15 resultados para POLÍTICA DE MIGRACIÓN – GUATEMALA -2008-2010

em Université de Lausanne, Switzerland


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Im Rahmen der Zusammenarbeit zwischen dem Walliser Krebsregister (WKR), dem Walliser Gesundheitsobservatorium (WGO) und dem Walliser Departement Onkologie wurde beschlossen, eine Studie über die Epidemiologie und die Behandlung von Brustkrebs im Wallis zwischen 2008 und 2010 durchzuführen. Ziel dieser Studie ist es, die Häufigkeit, die Art der Entdeckung, die Behandlungen sowie die 1- und 2-JahresÜberlebensraten von Brustkrebs im Wallis zu beschreiben. Brustkrebs ist die häufigste Krebserkrankung und die zweithäufigste Krebstodesursache bei den Frauen im Wallis. Zwischen 2008 und 2010 wurden im Wallis 836 Fälle von Brustkrebs diagnostiziert. 90% der Karzinome sind invasiv und 10% in situ. Das Durchschnittsalter bei der Diagnosestellung beträgt 62 Jahre. 10% der Karzinome befinden sich im Stadium 0 (Carcinoma in situ), 38% im Stadium I, 36% im Stadium II, 10% im Stadium III und 4% im Stadium IV. 55% der Fälle werden durch ein individuelles (31%) oder organisiertes (23%) Screening entdeckt. 78% der Fälle werden an einem Tumorboard besprochen.

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Dans le cadre de la collaboration entre le Registre valaisan des tumeurs (RVsT) de l'Observatoire valaisan de la santé (OVS) et le Département valaisan d'oncologie (DVO), il a été décidé de faire une étude sur l'épidémiologie et la prise en charge du cancer du sein en Valais de 2008 à 2010. Le but de cette étude est de décrire la fréquence, les modes de présentation, les traitements et la survie à 1 et 2 ans du cancer du sein en Valais.

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Infection of total hip arthroplasties (THA) leads to significant long-termmorbidity and high healthcare costs. We evaluated the differentreasons for treatment failure using different surgical modalities in a12-year prosthetic joint infection cohort study.Method: All patients hospitalized at our institution with infected THAwere included either retrospectively (1999-2007) or prospectively(2008-2010). THA infection was defined as growth of the same microorganismin ≥2 tissue or synovial fluid culture, visible purulence, sinustract or acute inflammation on tissue histopathology. Outcome analysiswas performed at outpatient visits, followed by contacting patients,their relatives and/or treating physicians afterwards.Results: During the study period, 117 patients with THA were identified.We exclude 2 patients due to missing data. The median age was69 years (range, 33-102 years); 42% were women. THA was mainlyperformed for osteoarthritis (n = 84), followed by trauma (n = 22),necrosis (n = 4), dysplasia (n = 2), rheumatoid arthritis (n = 1), osteosarcoma(n = 1) and tuberculosis (n = 1). 28 infections occurred early(≤3 months), 25 delayed (3-24 months) and 63 late (≥24 months aftersurgery). Infected THA were treated with (i) two-stage exchange in59 patients (51%, cure rate: 93%), (ii) one-stage exchange in 5 (4.3%,cure rate: 100%), (iii) debridement with change of mobile parts in18 (17%, cure rate: 83%), (iv) debridement without change of mobileparts in 17 (14%, cure rate: 53% ), (v) Girdlestone in 13 (11%, curerate: 100%), and (vi) two-stage exchange followed by removal in 3(2.6%). Patients were followed for a mean of 3.9 years (range, 0.1 to 9years), 7 patients died unrelated to the infected THA. 15 patients (13%)needed additional operations, 1 for mechanical reasons (dislocationof spacer) and 14 for persistent infection: 11 treated with debridementand retention (8 without change and 3 with change of mobile parts)and 3 with two-stage exchange. The mean number of surgery was 2.2(range, 1 to 5). The infection was finally eradicated in all patients, butthe functional outcome remained unsatisfactory in 20% (persistentpain or impaired mobility due to spacer or Girdlestone situation).Conclusions: Non-respect of current treatment concept leads totreatment failure with subsequent operations. Precise analysis of eachtreatment failures can be used for improving the treatment algorithmleading to better results.

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Pneumocystis jirovecii pneumonia (PCP) and cytomegalovirus (CMV) infection represent possible complications of medical immunosuppression. Between 2005 and 2010, non-human immunodeficiency virus (HIV) PCP patients admitted to a nephrology unit were analyzed for outcome, CMV comorbidity, and patient-to-patient contacts prior to PCP. In contrast to 2002-2004 (no cases) and 2008-2010 (10 cases), a PCP outbreak of 29 kidney-transplant recipients and one patient with anti-glomerular basement membrane disease occurred between 2005 and 2007. None of the patients were on PCP chemoprophylaxis. In four PCP patients, the genotyping data of bronchoalveolar lavage specimen showed an identical Pneumocystis strain. PCP cases had a higher incidence of CMV infection (12 of 30 PCP patients) and CMV disease (four patients) when compared to matched PCP-free controls (p < 0.05). Cotrimoxazole and, if applicable, ganciclovir were started 2.0 ± 4.0 days following admission, and immunosuppressive medication was reduced. In-hospital mortality was 10% and the three-year mortality was 20%. CMV co-infection did not affect mortality. CMV co-infection more frequently occurred during a cluster outbreak of non-HIV PCP in comparison to PCP-free controls. Here, CMV awareness and specific therapy of both CMV infection and PCP led to a comparatively favorable patient outcome. The role of patient isolation should be further investigated in incident non-HIV PCP.

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Les bénéfices et les risques environnementaux du blé de printemps génétiquement modifié (GM), plus résistant à l'oïdium, ont été étudiés sur deux sites en plein champ de 2008 à 2010, dans le cadre d'un réseau de groupes de recherche suisses. Les lignées de blé GM, possédant une résistance spécifique à l'oïdium et aux maladies fongiques en général, ont été comparées à des variétés de blé commercialisées, à des lignées témoins ainsi qu'à de l'orge et du triticale. Outre la résistance à l'oïdium, l'étude a également porté sur les répercussions sur les insectes et les organismes du sol (bactéries, champignons mycorhiziens, faune du sol) ainsi que sur les croisements fortuits du blé. Plusieurs lignées de blé GM étaient nettement plus résistantes à l'oïdium que les témoins. Aucun impact significatif sur les organismes non-cibles n'a été constaté, sur leur biodiversité ou sur certaines fonctions sélectionnées des écosystèmes. Dans l'ensemble, les différences entre le blé GM et les lignées témoins étaient moindres qu'entre les variétés de blé commerciales ou les autres espèces de céréales. Les cas de croisement fortuits étaient rares et n'ont été trouvés qu'à faible distance des plantes GM de l'essai.

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Le syndrome des jambes sans repos (SJSR) est une pathologie fréquente dont la prévalence dans la population générale est de 5-15%. Le SJSR se caractérise par un besoin impérieux de bouger les membres inférieurs qui apparaît le plus souvent au repos, le soir et la nuit. Les symptômes sont typiquement atténués par la mobilisation des jambes. Plusieurs études ont montré que le SJSR a d'importantes répercussions sur le quotidien des patients atteints avec une diminution de leur qualité de vie, des troubles du sommeil et une altération des fonctions cognitives. Un lien entre la carence martiale et le SJSR est supposé depuis longtemps. Il a été montré que les symptômes sont aggravés en cas de déficit en fer sans qu'une corrélation directe ait pu être établie, le taux de ferritine étant souvent normal chez les patients avec un SJRS. Des études récentes ont permis de montrer qu'il existe une carence en fer au niveau du système nerveux central des patients avec un SJSR notamment au niveau du liquide céphalo-rachidien et de la substance noire. Il existe une probable dysfonction du système dopaminergique qui explique la symptomatologie des patients et la réponse souvent favorable aux agonistes dopaminergiques. Par ailleurs, des études ont récemment montré qu'il existe des polymorphismes de plusieurs gènes chez les patients avec un SJSR faisant supposer une probable prédisposition génétique. Les femmes donnant leur sang, population préalablement en bonne santé, sont plus à risque de présenter une carence en fer qui pourrait être associée à une augmentation du risque de développer un SJSR. Les études à ce sujet ont montré des résultats contradictoires. Une étude suédoise parue en 2004 montrait une prévalence du SJSR chez les donneuses de sang de presque 25% alors qu'une étude américaine de 2010 décrivait une prévalence de 9% comparable à la population générale. Il est donc d'intérêt de savoir si l'on fait prendre un risque aux donneuses de sang de développer une affection invalidante telle que le SJSR. Le but de ce travail de thèse en médecine était donc de déterminer la prévalence du SJSR chez les donneuses de sang. Notre étude s'est déroulée de 2008 à 2010 et notre collectif comprenait 291 donneuses de sang de 18 à 49 ans. Nos résultats ont montré une prévalence du SJSR de 6.9% chez les donneuses de sang. La prévalence de l'hyperménorrhée était augmentée chez les donneuses avec un SJSR et elles étaient également significativement plus fatiguées. Nous n'avons pas montré d'association entre le SJSR et la capacité aérobique, la fréquence des dons et la qualité de vie. Comme montré dans plusieurs études, nous avons confirmé l'absence de lien entre le SJSR et le taux d'hémoglobine et la ferritine.

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Le présent travail rend compte de la double articulation d'analyse pensée par Antoine Berman dans Pour une critique des traductions: John Donne (Gallimard, 1994). La méthode bermanienne s'attache tant à une histoire, événementielle et individuelle, des traductions qu'à une analyse des textes à la lumière de leurs entours (paratextes, projets de traduction, etc.). Dans une première partie, nous tenterons de décrire et de comprendre à l'aide d'un panorama historique l'importation de la poésie de Rilke en traduction française, des premières versions du début du XXe siècle aux dernières traductions des Élégies de Duino (2008, 2010). Reprenant la formule de Berman, nous « irons au traducteur », à sa façon de traduire et à la traduction qu'il livre. Nous nous pencherons ainsi sur l'identité de ces traducteurs (premiers ou bien nouveaux), sur leur statut socioculturel ainsi que sur les circonstances dans lesquelles ils furent amenés à traduire et virent leur travail publié. Il s'agira d'établir de façon synthétique ce que Berman, sous l'influence de H. R. Jauss, dénomme l' « horizon » d'une traduction qui, à une date donnée, prend en compte une pluralité de critères allant de traits propres au traducteur aux codes poétiques en vigueur dans le vaste champ des Lettres et la société. Nous replacerons ainsi la traduction dans le plus large contexte du transfert culturel et de l'importation et examinerons les traducteurs en présence : les universitaires, les poètes, les traducteurs à plein temps et, dans une moindre mesure, les philosophes. De ce panorama historique émergera l'idée d'une concurrence entre les multiples traducteurs de la poésie de Rilke, plus spécialement entre universitaires et poètes. Dans une seconde partie, reflet de l'autre facette de la pensée bermanienne, nous procèderons à la comparaison et à l'évaluation critique de plusieurs versions françaises de la première Élégie de Duino - opus poétique rilkéen le plus retraduit en français. Notre corpus se limitera à cette première Élégie et à une dizaine de versions françaises que nous faisons dialoguer ou s'opposer. Partant de premières considérations sur l'enveloppe prosodique et typographique du poème, qui nous permettent de saisir la diversité des entreprises et de cerner tant des lignes de force communes que la singularité d'expérimentations plus marginales, nous « confronterons » ensemble les quatre premières versions françaises de la première Élégie, accomplies quasi simultanément dans les années 1930 par des traducteurs d'horizons variés (un germaniste, J.F. Angelloz, une artiste-peintre, L. Albert-Lasard, un traducteur de métier, M. Betz, et un poète, A. Guerne). Il s'agira de saisir l'apport de chacune d'entre elles, ainsi que le type de lien qui les unit (ou les oppose). L'étude de la quatrième version, celle d'Armel Guerne, nous mènera presque naturellement vers la question de la perception de l'écart poétique et du caractère extra-ordinaire de l'original. A la lumière de cette problématique cardinale en poésie, nous procèderons à la comparaison de versions issues des cinquante dernières années et, en considérant plusieurs éléments de sens, nous tenterons de voir comment chaque traducteur, qui est aussi et avant tout un lecteur, a perçu et restitué dans son texte français la matière poétique propre de l'original. Au terme de ce parcours contrastif parmi différentes versions de la première Élégie, nous confronterons les résultats de notre analyse textuelle et le constat de concurrence qui se dégageait de la première partie. Il s'agira de voir alors si la pratique traductive, telle qu'elle se manifeste concrètement au niveau du texte, reflète un antagonisme particulier entre Poésie et Université, ou s'il convient au contraire de relativiser, voire démystifier cette dichotomie.

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L'hypophosphatémie sévère définie comme une phosphatémie plasmatique < 0.32 mmol/l (Norme : 0.8-1-4 mmol/l) est associé à une morbidité et mortalité accrues. Il s'agit d'un trouble électrolytique dont la prévalence a été évaluée entre 0.24-0.42 % dans une population d'un hôpital général. Un nombre considérable de maladies et de situations cliniques ont été identifiées comme étant associées à une hypophosphatémie. Méthodologie Etude rétrospective chez les patients du service dedecine interne du Centre Hospitalier Universitaire Vaudois (CHUV, Lausanne) au cours de la période 2008-2010 qui ont présenté au moins un épisode de hypophosphatémie sévère définie comme une phosphatémie ≤ 0.35 mmol/l. Nous avons obtenu les données sur l'âge, le sexe, et les taux plasmatiques de : calcium, albumine, créatinine, bicarbonate veineux, glucose et acide urique.Nous avons étudié la prévalence de l'hypophosphatémie sévère et les pathologies associées. Comparaisondans une analyse cas-contrôles des caractéristiques des patients avec hypophosphatémie sévère et ceux ayant des valeurs de phosphate plasmatiques normales(0.8-1.4 mmol/l). Résultats La prévalence des patients ayant présenté au moins une valeur de phosphatémie ≤0.35 mmol/l pendant l'hospitalisation est de 1.3% sur les trois années cumulées. Chez les 84 patients avec hypophosphatémie sévère, la majorité présente plusieurs causes concomitantes. Nous avons retrouvé les étiologies suivantes : dénutrition sévère, 59.5% ; dialyse, 34.5% ; diarrhées chroniques, 23.8% ; consommation chronique d'alcool, 21.4% ; syndrome de renutrition inappropriée (refeeding syndrome), 20.3% et hyperparathyroïdisme primaire, 4.8%. L'hypokaliémie, l'hypocalcémie et l'hypomagnésémie sont positivement et significativement associées à l'hypophosphatémie. Conclusion La prévalence est rare dans un service dedecine interne, mais reste très probablement sous- diagnostiquée. Les patients à risque de développer ce trouble électrolytique sont les patients souffrant de dénutrition avec son pendant le syndrome de renutritioninappropriée et la consommation chronique d'alcool, et les patients sous dialyse.

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Purine nucleotide pyrophosphotransferase was purified to apparent homogeneity from a culture filtrate of Streptomyces morookaensis. It is a monomeric protein with a molecular weight of 24 000-25 000, and its isoelectric point is 6.9. The enzyme synthesizes purine nucleoside 5'-phosphate (mono, di, or tri) 3'-diphosphates such as pppApp, ppApp, pApp, pppGpp, ppGpp and pppIpp by transferring a pyrophosphoryl group from the 5'-position of ATP, dATP and ppApp to the 3'-position of purine nucleotides. The purified enzyme catalysed the formation of 435 mumol of pppApp and 620 mumol of pppGpp from ATP and GTP per min mg protein under the standard conditions. The enzyme requires absolutely a divalent cation for activity, and optimum pH for the enzyme activity lay above 10 for Mg2+, for Co2+ and Zn2+ from 9 to 9.5, and for Fe2+ from 7.5 to 8. The following Michaelis constants were determined: AMP, 2.78 mM; ADP, 3.23 mM; GMP, 0.89 mM; GDP, 0.46 mM and GTP, 1.54 mM, in the case of ATP donor. The enzyme is inhibited by guanine, guanosine, dGDP, dGTP, N-bromosuccinimide, iodacetate, sodium borate and mercuric acetate.

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Objectifs : Il s'agit d'une étude descriptive, rétrospective, de la prévalence des comorbidités dans une population de patients atteints de la maladie de la goutte et hospitalisés dans le Centre Hospitalier Universitaire de Lausanne (CHUV) entre le 1er janvier 2008 et le 31 décembre 2010, ainsi qu'une analyse descriptive des différents traitements employés. Méthode : Les codes diagnostiques AP-DRG des archives électroniques du CHUV ont été utilisés dans le but de faire une analyse manuelle des dossiers. 259 dossiers de patients ont étés analysés et ont permis une description démographique, une analyse de la prévalence des comorbidités, ainsi qu'une description des différents traitements et complications. Résultats : La goutte à Lausanne touche principalement les hommes (78% des patients), l'âge moyen est de 76 ans et 7 mois chez les hommes contre 80 ans et 7 mois chez les femmes. Les tranches d'âge les plus concernées, avec 34.2% des hommes et 42.11% des femmes sont les 75-85 ans. L'espérance de vie est supérieure de 6 ans et demie chez les femmes. 75% des patients ont un excès de poids, 26 % sont obèses. Les comorbidités principales sont l'hypertension artérielle (85% des patients), L'insuffisance rénale chronique (50.2%), les cardiopathies ischémiques (35.7%), le diabète de type II (34.4%), l'alcoolisme chronique (22.5%), les néoplasies (16.7%) et les lithiases rénales (5.4%). La goutte se présente principalement (92.8%) sous forme de crise. La prise en charge par le service de rhumatologie concerne seulement 21.4% des patients. 82.5% des patients suivent un traitement médicamenteux, qui comprend principalementdes AINS (79% des patients), de l'allopurinol (53%, dont 3.6% d'intolérance), de la colchicine (34.6%) et des corticoïdes (27%). Les traitements des comorbidités sont les traitements antihypertenseurs (56.7% d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine et 56.6% des diurétiques de l'anse). Parmi les patients traités avec un AINS, 54.4% sont en insuffisance rénale chronique, 62% en insuffisance cardiaque et 41% ont un épisode de cardiopathie ischémique. 50% des patients traités avec de la colchicine ont une insuffisance cardiaque et 30% ont eu une cardiopathie ischémique. Parmi les patients qui ont eu un épisode infectieux, la crise de goutte est apparue chez 80% d'entre eux avant l'infection. Conclusion : La goutte est une maladie concernant une tranche de la population qui présente des comorbidités importantes sur le plan cardiovasculaire et métabolique, dont il faut tenir compte lors de l'élaboration d'un traitement de la crise ou d'un plan de traitement préventif de l'hyperuricémie.