271 resultados para Perception des représentations auditives motrices

em Université de Lausanne, Switzerland


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Q-sort is a research method which allows defining profiles of attitudes toward a set of statements, ordered in relation to each other. Pertaining to the Q Methodology, the qualitative analysis of the Q-sorts is based on quantitative techniques. This method is of particular interest for research in health professions, a field in which attitudes of patients and professionals are very important. The method is presented in this article, along with an example of application in nursing in old age psychiatry.

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Le but principal de ce travail est de comparer les idées sur la langue et sur la linguistique a l'intérieur de deux processus de « construction de monde », à savoir le réagencement de l'Europe après la Première guerre mondiale et la création du monde nouveau voulu par l'Union soviétique. La comparaison est rendue pertinente par le fait que ces deux « constructions de monde » eurent lieu dans des atmosphères idéologiques opposées, puisque la Première guerre mondiale et la révolution bolchevique s'opposent radicalement en représentant, respectivement, le triomphe des nations et celui de l'internationalisme de classe. La comparaison se fera aussi à l'intérieur de l'Union soviétique, puisque l'internationalisme des années 1920 laissera la place dans les années 1930 et jusqu'à la mort de Staline en 1953 à un nationalisme soviétique représenté par la métaphore de la « citadelle assiégée ». L'hypothèse du travail est la suivante : la façon d'utiliser les faits de langue et la linguistique, et la façon de considérer l'objet-langue dans un processus de construction étatique dépendent de l'atmosphère idéologique à l'intérieur de laquelle cette utilisation a lieu. Dans la première partie, nous analysons les idées de trois linguistes professionnels (Antoine Meillet, Aleksandar Belic et Jordan Ivanov) relatives au réagencement de l'Europe après la guerre. De l'analyse de ces trois corpus de textes ressortira une espèce de contradiction, puisque ces linguistes qui, au début du XXème siècle, entendaient user de la science linguistique pour asseoir sur des bases solides la nouvelle Europe, le firent avec une « conscience linguistique » d'inspiration romantique, tout droit sortie du XIXeme siècle. La nécessité de proposer pour l'Europe une solution pratique et durable a très certainement amené ces linguistes à privilégier, peut-être inconsciemment, des théories linguistiques certes dépassées, mais qui avaient l'avantage de considérer les langues comme des objets discontinus et homogènes. Dans notre deuxième partie consacrée à l'Union soviétique, nous analysons des textes (d'auteurs parfois méconnus) traitant de ce que nous avons appelé la « révolution en langue » : partant du principe que le monde nouveau de la dictature du prolétariat allait être totalement différent du monde que l'on avait connu précédemment, certains auteurs des années 1920 furent convaincus que ce monde nouveau allait avoir besoin d'une langue nouvelle. Mais au lieu d'attendre que cette langue nouvelle apparaisse spontanément, par évolution, certains proposèrent d'introduire consciemment dans la langue, par révolution, les changements selon eux nécessaires pour que la langue corresponde aux nouveaux besoins. Dans ce contexte, l'objet-langue est considéré comme un simple outil de communication qu'il est possible de modifier à sa guise, et la linguistique comme une discipline technique. Cette idée de changer la langue disparaîtra de l'URSS des années 1930, avec le passage vers le nationalisme soviétique. A la place, on préférera rappeler que les langues ne peuvent évoluer que par évolution, que l'on ne peut pas changer la langue, que l'on ne peut pas créer une langue selon notre volonté. Dans le contexte de la « citadelle assiégée », la langue russe deviendra le signe distinctif de l'Union soviétique qu'il sera impossible de toucher et de modifier. La langue n'est plus un outil, elle est désormais un symbole. Avec la comparaison de ces deux situations particulières (trois si l'on distingue les deux atmosphères de l'URSS), nous pensons avoir montré que l'apparition de certaines idées sur la langue et sur la linguistique est liée au contexte et aux besoins.

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Risk taking and its association with substance use by adolescents are often studied among clinical populations. The behavior of non-clinical adolescent samples is less well-known. According to some scholars, the adoption of risk behaviors can be predicted by a function of perceptions of both benefits and risks of such behaviors. However, the literature is still controversial about their respective significance. In this study, a non-clinical sample of 221 adolescents, aged 14 to 20, completed two questionnaires: the RIPS-R to estimate risk taking behaviors as well as perception of the risks and benefits of such behaviors, and the DEP-ADO to measure substance use. Our results show a high annual prevalence of socially accepted risk behaviors (drinking alcohol, not studying for exams, smoking tobacco). However, socially repressed behaviors (brawling, vandalism) are very occasional and are associated with problematic substance use. Globally, engagement in risk behaviors is more closely linked with the perceptions of its benefits than the perception of its risks. Finally, limitations and implications of these results for research and prevention are provided. Les prises de risques et leur association avec la consommation de substances chez les adolescents ont souvent été étudiées auprès de populations cliniques. Le comportement des jeunes tout-venant est en revanche moins bien connu. Selon certains théoriciens, la participation à des conduites à risques peut être déterminée en fonction des perceptions de leurs bénéfices et dangers potentiels. Toutefois, la littérature ne s'accorde pas sur l'importance respective que ces perceptions revêtent. Dans cette étude, 221 adolescents tout-venant, âgés de 14 à 20 ans, ont complété deux questionnaires : le RIPS-R pour évaluer la prise de risques et leur perception en termes de risques et de bénéfices, et la DEP-ADO pour mesurer la consommation de substances. Les résultats mettent en évidence une prévalence annuelle élevée des comportements à risques socialement acceptables (boire de l'alcool, fumer du tabac). En revanche, les comportements réprimés socialement (bagarres, actes de vandalisme) s'avèrent très occasionnels et sont associés à la consommation problématique de substances. Globalement, c'est la perception des bénéfices qui est le plus fortement liée au fait d'adopter un comportement à risque. Finalement, les limites et les implications pratiques de ces résultats sont discutées. © 2010 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.

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