5 resultados para Mentally ill homeless persons
em Université de Lausanne, Switzerland
Resumo:
BACKGROUND: Patterns of morbidity and mortality among human immunodeficiency virus (HIV)-infected individuals taking antiretroviral therapy are changing as a result of immune reconstitution and improved survival. We studied the influence of aging on the epidemiology of non-AIDS diseases in the Swiss HIV Cohort Study. METHODS: The Swiss HIV Cohort Study is a prospective observational cohort established in 1988 with continuous enrollment. We determined the incidence of clinical events (per 1000 person-years) from January 2008 (when a new questionnaire on non-AIDS-related morbidity was introduced) through December 2010. Differences across age groups were analyzed using Cox regression, adjusted for CD4 cell count, viral load, sex, injection drug use, smoking, and years of HIV infection. RESULTS: Overall, 8444 (96%) of 8848 participants contributed data from 40,720 semiannual visits; 2233 individuals (26.4%) were aged 50-64 years, and 450 (5.3%) were aged ≥65 years. The median duration of HIV infection was 15.4 years (95% confidence interval [CI], 9.59-22.0 years); 23.2% had prior clinical AIDS. We observed 994 incident non-AIDS events in the reference period: 201 cases of bacterial pneumonia, 55 myocardial infarctions, 39 strokes, 70 cases of diabetes mellitus, 123 trauma-associated fractures, 37 fractures without adequate trauma, and 115 non-AIDS malignancies. Multivariable hazard ratios for stroke (17.7; CI, 7.06-44.5), myocardial infarction (5.89; 95% CI, 2.17-16.0), diabetes mellitus (3.75; 95% CI, 1.80-7.85), bone fractures without adequate trauma (10.5; 95% CI, 3.58-30.5), osteoporosis (9.13; 95% CI, 4.10-20.3), and non-AIDS-defining malignancies (6.88; 95% CI, 3.89-12.2) were elevated for persons aged ≥65 years. CONCLUSIONS: Comorbidity and multimorbidity because of non-AIDS diseases, particularly diabetes mellitus, cardiovascular disease, non-AIDS-defining malignancies, and osteoporosis, become more important in care of HIV-infected persons and increase with older age.
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RESUME DE THESEContexte de l'étudeLe but de cette étude est de comparer le drainage percutané (DP) et la chirurgie d'urgence (CU) de la vésicule biliaire (VB) pour le traitement de la cholécystite aiguë lithiasique/alithiasique dans un groupe homogène de patients gravement malades et hospitalisés aux soins intensifs (SI).Patients et méthodeEntre les années 2001 et 2007, tous les patients successivement traités par DP ou CU pour cholécystite aiguë aux SI ont été rétrospectivement analysés. Les cas ont été collectés à partir d'une base de données prospective. Le DP était effectué par voie trans-hépatique et la chirurgie par voie ouverte ou laparoscopique. L'état général des patients et la dysfonction des organes étaient évalués par deux scores validés (SAPS Π et SOFA, respectivement). L'analyse des données s'est portée sur les complications à court terme (morbidité, mortalité hospitalière) et à long terme (récurrence des symptômes) après drainage ou chirurgie en urgence.RésultatsQuarante-deux patients (âge médian 65 ans, 32-94 ans) ont été inclus dans l'étude ; 45% ont eu une CU (10 laparoscopics, 9 voies ouvertes) et 55% un DP (n=23) de la vésicule biliaire. Le DP et la CU ont eu des taux de succès respectifs de 91 et 100% pour la résolution du sepsis lié à la cholécystite aigiie. Après drainage et chirurgie de la VB, la dysfonction des organes secondaire au sepsis s'est résolue dans les 3 jours. Malgré le drainage, deux patients ont nécessité une cholécystectomie en urgence pour cholécystite gangréneuse. Le taux de conversion de la laparoscopic à la voie ouverte était de 20%. La morbidité majeure était de 0% après drainage et 21% après chirurgie en urgence (p=0.034). Finalement, la mortalité hospitalière était similaire (13% après DP vs. 16% après CU, p=1.0) et uniquement liée aux co-morbidités des patients. La récurrence des symptômes liés à la VB n'est apparue que chez des patients initialement drainés pour cholécystite lithiasique.ConclusionsChez les patients gravement malades des soins intensifs, le drainage percutané et la chirurgie en urgence de la VB sont tous deux efficaces pour la résolution d'un sepsis lié à une cholécystite aigiie. Cependant, la chirurgie d'urgence est associée à une morbidité majeure accrue et l'approche par laparoscopic n'est pas toujours réalisable. Le drainage percutané de la VB est donc une modalité de traitement valable, mais nécessite à distance de l'épisode aigu une cholécystectomie par laparoscopic, surtout après une cholécystite lithiasique.