned in a procedural point of view. How successful is the physician to establish the first contact? How does he proceed to welcome his patient? We looked out ways to address these issues by the work of revising the video recordings of general medical consultations, which are regularly practiced at the Medical outpatient clinic of the University of Lausanne.
Resumo:
RESUME L'objectif de cette étude est d'évaluer comment de jeunes médecins en formation perçoivent le risque cardiovasculaire de leurs patients hypertendus en se basant sur les recommandations médicales (« guidelines ») et sur leur jugement clinique. Il s'agit d'une étude transversale observationnelle effectuée à la Policlinique Médicale Universitaire de Lausanne (PMU). 200 patients hypertendus ont été inclus dans l'étude ainsi qu'un groupe contrôle de 50 patients non hypertendus présentant au moins un facteur de risque cardiovasculaire. Nous avons comparé le risque cardiovasculaire à 10 ans calculé par un programme informatique basé sur l'équation de Framingham. L'équation a été adaptée pour les médecins par l'OMS-ISH au risque perçu, estimé cliniquement par les médecins. Les résultats de notre étude ont montrés que les médecins sous-estiment le risque cardiovasculaire à 10 ans de leurs patients, comparé au risque calculé selon l'équation de Framingham. La concordance entre les deux méthodes était de 39% pour les patients hypertendus et de 30% pour le groupe contrôle de patients non hypertendus. La sous-estimation du risque. cardiovasculaire pour les patients hypertendus était corrélée au fait qu'ils avaient une tension artérielle systolique stabilisée inférieure a 140 mmHg (OR=2.1 [1.1 ;4.1]). En conclusion, les résultats de cette étude montrent que les jeunes médecins en formation ont souvent une perception incorrecte du risque cardiovasculaire de leurs patients, avec une tendance à sous-estimer ce risque. Toutefois le risque calculé pourrait aussi être légèrement surestimé lorsqu'on applique l'équation de Framingham à la population suisse. Pour mettre en pratique une évaluation systématique des facteurs de risque en médecine de premier recours, un accent plus grand devrait être mis sur l'enseignement de l'évaluation du risque cardiovasculaire ainsi que sur la mise en oeuvre de programme pour l'amélioration de la qualité.
Resumo:
La littératie en santé est un concept prenant en compte les compétences et les ressources que chacun doit posséder pour gérer l'information nécessaire au maintien d'un bon état de santé. Néanmoins, il n'y pas de consensus sur une définition unique, ce qui complique une intégration adéquate de cette thématique dans le domaine de la santé. Un faible niveau de littératie en santé est un problème fréquent et concernerait près de 50% de la population Suisse (OCDE 2005). Cette problématique est d'une importance majeure car les individus avec un niveau de littératie insuffisant sont plus à risque d'un mauvais état de santé (AMA 1999) et ce phénomène représenterait 3 à 6% des coûts de la santé en Suisse selon une estimation basée sur les chiffres d'études américaines. (Spycher 2006). Les médecins de famille, considérés comme l'une des principales sources d'information en santé pour la population en Suisse, jouent un rôle central dans la promotion d'un bon niveau de santé. L'idée de ce travail vient à la suite des résultats du travail de Maîtrise de de Lara Van Leckwyck qui s'est intéressée à la perception que les médecins de famille de la région lausannoise ont du niveau de littératie de leurs patients. Ces derniers considèrent posséder les ressources nécessaires pour prendre en charge leurs patients avec un faible niveau de littératie mais ils sont ouverts à de nouveaux outils. Nous avons alors voulu tenter l'expérience et créer un outil sous la forme d'une brochure A6 contenant quatre faces dans le but d'aider ces médecins. Les objectifs sont les suivants : 1) sensibiliser et informer les médecins de famille à la problématique de la littératie en santé ; 2) offrir une aide au dépistage du niveau de littératie en santé de leurs patients ; 3) proposer une aide à la prise en charge des patients avec un faible niveau de littératie en fournissant une liste de moyens pratiques basés sur une revue de la littérature pour aider les médecins généralistes internistes dans leur prise en charge et 4) proposer une sélection d'adresses internet utiles en lien avec la problématique de la littératie en santé. Cet outil a été présenté à 15 assistants et chefs de clinique de la Policlinique médicale universitaire (PMU) de Lausanne ainsi qu'à 30 médecins internistes généralistes installés dans la région de Lausanne qui évalueront son utilité dans le cadre d'un prochain travail de Maîtrise. Les limites principales concernant un tel projet sont le format choisi pour l'outil et le fait de récolter et de transcrire des informations sur un sujet principalement étudié dans les pays anglo-saxons. Nous pouvons déjà prévoir que des adaptations sur la traduction de certains éléments de l'outil (notamment les questions de dépistage) seront certainement relevées par les médecins qui auront testé l'outil. Un travail supplémentaire mené de manière différente pourra également faire l'objet d'un futur travail.
Resumo:
Introduction: L'organisation multisite des établissements hospitaliersaboutit souvent à un cloisonnement entre prises en charge psychiatriqueet somatique. Pourtant, plusieurs études ont confirmé un tauxcroissant de comorbidités somatiques chez les patients psychiatriques,ainsi qu'une mauvaise adéquation des soins somatiques quileur sont prodigués. Des initiatives ont tenté d'améliorer cette situation,en développant des consultations dédiées ou en intégrant desmédecins somaticiens au sein des établissements psychiatriques.Depuis plusieurs années, la Policlinique Médicale Universitaire (PMU)de Lausanne collabore avec l'Hôpital Psychiatrique Universitaire, enmettant à disposition un système de consultation.Méthode: Analyse rétrospective des consultations effectuées enmilieu psychiatrique, durant la période du 01.04-30.09.08. Lespatients de psychogériatrie n'étaient pas concernés. Les paramètressuivants ont été relevés: âge, sexe, motifs de consultations, catégoriesdiagnostiques CIM10, pathologies psychiatriques, éventuellescomorbidités somatiques. La pertinence de chaque consultation a étéévaluée à l'aide de trois critères de sévérité: implique une modificationou l'introduction d'un traitement, implique des investigationscomplémentaires (laboratoire, radiologie, avis spécialisé), implique untransfert aux urgences.Résultats: 207 consultations ont été réalisées (57% de femmes) avecun âge moyen de 48,7 ans (18 à 64 ans). Les pathologies psychiatriquesimpliquaient une schizophrénie ou une psychose aiguë(30,4%), un épisode dépressif (26,6%), un trouble de la personnalité(14,5%) ou un trouble bipolaire (14%). Les consultations portaientavant tout sur des pathologies cardiovasculaires (17%), digestives(15%), neurologiques (11%) ou pulmonaires (11%). Un effet secondairedu traitement médicamenteux a été suspecté chez 12% despatients. 48% des cas présentaient un des critères, avec en particulier12 transferts aux urgences. Huit patients ont bénéficié par la suited'un suivi ambulatoire à la PMU.Discussion: L'implication de somaticiens au sein des établissementspsychiatriques répond à un besoin réel. Elle permet d'améliorer laprise en charge des patients, de réduire les transferts interhospitalierset d'optimiser les investigations et les traitements somatiques. Ellejoue également un rôle en termes de transfert de compétences, deprévention des pathologies iatrogènes et de dépistage des facteursde risques cardiovasculaires.
Resumo:
RESUME Peu d'informations sont disponibles concernant la prévalence et les motifs de refus de la vaccination contre la grippe dans la population âgée. Le but de notre recherche était d'investiguer les vrais motifs de refus de la vaccination (c'est-à-dire pas uniquement les raisons de non-vaccination parfois indépendantes du patient lui- même) chez les personnes âgées. Tous les patients ambulatoires de plus de 65 ans consultant la Policlinique Médicale Universitaire (PMU) de Lausanne ou leur médecin traitant durant les périodes de vaccination contre la grippe 1999-2000 et 2000-2001 ont été inclus. Chaque patient recevait une information sur la grippe et ses complications, de même que sur la nécessité de la vaccination, son efficacité et ses effets seconda ires éventuels. En l'absence de contre-indication, la vaccination était proposée. En cas de refus, les motifs étaient investigués par une question ouverte. Sur 1398 sujets inclus, 148 (12%) ont refusé la vaccination. Les raisons principales de refus étaient la perception d'être en bonne santé (16%), de ne pas être susceptible à la grippe (15%) ou le fait de ne jamais avoir été vacciné contre la grippe dans le passé (15%). On retrouvait également la mauvaise expérience personnelle ou d'un proche lors d'une vaccination (15%) et l'impression d'inutilité du vaccin (10%). 17% des personnes interrogées ont donné des motifs autres et 12% n'ont pas explicité leur non-acceptation. Les refus de vaccination contre la grippe dans la population âgée sont essentiellement liés aux convictions intimes du patient quant à son état de santé et à sa susceptibilité à la grippe, de même qu'à l'efficacité supposée de la vaccination. La résistance au changement semble être un obstacle majeur à l'introduction de la vaccination chez les personnes de plus de 65 ans. SUMMARY More knowledge on the reasons for refusal of the influenza vaccine in elderly patients is essential to target groups for additional information, and hence improve coverage rate. The objective of the present study was to describe precisely the true motives for refusal. All patients aged over 64 who attended the Medical Outpatient Clinic, University of Lausanne, or their private practitioner's office during the 1999 and 2000 vaccination periods were included. Each patient was informed on influenza and its complications, as well as on the need for vaccination, its efficacy and adverse events. The vaccination was then proposed. In case of refusal, the reasons were investigated with an open question. Out of 1398 patients, 148 (12%) refused the vaccination. The main reasons for refusal were the perception of being in good health (16%), of not being susceptible to influenza (15%), of not having had the influenza vaccine in the past (15%), of having had a bad experience either personally or a relative (15%), and the uselessness of the vaccine (10%). Seventeen percent gave miscellaneous reasons and 12% no reason at all for refusal. Little epidemiological knowledge and resistance to change appear to be the major obstacles for wide acceptance of the vaccine by the elderly.
Resumo:
Context: Cross-cultural clinical competence (CCC) requires a mixtureof "knowledge" (K), "attitude" (A) and "skills" (S), in order to develop theability to give quality care to patients of different cultures. Theseattributes allow, while providing medical care, consideration of thepatient's medical, social, cultural and language needs. The LausanneUniversity Medical Policlinic (PMU) provides approximately 30000consultations per year to migrant patients and over the past five yearshas implemented a training course on CCC that focuses on trialogue,stereotypes and administrative procedures for the healthcare ofmigrants.Method: A quantitative survey of 18 new residents, was carried outusing a validated questionnaire, the "Multicultural AssessmentQuestionnaire" (the MAQ, 16 questions on K, A and S) to evaluate theimpact of CCC training. The questionnaire was distributed before theCCC course (J-1), three days after (J+3) and three months later (J+90).A descriptive univariate analysis of the difference in MAQ scoresbetween the times J-1 - J+3 and J-1 - J+90 was made. Three FocusGroups were conducted, at three months, to explore residents' thoughtsabout the course.Results: A significant increase was observed in global performancedeclared by residents. Following the intervention, the score of the MAQincreased from 31.4 points to 38.0 points at three days (p = 0.004) andto 37.7 points at three months (p = 0.003). This increase was mostnoticeable in the field of acquiring K: total score J-1: 118, J+3: 189,J+90: 190 (difference J-1 - J+3 and J-1 - J+90: p <0.005). There was nosignificant difference in acquiring A (J-1: 222, J+3: 228, J+90: 229), andS increases in a significant way at first (J-1: 222, J+3: 265, J-1 - J+3:p = 0.035), then comes back to the start value (J+90: 217). The residentswere interested by the course which they felt provides useful informationfor clinical practice. They had a great number of expectations in varyingfields (medical anthropology, cultural differences, epidemiology, etc.),hoping a "ready-made" solution for the approach of migrant patients.Conclusions: A unique training of CCC at the post-graduate level,upgraded K, and to a lesser extent A and S, for these 18 residents. Theywere interest and they had many expectations. Subsequent coursesshould consolidate these acquisitions. Future study should demonstratethe impact on patients' clinical outcome.