6 resultados para Ratio décès nouveaux cas de cancer

em Université de Lausanne, Switzerland


Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

A l'instar de nombreux pays industrialisés, le cancer du sein est à Genève le cancer le plus fréquent (environ 460 cas par an) et la première cause de décès chez les femmes entre 45 et 55 ans. Depuis mars 1999, le Programme genevois de dépistage du cancer du sein a pour missions de promouvoir, d'organiser et de mener une action de prévention auprès de la population féminine du canton âgée de 50 à 69 ans. Ce rapport décrit l'évolution de 15 ans d'activité de dépistage (chapitre 2) et analyse l'utilisation (chapitre 3), la qualité (chapitre 4) et l'efficacité (chapitre 5) du programme genevois entre 2007 et 2011. Couvrant 86'720 mammographies et près de 37'000 femmes, ce rapport s'intéresse aussi, au-dedes indicateurs usuels de performance, à mieux estimer certains effets indésirables comme les résultats faussement positifs ou les cancers survenant entre 2 examens de dépistage (dits cancers d'intervalle).

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Introduction:¦L'incidence annuelle du cancer de l'ovaire en Suisse est de 600 cas, il touche principalement les femmes âgées de plus de 60 ans. Le cancer de l'ovaire est aujourd'hui la 1ère cause de mortalité par cancer gynécologique chez la femme. Le but de notre recherche, est de créer une base de données de toutes les¦patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV pour la prise en charge de leur maladie.¦Cette étude rétrospective monocentrique nous permettra en premier lieu d'analyser les caractéristiques de¦cette tumeur présentées par les patientes, les traitements instaurés pour traiter ce cancer et les taux de¦récidives et de survie des patientes en fonction de ces variables.¦Méthodologie:¦Analyse rétrospective de 147 patientes diagnostiquées d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV entre¦septembre 2001 et mars 2010 pour la prise en charge de leur tumeur ovarienne. Utilisation du programme informatique ARCHIMED qui contient les dossiers médicaux de toutes les patientes inclues dans l'étude et création de 2 bases des données. La 1ère base de données regroupe l'ensemble des patientes de l'étude y¦compris les tumeurs type borderline, la 2ème base de données concerne uniquement les patientes ayant récidivé de leur tumeur. Les tumeurs bénignes ont été exclues de l'étude.¦Résultats:¦La probabilitéde survie à 1 an chez les patientes avec un cancer de l'ovaire, tous stades FIGO et prises en¦charge confondus, hospitalisées au CHUV est de 88,04% (95% CI = 0.7981-­‐0.9306), à 3 ans la probabilité de survie est de 70,4% (95% CI = 0.5864-­‐0.7936), et à plus de 5 ans, elle est de 60% (95% CI = 0.4315-­‐0.6859).¦Nous avons comparé le taux de survie en fonction du stade FIGO de la tumeur ovarienne et nous avons observé une différence significative de survie entre les stades FIGO précoces et les stades avancés (Pvaleur=¦0.0161).¦En plus d'une intervention chirurgicale, les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire sont normalement traitées par une chimiothérapie. Dans notre étude, 70 patientes ont bénéficié d'une chimiothérapie; un¦traitement adjuvant a été donné dans 78 % des cas (N = 55), un traitement néoadjuvant a été administré chez 22% des patientes (N=15). Le type combiné carboplatine-­‐taxane est la chimiothérapie la plus fréquente (75%). Au total sur l'étude, 66 patientes sur les 147 (44%) ont récidivé de leur tumeur. En ce qui¦concerne leur prise en charge, 46% des patientes ont reçu une chimiothérapie unique comme du gemzar, cealyx ou taxotère après leur récidive. Une cytoréduction secondaire a également été effectuée chez 33% de ces patientes ayant une récidive. Nous avons également étudié l'intervalle de temps entre la date de la¦récidive et celle du décès. Parmi les 28 patientes décédées chez les récidives, 10 d'entre-­‐elles (36%) ont survécu moins d'un an une fois la récidive diagnostiquée, 8 (28%) patientes ont survécu jusqu'à 2 ans, et¦les 10 (36%) autres patientes ont survécu de 2 à 5 ans. En ce qui concerne le taux de mortalité; 39 patientes sur les 147 étudiées sont décédées pendant la période d'observation, soit 26% des cas. La tumeur¦type borderline, présente une prolifération épithéliale atypique sans invasion dans le stroma et représente¦10 à 20% de toutes les tumeurs ovariennes. Dans notre étude, 41 patientes sont porteuses de cette tumeur¦(28%) et la moyenne d'âge est de 49 ans. En ce qui concerne leur prise en charge, l'intervention chirurgicale¦la plus fréquente, soit 23% des cas, est l'annexectomie unilatérale, qui reste une attitude conservative pour¦ces patientes désirant préserver leur fertilité. 6 patientes présentant ce type de tumeur ont récidivé, soit 14% des cas, avec une progression pelvienne, et 3 de ces 6 patientes sont décédées. Dans notre analyse, on observe que la probabilité de vivre plus longtemps que 1an pour les patientes ayant une tumeur borderline est de 93,8% (95% CI= 0.6323-­‐ 0.9910), à 3 ans elle est également de 93,8% (95% CI = 0.6323-­‐0.9910) et à 5 ans elle est de 78,1% (95% CI = 0.3171-­‐0.9483). Nous n'avons pas observé de¦différence de survie dans notre étude entre les patientes présentant une tumeur borderline et le « non‐borderline ». (Pvaleur=0.3301)

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Although extended secondary prophylaxis with low-molecular-weight heparin was recently shown to be more effective than warfarin for cancer-related venous thromboembolism, its cost-effectiveness compared to traditional prophylaxis with warfarin is uncertain. We built a decision analytic model to evaluate the clinical and economic outcomes of a 6-month course of low-molecular-weight heparin or warfarin therapy in 65-year-old patients with cancer-related venous thromboembolism. We used probability estimates and utilities reported in the literature and published cost data. Using a US societal perspective, we compared strategies based on quality-adjusted life-years (QALYs) and lifetime costs. The incremental cost-effectiveness ratio of low-molecular-weight heparin compared with warfarin was 149,865 dollars/QALY. Low-molecular-weight heparin yielded a quality-adjusted life expectancy of 1.097 QALYs at the cost of 15,329 dollars. Overall, 46% (7108 dollars) of the total costs associated with low-molecular-weight heparin were attributable to pharmacy costs. Although the low-molecular-weigh heparin strategy achieved a higher incremental quality-adjusted life expectancy than the warfarin strategy (difference of 0.051 QALYs), this clinical benefit was offset by a substantial cost increment of 7,609 dollars. Cost-effectiveness results were sensitive to variation of the early mortality risks associated with low-molecular-weight heparin and warfarin and the pharmacy costs for low-molecular-weight heparin. Based on the best available evidence, secondary prophylaxis with low-molecular-weight heparin is more effective than warfarin for cancer-related venous thromboembolism. However, because of the substantial pharmacy costs of extended low-molecular-weight heparin prophylaxis in the US, this treatment is relatively expensive compared with warfarin.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Alcohol and tobacco consumption are well-recognized risk factors for head and neck cancer (HNC). Evidence suggests that genetic predisposition may also play a role. Only a few epidemiologic studies, however, have considered the relation between HNC risk and family history of HNC and other cancers. We pooled individual-level data across 12 case-control studies including 8,967 HNC cases and 13,627 controls. We obtained pooled odds ratios (OR) using fixed and random effect models and adjusting for potential confounding factors. All statistical tests were two-sided. A family history of HNC in first-degree relatives increased the risk of HNC (OR=1.7, 95% confidence interval, CI, 1.2-2.3). The risk was higher when the affected relative was a sibling (OR=2.2, 95% CI 1.6-3.1) rather than a parent (OR=1.5, 95% CI 1.1-1.8) and for more distal HNC anatomic sites (hypopharynx and larynx). The risk was also higher, or limited to, in subjects exposed to tobacco. The OR rose to 7.2 (95% CI 5.5-9.5) among subjects with family history, who were alcohol and tobacco users. A weak but significant association (OR=1.1, 95% CI 1.0-1.2) emerged for family history of other tobacco-related neoplasms, particularly with laryngeal cancer (OR=1.3, 95% CI 1.1-1.5). No association was observed for family history of nontobacco-related neoplasms and the risk of HNC (OR=1.0, 95% CI 0.9-1.1). Familial factors play a role in the etiology of HNC. In both subjects with and without family history of HNC, avoidance of tobacco and alcohol exposure may be the best way to avoid HNC.

Relevância:

30.00% 30.00%

Publicador:

Resumo:

Les carcinomes de l'endomètre sont classés en deux types cliniques (types I et II), cinq types histologiques et quatre types moléculaires. Le type I correspond à l'adénocarcinome endométrioïde de grade 1 ou 2, précédé par des lésions d'hyperplasie atypique. Ce cancer est souvent révélé à un stade précoce par des saignements vaginaux postménopausiques et son pronostic est globalement favorable. Les facteurs de risque à l'origine de la majorité des cas (indice de masse corporelle [IMC] élevé, diabète de type II, traitement hormonal substitutif, tamoxifène) agissent par le biais d'une hyperestrogénie non contrecarrée par la progestérone. Moins de 5 % des cas surviennent dans le contexte d'un syndrome de Lynch (anomalie germinale d'un gène de réparation de l'ADN, à transmission autosomique dominante) chez des femmes plus jeunes dont l'IMC est typiquement bas. Les cancers de l'endomètre de type II (carcinomes séreux, à cellules claires, indifférenciés), plus rares, sont des tumeurs agressives diagnostiquées typiquement chez des femmes plus âgées et à un stade plus avancé, de pronostic défavorable.