5 resultados para Nuclear arms control - South Asia

em Université de Lausanne, Switzerland


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Abstract The purpose of this study is to unravel the geodynamic evolution of Thailand and, from that, to extend the interpretation to the rest of Southeast Asia. The methodology was based in a first time on fieldwork in Northern Thailand and Southernmost Myanmar, using a multidisciplinary approach, and then on the compilation and re-interpretation, in a plate tectonics point of view, of existing data about the whole Southeast Asia. The main results concern the Nan-Uttaradit suture, the Chiang Mai Volcanic Belt and the proposition of a new location for the Palaeotethys suture. This led to the establishment of a new plate tectonic model for the geodynamic evolution of Southeast Asia, implying the existence new terranes (Orang Laut and the redefinition of Shan-Thai) and the role of the Palaeopacific Ocean in the tectonic development of the area. The model proposed here considers the Palaeotethys suture as located along the Tertiary Mae Yuam Fault, which represents the divide between the Cimmerian Sibumasu terrane and the Indochina-derived Shan-Thai block. The term Shan-Thai, previously used to define the Cimmerian area (when the Palaeotethys suture was thought to represented by the Nan-Uttaradit suture), was redefined here by keeping its geographical location within the Shan States of Myanmar and Central-Northern Thailand, but attributing it an East Asian Origin. Its detachment from Indochina was the result of the Early Permian opening of the Nan basin. The Nan basin closed during the Middle Triassic, before the deposition of Carnian-Norian molasse. The modalities of the closure of the basin imply a first phase of Middle Permian obduction, followed by final eastwards subduction. The Chiang Mai Volcanic Belt consists of scattered basaltic rocks erupted at least during the Viséan in an extensional continental intraplate setting, on the Shan-Thai part of the Indochina block. The Viséan age was established by the dating of limestone stratigraphically overlying the basalts. In several localities of the East Asian Continent, coeval extensional features occur, possibly implying one or more Early Carboniferous extensional events at a regional scale. These events occurred either due to the presence of a mantle plume or to the roll-back of the Palaeopacific Ocean, subducting beneath Indochina and South China, or both. The Palaeopacific Ocean is responsible, during the Early Permian, for the opening of the Song Ma and Poko back-arcs (Vietnam) with the consequent detachment of the Orang Laut Terranes (Eastern Vietnam, West Sumatra, Kalimantan, Palawan, Taiwan). The Late Triassic/Early Jurassic closure of the Eastern Palaeotethys is considered as having taken place by subduction beneath its southern margin (Gondwana), due to the absence of Late Palaeozoic arc magmatism on its northern (Indochinese) margin and the presence of volcanism on the Cimmerian blocks (Mergui, Lhasa). Résumé Le but de cette étude est d'éclaircir l'évolution géodynamique de la Thaïlande et, à partir de cela, d'étendre l'interprétation au reste de l'Asie du Sud-Est. La méthodologie utilisée est basée dans un premier temps sur du travail de terrain en Thaïlande du nord et dans l'extrême sud du Myanmar, en se basant sur une approche pluridisciplinaire. Dans un deuxième temps, la compilation et la réinterprétation de données préexistantes sur l'Asie du Sud-est la été faite, dans une optique basée sur la tectonique des plaques. Les principaux résultats de ce travail concernent la suture de Nan-Uttaradit, la « Chiang Mai Volcanic Belt» et la proposition d'une nouvelle localité pour la suture de la Paléotethys. Ceci a conduit à l'établissement d'un nouveau modèle pour l'évolution géodynamique de l'Asie du Sud-est, impliquant l'existence de nouveaux terranes (Orang Laut et Shan-Thai redéfini) et le rôle joué par le Paléopacifique dans le développement tectonique de la région. Le modèle présenté ici considère que la suture de la Paléotethys est située le long de la faille Tertiaire de Mae Yuam, qui représente la séparation entre le terrain Cimmérien de Sibumasu et le bloc de Shan-Thai, d'origine Indochinoise. Le terme Shan-Thai, anciennement utilise pour définir le bloc Cimmérien (quand la suture de la Paléotethys était considérée être représentée par la suture de Nan-Uttaradit), a été redéfini ici en maintenant sa localisation géographique dans les états Shan du Myanmar et la Thaïlande nord-centrale, mais en lui attribuant une origine Est Asiatique. Son détachement de l'Indochine est le résultat de l'ouverture du basin de Nan au Permien Inférieur. Le basin de Nan s'est fermé pendant le Trias Moyen, avant le dépôt de molasse Carnienne-Norienne. Les modalités de fermeture du basin invoquent une première phase d'obduction au Permien Moyen, suivie par une subduction finale vers l'est. La "Chiang Mai Volcanic Belt" consiste en des basaltes éparpillés qui ont mis en place au moins pendant le Viséen dans un contexte extensif intraplaque continental sur la partie de l'Indochine correspondant au bloc de Shan-Thai. L'âge Viséen a été établi sur la base de la datation de calcaires qui surmontent stratigraphiquement les basaltes. Dans plusieurs localités du continent Est Asiatique, des preuves d'extension plus ou moins contemporaines ont été retrouvées, ce qui implique l'existence d'une ou plusieurs phases d'extension au Carbonifère Inférieur a une échelle régionale. Ces événements sont attribués soit à la présence d'un plume mantellique, ou au rollback du Paléopacifique, qui subductait sous l'Indochine et la Chine Sud, soit les deux. Pendant le Permien inférieur, le Paléopacifique est responsable pour l'ouverture des basins d'arrière arc de Song Ma et Poko (Vietnam), induisant le détachement des Orang Laut Terranes (Est Vietnam, Ouest Sumatra, Kalimantan, Palawan, Taiwan). La fermeture de la Paléotethys Orientale au Trias Supérieur/Jurassique Inférieur est considérée avoir eu lieu par subduction sous sa marge méridionale (Gondwana), à cause de l'absence de magmatisme d'arc sur sa marge nord (Indochinoise) et de la présence de volcanisme sur les blocs Cimmériens de Lhassa et Sibumasu (Mergui). Résumé large public L'histoire géologique de l'Asie du Sud-est depuis environ 430 millions d'années a été déterminée par les collisions successives de plusieurs continents les uns avec les autres. Il y a environ 430 millions d'années, au Silurien, un grand continent appelé Gondwana, a commencé à se «déchirer» sous l'effet des contraintes tectoniques qui le tiraient. Cette extension a provoqué la rupture du continent et l'ouverture d'un grand océan, appelé Paléotethys, éloignant les deux parties désormais séparées. C'est ainsi que le continent Est Asiatique, composé d'une partie de la Chine actuelle, de la Thaïlande, du Myanmar, de Sumatra, du Vietnam et de Bornéo a été entraîné avec le bord (marge) nord de la Paléotethys, qui s'ouvrait petit à petit. Durant le Carbonifère Supérieur, il y a environ 300 millions d'années, le sud du Gondwana subissait une glaciation, comme en témoigne le dépôt de sédiments glaciaires dans les couches de cet âge. Au même moment le continent Est Asiatique se trouvait à des latitudes tropicales ou équatoriales, ce qui permettait le dépôt de calcaires contenant différents fossiles de foraminifères d'eau chaude et de coraux. Durant le Permien Inférieur, il y a environ 295 millions d'années, la Paléotethys Orientale, qui était un relativement vieil océan avec une croûte froide et lourde, se refermait. La croûte océanique a commencé à s'enfoncer, au sud, sous le Gondwana. C'est ce que l'on appelle la subduction. Ainsi, le Gondwana s'est retrouvé en position de plaque supérieure, par rapport à la Paléotethys qui, elle, était en plaque inférieure. La plaque inférieure en subductant a commencé à reculer. Comme elle ne pouvait pas se désolidariser de la plaque supérieure, en reculant elle l'a tirée. C'est le phénomène du «roll-back ». Cette traction a eu pour effet de déchirer une nouvelle fois le Gondwana, ce qui a résulté en la création d'un nouvel Océan, la Neotethys. Cet Océan en s'ouvrant a déplacé une longue bande continentale que l'on appelle les blocs Cimmériens. La Paléotethys était donc en train de se fermer, la Neotethys de s'ouvrir, et entre deux les blocs Cimmériens se rapprochaient du Continent Est Asiatique. Pendant ce temps, le continent Est Asiatique était aussi soumis à des tensions tectoniques. L'Océan Paléopacifique, à l'est de celui-ci, était aussi en train de subducter. Cette subduction, par roll-back, a déchiré le continent en détachant une ligne de microcontinents appelés ici « Orang Laut Terranes », séparés du continent par deux océans d'arrière arc : Song Ma et Poko. Ceux-ci sont composés de Taiwan, Palawan, Bornéo ouest, Vietnam oriental, et la partie occidentale de Sumatra. Un autre Océan s'est ouvert pratiquement au même moment dans le continent Est Asiatique : l'Océan de Nan qui, en s'ouvrant, a détaché un microcontinent appelé Shan-Thai. La fermeture de l'Océan de Nan, il y a environ 230 millions d'années a resolidarisé Shan-Thai et le continent Est Asiatique et la trace de cet événement est aujourd'hui enregistrée dans la suture (la cicatrice de l'Océan) de Nan-Uttaradit. La cause de l'ouverture de l'Océan de Nan peut soit être due à la subduction du Paléopacifique, soit aux fait que la subduction de la Paléotethys tirait le continent Est Asiatique par le phénomène du « slab-pull », soit aux deux. La subduction du Paléopacifique avait déjà crée de l'extension dans le continent Est Asiatique durant le Carbonifère Inférieur (il y a environ 340-350 millions d'années) en créant des bassins et du volcanisme, aujourd'hui enregistré en différents endroits du continent, dont la ceinture volcanique de Chiang Mai, étudiée ici. A la fin du Trias, la Paléotethys se refermait complètement, et le bloc Cimmérien de Sibumasu entrait en collision avec le continent Est Asiatique. Comme c'est souvent le cas avec les grands océans, il n'y a pas de suture proprement dite, avec des fragments de croûte océanique, pour témoigner de cet évènement. Celui-ci est visible grâce à la différence entre les sédiments du Carbonifère Supérieur et du Permieñ Inférieur de chaque domaine : dans le domaine Cimmérien ils sont de type glaciaire alors que dans le continent Est Asiatique ils témoignent d'un climat tropical. Les océans de Song Ma et Poko se sont aussi refermés au Trias, mais eux ont laissé des sutures visibles

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Human MRE11 is a key enzyme in DNA double-strand break repair and genome stability. Human MRE11 bears a glycine-arginine-rich (GAR) motif that is conserved among multicellular eukaryotic species. We investigated how this motif influences MRE11 function. Human MRE11 alone or a complex of MRE11, RAD50, and NBS1 (MRN) was methylated in insect cells, suggesting that this modification is conserved during evolution. We demonstrate that PRMT1 interacts with MRE11 but not with the MRN complex, suggesting that MRE11 arginine methylation occurs prior to the binding of NBS1 and RAD50. Moreover, the first six methylated arginines are essential for the regulation of MRE11 DNA binding and nuclease activity. The inhibition of arginine methylation leads to a reduction in MRE11 and RAD51 focus formation on a unique double-strand break in vivo. Furthermore, the MRE11-methylated GAR domain is sufficient for its targeting to DNA damage foci and colocalization with gamma-H2AX. These studies highlight an important role for the GAR domain in regulating MRE11 function at the biochemical and cellular levels during DNA double-strand break repair.

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Peroxisome proliferator-activated receptors control many cellular and metabolic processes. They are transcription factors belonging to the family of ligand-inducible nuclear receptors. Three isotypes called PPARalpha, PPARbeta/delta and PPARgamma have been identified in lower vertebrates and mammals. They display differential tissue distribution and each of the three isotypes fulfills specific functions. PPARalpha and PPARgamma control energy homoeostasis and inflammatory responses. Their activity can be modulated by drugs such as the hypolipidaemic fibrates and the insulin sensitising thiazolidinediones (pioglitazone and rosiglitazone). Thus, these receptors are involved in the control of chronic diseases such as diabetes, obesity, and atherosclerosis. Little is known about the main function of PPARbeta, but it has been implicated in embryo implantation, tumorigenesis in the colon, reverse cholesterol transport, and recently in skin wound healing. Here, we present recent developments in the PPAR field with particular emphasis on both the function of PPARs in lipid metabolism and energy homoeostasis (PPARalpha and PPARgamma), and their role in epidermal maturation and skin wound repair (PPARalpha and PPARbeta).

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It has been suggested that pathological gamblers develop illusory perceptions of control regarding the outcome of the games and should express higher Internal and Chance locus of control. A sample of 48 outpatients diagnosed with pathological gambling disorder who participated in this ex post facto study, completed the Internality, Powerful Others, and Chance scale, the South Oaks Gambling Screen questionnaire, and the Beck Depression Inventory. Results for the locus of control measure were compared with a reference group. Pathological gamblers scored higher than the reference group on the Chance locus of control, which increased with the severity of cases. Moreover, Internal locus of control did show a curvilinear relationship with the severity of cases. Pathological gamblers have specific locus of control scores that vary in function of the severity, in a linear fashion or a non-linear fashion according to the scale. This effect might be caused by competition between "illusion of control" and the tendency to attribute adverse consequence of gambling to external causes.

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BACKGROUND: Worldwide data for cancer survival are scarce. We aimed to initiate worldwide surveillance of cancer survival by central analysis of population-based registry data, as a metric of the effectiveness of health systems, and to inform global policy on cancer control. METHODS: Individual tumour records were submitted by 279 population-based cancer registries in 67 countries for 25·7 million adults (age 15-99 years) and 75 000 children (age 0-14 years) diagnosed with cancer during 1995-2009 and followed up to Dec 31, 2009, or later. We looked at cancers of the stomach, colon, rectum, liver, lung, breast (women), cervix, ovary, and prostate in adults, and adult and childhood leukaemia. Standardised quality control procedures were applied; errors were corrected by the registry concerned. We estimated 5-year net survival, adjusted for background mortality in every country or region by age (single year), sex, and calendar year, and by race or ethnic origin in some countries. Estimates were age-standardised with the International Cancer Survival Standard weights. FINDINGS: 5-year survival from colon, rectal, and breast cancers has increased steadily in most developed countries. For patients diagnosed during 2005-09, survival for colon and rectal cancer reached 60% or more in 22 countries around the world; for breast cancer, 5-year survival rose to 85% or higher in 17 countries worldwide. Liver and lung cancer remain lethal in all nations: for both cancers, 5-year survival is below 20% everywhere in Europe, in the range 15-19% in North America, and as low as 7-9% in Mongolia and Thailand. Striking rises in 5-year survival from prostate cancer have occurred in many countries: survival rose by 10-20% between 1995-99 and 2005-09 in 22 countries in South America, Asia, and Europe, but survival still varies widely around the world, from less than 60% in Bulgaria and Thailand to 95% or more in Brazil, Puerto Rico, and the USA. For cervical cancer, national estimates of 5-year survival range from less than 50% to more than 70%; regional variations are much wider, and improvements between 1995-99 and 2005-09 have generally been slight. For women diagnosed with ovarian cancer in 2005-09, 5-year survival was 40% or higher only in Ecuador, the USA, and 17 countries in Asia and Europe. 5-year survival for stomach cancer in 2005-09 was high (54-58%) in Japan and South Korea, compared with less than 40% in other countries. By contrast, 5-year survival from adult leukaemia in Japan and South Korea (18-23%) is lower than in most other countries. 5-year survival from childhood acute lymphoblastic leukaemia is less than 60% in several countries, but as high as 90% in Canada and four European countries, which suggests major deficiencies in the management of a largely curable disease. INTERPRETATION: International comparison of survival trends reveals very wide differences that are likely to be attributable to differences in access to early diagnosis and optimum treatment. Continuous worldwide surveillance of cancer survival should become an indispensable source of information for cancer patients and researchers and a stimulus for politicians to improve health policy and health-care systems. FUNDING: Canadian Partnership Against Cancer (Toronto, Canada), Cancer Focus Northern Ireland (Belfast, UK), Cancer Institute New South Wales (Sydney, Australia), Cancer Research UK (London, UK), Centers for Disease Control and Prevention (Atlanta, GA, USA), Swiss Re (London, UK), Swiss Cancer Research foundation (Bern, Switzerland), Swiss Cancer League (Bern, Switzerland), and University of Kentucky (Lexington, KY, USA).