4 resultados para Martin, Elizabeth Cornelius (Price) 1864-1932.

em Université de Lausanne, Switzerland


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The association between adiposity measures and dyslipidemia has seldom been assessed in a multipopulational setting. 27 populations from Europe, Australia, New Zealand and Canada (WHO MONICA project) using health surveys conducted between 1990 and 1997 in adults aged 35-64 years (n = 40,480). Dyslipidemia was defined as the total/HDL cholesterol ratio >6 (men) and >5 (women). Overall prevalence of dyslipidemia was 25% in men and 23% in women. Logistic regression showed that dyslipidemia was strongly associated with body mass index (BMI) in men and with waist circumference (WC) in women, after adjusting for region, age and smoking. Among normal-weight men and women (BMI<25 kg/m(2)), an increase in the odds for being dyslipidemic was observed between lowest and highest WC quartiles (OR = 3.6, p < 0.001). Among obese men (BMI ≥ 30), the corresponding increase was smaller (OR = 1.2, p = 0.036). A similar weakening was observed among women. Classification tree analysis was performed to assign subjects into classes of risk for dyslipidemia. BMI thresholds (25.4 and 29.2 kg/m(2)) in men and WC thresholds (81.7 and 92.6 cm) in women came out at first stages. High WC (>84.8 cm) in normal-weight men, menopause in women and regular smoking further defined subgroups at increased risk. standard categories of BMI and WC, or their combinations, do not lead to optimal risk stratification for dyslipidemia in middle-age adults. Sex-specific adaptations are necessary, in particular by taking into account abdominal obesity in normal-weight men, post-menopausal age in women and regular smoking in both sexes.

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La dialectique entre radiodiffusion et histoire des relations culturelles internationales est un domaine largement inexploré. L'objectif de cette thèse est d'analyser le rôle de la Société suisse de radiodiffusion (SSR), société privée qui exerce jusqu'en 1983 le monopole sur l'ensemble des stations de radio suisses, dans l'intensification des relations culturelles internationales de la Confédération. Pour examiner cette dimension des activités de la SSR, je me suis prioritairement penchée sur l'étude de la radio internationale helvétique, dénommée alors « Service suisse d'ondes courtes » (SOC). A l'instar de plusieurs organismes similaires à l'étranger, le SOC remplit dès ses débuts une double mission : resserrer les liens avec la diaspora et faire rayonner le pays hors des frontières nationales. Cette recherche met sur le devant de la scène un acteur médiatique aujourd'hui totalement oublié, le Service suisse d'ondes courtes. Par rapport à l'historiographie des radios internationales, elle mêle approche institutionnelle et, dans la mesure des sources disponibles, l'analyse de la programmation. Elle complète aussi l'histoire de la diplomatie culturelle suisse en rappelant la place du service public audiovisuel parmi les institutions chargées de promouvoir le pays à l'étranger. Pour finir, cette étude constitue également un apport à l'histoire des organisations internationales liées à la radiodiffusion (UIR, UIT). L'analyse du volet international des activités de la SSR a permis de dépasser la seule notion de « puissance » qui a été jusqu'à ces dernières années au coeur des ouvrages dévolus aux radios internationales. L'objectif poursuivi par la SSR ne réside pas tellement dans la diplomatie d'influence (l'exercice d'un « soft power »), qui tend à imposer ses valeurs et un mode de vie, mais plutôt dans la volonté de faire comprendre et reconnaître la culture politique de la Suisse dans le but de renforcer et pérenniser la place de celle-ci dans le concert des nations. Dans cette perspective, la culture devient un moyen utilisé pour transmettre à l'étranger une représentation valorisante du pays, une image de marque (une forme de « Nation Branding » avant l'heure) également utile au secteur touristique et à l'industrie d'exportation. Le Service suisse d'ondes courtes fait ainsi avant tout des relations publiques, un avant-goût de ce que les Américains appelleront dans les années 1960 la « public diplomacy »