21 resultados para Parlement de Paris -- officiers, suppression (Actes royaux)
em Université de Lausanne, Switzerland
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(Résumé de l'ouvrage) Deuxième volet de l'oeuvre de Luc, le livre des Actes des Apôtres fait aujourd'hui l'objet de multiples travaux où se croisent enquêtes historiennes, analyses littéraires, questions théologiques. Pour son XXe congrès (Angers, août 2003), l'ACFEB a souhaité participer au débat. Ce volume en rassemble les contributions principales. Odile Flichy commence par dresser un panorama des recherches en cours : renouvellement de l'approche historique, lectures narratives, liens avec le judaïsme. Puis Roselyne Dupont-Roc reprend le problème de la double tradition textuelle du livre. Marie-Françoise Baslez situe le « monde des Actes » dans la littérature et la culture de l'époque. Jean-Pierre Lémonon, relisant Actes 18, 18 - 19, 7, examine les différents courants chrétiens qui marquent Éphèse au Ier siècle. Daniel Marguerat montre comment le récit de Luc dessine Paul comme une « figure identitaire » du christianisme. Michel Quesnel se risque à une analyse rhétorique des discours d'apologie de Paul (Ac 22 et 26). Rémi Gounelle débat des relations entre les foisonnants Actes apocryphes des Apôtres et les Actes des Apôtres canoniques. Enfin deux exemples de réception contemporaine du livre des Actes des Apôtres sont proposés : Laurent Villemin traite de son influence sur l'ecclésiologie du concile Vatican II et Carlos Mesters raconte la lecture qu'en font les « communautés ecclésiales de base » au Brésil. Au terme de ce parcours multiforme, les éditeurs n'ont qu'un souhait : que les lecteurs puissent, comme Théophile, « vérifier la solidité des enseignements [qu'ils ont] reçus » !
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Les textes recueillis dans ce premier tome sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Les textes de ce volume relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles, épîtres, Actes des apôtres, apocalypses.
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(Résumé de l'ouvrage) Les textes recueillis dans ce premier tome sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Les textes de ce volume relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles, épîtres, Actes des apôtres, apocalypses.
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(Résumé de l'ouvrage) La question est souvent posée brutalement : « Le Nouveau Testament est-il anti-juif ? » Comment le message d'amour de Jésus a-t-il pu entraîné et même justifié le mépris, la haine et les violences des chrétiens envers les Juifs, au long des deux millénaires ? Que pensaient exactement les auteurs des évangiles, des Actes des Apôtres et des épîtres ? Comment leurs écrits ont-ils été compris au siècle suivant ? Cinq spécialistes éclairent ces questions en proposant des lectures attentives des divers textes du Nouveau Testament qui parlent des Juifs. Cette étude est fondamentale pour reprendre sur des bases honnêtes et respectueuses le dialogue interrompu dès le 2e siècle. Il y va de notre fidélité à l'Évangile de Jésus-Messie qui réunit et sépare à la fois Juifs et chrétiens.
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En écrivant à la suite de l'évangile ses Actes d'apôtres, Luc a signé la première histoire du christianisme. Fut-il un bon historien? Pour beaucoup, son oeuvre serait partielle, partiale, imprécise et antijuive. Daniel Marguerat s'insurge contre ce procès injustement intenté à l'auteur des Actes. Il s'attache à montrer comment Luc construit son récit en contraste avec les historiens de l'époque. On saisit ainsi mieux la grande originalité des Actes sur des thèmes aussi cruciaux que l'identité du christianisme entre Jérusalem et Rome, l'image de Dieu, magie et guérisons, le conflit entre juifs et chrétiens, l'énigme de la fin de Paul.
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(Résumé de l'ouvrage) Cette nouvelle traduction de la Bible est la première traduction française de la Bible réalisée en commun par des spécialistes des langues et des textes bibliques et des écrivains. Entièrement originale, elle a été élaborée d'après les langues sources de la Bible (Hébreu, Araméen, Grec), et selon les dernières éditions critiques. Chaque livre biblique a été confié à un tandem composé d'un bibliste et d'un écrivain, qui ont travaillé au coude à coude pendant 6 ans. Une idée forte a prévalu : jouer sur la pluralité des genres, des écritures, des interprétations, aboutissant à une Bible à plusieurs voix, qui transmet dans la langue et les littératures françaises contemporaines la diversité des genres littéraires, des styles, des formes, des auteurs, des inspirations, des traditions... Cette nouvelle traduction est le fruit d'une collaboration internationale exceptionnelle entre 20 écrivains et poètes contemporains francophones (parmi lesquels François Bon, Emmanuel Carrère, Florence Delay, Jean Echenoz, Jacques Roubaud...) et 27 spécialistes de la Bible et des langues anciennes. « Bible d'une nouvelle génération », cette Bible renoue avec l'histoire de notre culture. Elle affirme que cette histoire n'est pas close, que la Bible garde l'étonnante capacité de solliciter et de provoquer.
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(Résumé de l'ouvrage) Dans une religion de l'alliance, la question se pose de la rencontre avec Dieu et de manière subordonnée la question de l'habitation de Dieu sur terre. Elle hante la conscience des croyants et du peuple élu dont la Bible décrit l'itinéraire. Comment l'habitation de Dieu sur la terre, dont il est le créateur, est-elle conçue dans la Bible et dans la littérature intertestamentaire, étant entendu que cette habitation ne se limite pas forcément au Temple ? Comment la « maison » de Dieu est-elle symbolisée ? De quelle théologie est-elle porteuse ? Avec quels avantages, quels problèmes, quelles perversions ?
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La Bible est un immense trésor d'histoires racontées. De la Genèse à l'Apocalypse, chaque récit déploie un monde que le lecteur est invité à habiter. Une discipline récente, la narratologie, s'attache à étudier cet art millénaire du « raconter ». Qu'il soit romancier ou écrivain biblique, tout conteur utilise les mêmes outils : il construit une intrigue, il tisse un réseau de personnages, il induit un système de valeurs, il sollicite l'imaginaire du lecteur et le fait voyager dans l'espace et le temps... Sept biblistes présentent ici des « travaux pratiques » d'analyse narrative appliquée à la Bible. Après avoir été invité par Daniel Marguerat à «Entrer dans le monde du récit », le lecteur goûtera la magie du raconter : qu'ils aient été bergers ou érudits, les conteurs bibliques étaient des artistes !
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(Résumé de l'ouvrage) "L'évangile exploré" : ce titre résume de façon lapidaire quarante années d'enseignement, de recherche, de publications d'un exégète, le P. Simon Légasse. Les diverses études rassemblées ici sont dues à des biblistes qui ont pour centre d'intérêt principal le Nouveau Testament. Chaque article constitue un exemple de cette exploration des Écritures qui est la tâche des exégètes.
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(Résumé de l'ouvrage) Les textes recueillis dans ce premier tome sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Les textes de ce volume relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles, épîtres, Actes des apôtres, apocalypses.
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(Résumé de l'ouvrage) Les textes recueillis dans ces deux volumes sont des apocryphes, ce qui signifie qu'en dépit d'un contenu comparable à celui des Écritures ils n'appartiennent pas au canon. En effet, soit ils s'écartent de la doctrine officielle de l'Église en véhiculant des idées hétérodoxes, soit ils font trop appel au merveilleux, aspect dont l'Église s'est toujours méfiée. Mais rappelons que le canon des Écritures n'a pas été fixé tout de suite, son histoire court jusqu'à la quatrième session du Concile de Trente (1546). Ajoutons aussi qu'il y a toujours désaccord en la matière entre l'Église catholique et les Églises protestantes pour certains livres. Les textes réunis dans le premier tome relèvent de l'Antiquité chrétienne et recoupent différents genres bibliques : évangiles (auquel il convient d'adjoindre des écrits relatant la vie et la dormition de Marie, mère de Jésus), épîtres, Actes des apôtres, apocalypses (sur les derniers temps et l'au-delà). Ces pièces sont précieuses. Elles permettent une connaissance plus approfondie des premiers temps de l'Église et la compréhension de traditions - dans le domaine de la piété, de la liturgie ou de l'art - dont nous n'avons pas trace dans les textes canoniques. Les textes réunis dans le second tome sont, dans leur majorité, plus tardifs. Ce volume accorde, d'autre part, une place plus grande que le premier à des livres qui circulèrent dans des aires religieuses et linguistiques autres que le monde byzantin et l'Occident latin ; les traditions copte, arabe, éthiopienne, arménienne y sont bien représentées. Pour la plupart, ces écrits n'avaient encore jamais été publiés en langue française. Les écrits chrétiens que l'on dit « apocryphes » n'ont cessé d'être diffusés, récrits, adaptés. Ils furent le terreau de l'imaginaire chrétien, et une source d'inspiration pour les sculpteurs, les peintres, les écrivains, les musiciens et les cinéastes : le Bunuel de La Voie lactée se souvient des Actes de Jean. C'est que, face au discours régnant, institutionnel, ces textes ouvrent un espace à l'imagination. Ils se développent en quelque sorte dans les interstices des livres canoniques. Ils comblent des vides, inscrivent une parole dans les silences, donnent une voix aux personnages muets, un nom et un visage à ceux qui n'étaient que des ombres. Comme toute littérature, ils rusent avec le discours clos.