4 resultados para Padín, Clemente
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
The mutualistic symbiosis involving Glomeromycota, a distinctive phylum of early diverging Fungi, is widely hypothesized to have promoted the evolution of land plants during the middle Paleozoic. These arbuscular mycorrhizal fungi (AMF) perform vital functions in the phosphorus cycle that are fundamental to sustainable crop plant productivity. The unusual biological features of AMF have long fascinated evolutionary biologists. The coenocytic hyphae host a community of hundreds of nuclei and reproduce clonally through large multinucleated spores. It has been suggested that the AMF maintain a stable assemblage of several different genomes during the life cycle, but this genomic organization has been questioned. Here we introduce the 153-Mb haploid genome of Rhizophagus irregularis and its repertoire of 28,232 genes. The observed low level of genome polymorphism (0.43 SNP per kb) is not consistent with the occurrence of multiple, highly diverged genomes. The expansion of mating-related genes suggests the existence of cryptic sex-related processes. A comparison of gene categories confirms that R. irregularis is close to the Mucoromycotina. The AMF obligate biotrophy is not explained by genome erosion or any related loss of metabolic complexity in central metabolism, but is marked by a lack of genes encoding plant cell wall-degrading enzymes and of genes involved in toxin and thiamine synthesis. A battery of mycorrhiza-induced secreted proteins is expressed in symbiotic tissues. The present comprehensive repertoire of R. irregularis genes provides a basis for future research on symbiosis-related mechanisms in Glomeromycota.
Resumo:
Rapport de synthèse : l .Objectif Evaluer l'effet qu'ont les consignes d'utilisation régulière d'un spray nasal à la nicotine sur leur véritable utilisation durant les 3 premières semaines d'un sevrage tabagique. Un objectif secondaire est d'évaluer l'effet des consignes d'utilisation régulière du spray durant les premières semaines de sevrage tabagique sur le taux de succès à 6 mois par rapport à un groupe pouvant utiliser le spray « ad libitum ». 2. Méthode II s'agit d'une étude ouverte, randomisée contrôlée, incluant 50 patients présentant une dépendance nicotinique forte, se trouvant en phase de préparation selon le modèle transthéorique du changement de Prochaska et Di Clemente, recrutés au sein de la consultation «stop tabac » de la Policlinique Médicale Universitaire de Lausanne. Dans le groupe «contrôle », les patients ont été instruits à utiliser le spray « ad libitum », soit dès qu'apparaissaient des envies irrésistibles de fumer, tandis que le groupe «intervention » a reçu pour consigne d'utiliser le spray au moins 1 fois par heure dès le lever, voire plus en cas d'envie de fumer. L'utilisation du spray nasal a été enregistrée par un dispositif électronique fixé sur le spray (MDILogTM) durant les 3 premières semaines d'utilisation. Durant le suivi, l'abstinence tabagique a été vérifiée par une mesure du taux de CO expiré par un appareil spécifique (Bedfont Smokerlyzer). L'abstinence tabagique a été considérée comme un succès si le taux de CO était s 10 ppm (particules par million). 3. Résultats Un patient a été perdu durant le suivi. Au moment de la randomisation, le groupe «intervention » comprenait plus de femmes, des patients ayant un nombre plus grand de précédentes tentatives d'arrêt du tabagisme, plus de co-morbidités psychiatriques, mais moins de co-morbidités somatiques que le groupe «contrôle ». Dans les 2 groupes, les participants ont utilisé le spray nasal plus de 8 fois par jour (minimum demandé dans le groupe intervention). L'utilisation moyenne du spray était de 13,6 doses/jour pour le groupe «intervention » et de 1 l,l doses/jour pour le groupe contrôle. Ajusté aux différences entre les 2 groupes, la différence entre les doses plus importantes utilisées dans le groupe «intervention »par rapport à celles du groupe « ad libitum »reste non significative durant la première (0.8 ; CI 95% -5.1 ; 6,7), la deuxième (4.0 ; CI 95% -1.9 ; 9.9) et la troisième semaine (3.0 ; CI 95% -2.5 ; 8.5). De même, le fait d'instruire le patient à utiliser chaque heure le spray nasal durant les premières semaines n'a pas eu d'impact sur le taux de succès à 6 mois (RR = 0.69 ; CI 95% 0.34 ; 1.39). 4. Conclusions Cette étude négative montre que les différences d'utilisation du spray nasal nicotinique sont plus dépendantes des caractéristiques individuelles du patient que des recommandations d'utilisation du thérapeute. Les patients présentant un syndrome de dépendance à la nicotine forte utilisent spontanément de manière importante le spray nasal nicotinique, indépendamment des recommandations données. Pour les patients présentant un syndrome de dépendance à la nicotine forte, les recommandations par le thérapeute d'utiliser le spray nasal dès l'apparition d'envies de fumer semblent être la manière de faire la plus adéquate.