5 resultados para Naši
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
As part of a project to use the long-lived (T(1/2)=1200a) (166m)Ho as reference source in its reference ionisation chamber, IRA standardised a commercially acquired solution of this nuclide using the 4pibeta-gamma coincidence and 4pigamma (NaI) methods. The (166m)Ho solution supplied by Isotope Product Laboratories was measured to have about 5% Europium impurities (3% (154)Eu, 0.94% (152)Eu and 0.9% (155)Eu). Holmium had therefore to be separated from europium, and this was carried out by means of ion-exchange chromatography. The holmium fractions were collected without europium contamination: 162h long HPGe gamma measurements indicated no europium impurity (detection limits of 0.01% for (152)Eu and (154)Eu, and 0.03% for (155)Eu). The primary measurement of the purified (166m)Ho solution with the 4pi (PC) beta-gamma coincidence technique was carried out at three gamma energy settings: a window around the 184.4keV peak and gamma thresholds at 121.8 and 637.3keV. The results show very good self-consistency, and the activity concentration of the solution was evaluated to be 45.640+/-0.098kBq/g (0.21% with k=1). The activity concentration of this solution was also measured by integral counting with a well-type 5''x5'' NaI(Tl) detector and efficiencies computed by Monte Carlo simulations using the GEANT code. These measurements were mutually consistent, while the resulting weighted average of the 4pi NaI(Tl) method was found to agree within 0.15% with the result of the 4pibeta-gamma coincidence technique. An ampoule of this solution and the measured value of the concentration were submitted to the BIPM as a contribution to the Système International de Référence.
Resumo:
A solution of (18)F was standardised with a 4pibeta-4pigamma coincidence counting system in which the beta detector is a one-inch diameter cylindrical UPS89 plastic scintillator, positioned at the bottom of a well-type 5''x5'' NaI(Tl) gamma-ray detector. Almost full detection efficiency-which was varied downwards electronically-was achieved in the beta-channel. Aliquots of this (18)F solution were also measured using 4pigamma NaI(Tl) integral counting and Monte Carlo calculated efficiencies as well as the CIEMAT-NIST method. Secondary measurements of the same solution were also performed with an IG11 ionisation chamber whose equivalent activity is traceable to the Système International de Référence through the contribution IRA-METAS made to it in 2001; IRA's degree of equivalence was found to be close to the key comparison reference value (KCRV). The (18)F activity predicted by this coincidence system agrees closely with the ionisation chamber measurement and is compatible within one standard deviation of the other primary measurements. This work demonstrates that our new coincidence system can standardise short-lived radionuclides used in nuclear medicine.
Resumo:
The radioactive concentrations of (166m)Ho, (134)Cs and (133)Ba solutions have been standardised using a 4πβ-4πγ coincidence counting system we have recently set up. The detection in the beta channel is performed using various geometries of a UPS-89 plastic scintillator optically coupled to a selected low-noise 1in. diameter photomultiplier tube. The light-tight thin capsule that encloses this beta detector is housed within the well of a 5in.×5in. NaI(Tl) monocrystal detector. The beta detection efficiency can be varied either by optical filtering or electronic discrimination when the electrons loose all their energy in the plastic scintillator. This 4πβ-4πγ coincidence system improves on our 4πβ(PC)-γ system in that its sample preparation is less labour intensive, it yields larger beta- and gamma-counting efficiencies thus enabling the standardisation of low activity sources with good statistics in reasonable time, and it makes standardising short-lived radionuclides easier. The resulting radioactive concentrations of (166m)Ho, (134)Cs and (133)Ba are found to agree with those measured with other primary measurement methods thus validating our 4πβ-4πγ coincidence counting system.
Resumo:
Contexte: L'artériopathie périphérique des membres inférieurs (APMI) est une pathologie chronique qui touche les artères des membres inférieurs. Elle est caractérisée par un rétrécissement progressif de la lumière de l'artère, lié le plus souvent à l'athérosclérose. De multiples facteurs de risque cardiovasculaires participent à l'apparition et à l'évolution de l'APMI. Comme il s'agit des mêmes facteurs de risque que pour beaucoup d'autres maladies cardiovasculaires, l'APMI peut être considérée comme un marqueur du risque cardiovasculaire. Pour cette raison, en plus d'une baisse de la qualité de vie, les patients souffrant d'APMI ont un risque accru d'accidents cardiovasculaires. Bien que l'APMI soit une pathologie en pleine expansion (prévalence de 20% dans la population générale âgée de plus de 55 ans et de 30% chez les plus de 70 ans), la plupart des données disponibles ont été extrapolées à partir d'études sur d'autres populations à risque cardiovasculaire (patients avec ischémie cérébrale, infarctus, diabète, etc.). Objectifs: Le registre REPARMI naît suite à l'exigence d'étudier une pathologie qui sera de plus en plus fréquente dans le monde, mais dont l'histoire naturelle reste peu connue. Etudier l'épidémiologie, les facteurs de risque, la prise en charge de l'APMI ainsi que le devenir des patients par le biais d'un registre prospectif avec un suivi au long cours. De cette façon, le registre permettra de: ? Evaluer l'histoire naturelle des patients avec APMI. ? Identifier les facteurs de risque individuels de l'APMI et les différentes modalités de prise en charge médicale. ? Evaluer l'influence que l'APMI a sur la qualité de vie des patients et l'impact de l'APMI en termes de santé publique dans la population. Méthodes: Il s'agit d'une étude prospective, observationnelle avec inclusion non sélectionnée et consécutive des patients avec APMI. Tous les patients avec une APMI confirmée, qui satisfont les critères d'inclusion et qui n'ont pas de critères d'exclusion, peuvent entrer dans l'étude. Pour chaque patient, des informations épidémiologiques et cliniques de base sont recueillies et différentes analyses biologiques seront effectuées. Pendant les 5 ans du suivi tous les patients vont être soumis à des questionnaires et à des contrôles angiologiques périodiques. Puisqu'il s'agit d'une étude observationnelle, la prise en charge des patients recrutés ne sera pas modifiée par rapport à la norme. Résultats attendus: Mieux comprendre l'histoire naturelle de cette maladie et déterminer quels examens et quels éléments anamnestiques sont vraiment utiles pour améliorer la prise en charge. Trouver des marqueurs dans le sang qui pourraient prédire un événement plutôt qu'un autre. Importance: Cette étude permettra à l'avenir d'apprécier dès le début la sévérité de chaque cas et d'améliorer la prise en charge, en sachant que certaines co-morbidités, certains styles de vie, certaines valeurs dans le sang ou autre sont des facteurs de risque pour une mauvaise évolution de la maladie.