8 resultados para MULTIDISCIPLINARY APPROACH
em Université de Lausanne, Switzerland
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Sudden cardiac death (SCD) is by definition unexpected and cardiac in nature. The investigation is almost invariably performed by a forensic pathologist. Under these circumstances the role of the forensic pathologist is twofold: (1.) to determine rapidly and efficiently the cause and manner of death and (2.) to initiate a multidisciplinary process in order to prevent further deaths in existing family members. If the death is determined to be due to "natural" causes the district attorney in charge often refuses further examinations. However, additional examinations, i.e. extensive histopathological investigations and/or molecular genetic analyses, are necessary in many cases to clarify the cause of death. The Swiss Society of Legal Medicine created a multidisciplinary working group together with clinical and molecular geneticists and cardiologists in the hope of harmonising the approach to investigate SCD. The aim of this paper is to close the gap between the Swiss recommendations for routine forensic post-mortem cardiac examination and clinical recommendations for genetic testing of inherited cardiac diseases; this is in order to optimise the diagnostic procedures and preventive measures for living family members. The key points of the recommendations are (1.) the forensic autopsy procedure for all SCD victims under 40 years of age, (2.) the collection and storage of adequate samples for genetic testing, (3.) communication with the families, and (4.) a multidisciplinary approach including cardiogenetic counselling.
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Abstract The purpose of this study is to unravel the geodynamic evolution of Thailand and, from that, to extend the interpretation to the rest of Southeast Asia. The methodology was based in a first time on fieldwork in Northern Thailand and Southernmost Myanmar, using a multidisciplinary approach, and then on the compilation and re-interpretation, in a plate tectonics point of view, of existing data about the whole Southeast Asia. The main results concern the Nan-Uttaradit suture, the Chiang Mai Volcanic Belt and the proposition of a new location for the Palaeotethys suture. This led to the establishment of a new plate tectonic model for the geodynamic evolution of Southeast Asia, implying the existence new terranes (Orang Laut and the redefinition of Shan-Thai) and the role of the Palaeopacific Ocean in the tectonic development of the area. The model proposed here considers the Palaeotethys suture as located along the Tertiary Mae Yuam Fault, which represents the divide between the Cimmerian Sibumasu terrane and the Indochina-derived Shan-Thai block. The term Shan-Thai, previously used to define the Cimmerian area (when the Palaeotethys suture was thought to represented by the Nan-Uttaradit suture), was redefined here by keeping its geographical location within the Shan States of Myanmar and Central-Northern Thailand, but attributing it an East Asian Origin. Its detachment from Indochina was the result of the Early Permian opening of the Nan basin. The Nan basin closed during the Middle Triassic, before the deposition of Carnian-Norian molasse. The modalities of the closure of the basin imply a first phase of Middle Permian obduction, followed by final eastwards subduction. The Chiang Mai Volcanic Belt consists of scattered basaltic rocks erupted at least during the Viséan in an extensional continental intraplate setting, on the Shan-Thai part of the Indochina block. The Viséan age was established by the dating of limestone stratigraphically overlying the basalts. In several localities of the East Asian Continent, coeval extensional features occur, possibly implying one or more Early Carboniferous extensional events at a regional scale. These events occurred either due to the presence of a mantle plume or to the roll-back of the Palaeopacific Ocean, subducting beneath Indochina and South China, or both. The Palaeopacific Ocean is responsible, during the Early Permian, for the opening of the Song Ma and Poko back-arcs (Vietnam) with the consequent detachment of the Orang Laut Terranes (Eastern Vietnam, West Sumatra, Kalimantan, Palawan, Taiwan). The Late Triassic/Early Jurassic closure of the Eastern Palaeotethys is considered as having taken place by subduction beneath its southern margin (Gondwana), due to the absence of Late Palaeozoic arc magmatism on its northern (Indochinese) margin and the presence of volcanism on the Cimmerian blocks (Mergui, Lhasa). Résumé Le but de cette étude est d'éclaircir l'évolution géodynamique de la Thaïlande et, à partir de cela, d'étendre l'interprétation au reste de l'Asie du Sud-Est. La méthodologie utilisée est basée dans un premier temps sur du travail de terrain en Thaïlande du nord et dans l'extrême sud du Myanmar, en se basant sur une approche pluridisciplinaire. Dans un deuxième temps, la compilation et la réinterprétation de données préexistantes sur l'Asie du Sud-est la été faite, dans une optique basée sur la tectonique des plaques. Les principaux résultats de ce travail concernent la suture de Nan-Uttaradit, la « Chiang Mai Volcanic Belt» et la proposition d'une nouvelle localité pour la suture de la Paléotethys. Ceci a conduit à l'établissement d'un nouveau modèle pour l'évolution géodynamique de l'Asie du Sud-est, impliquant l'existence de nouveaux terranes (Orang Laut et Shan-Thai redéfini) et le rôle joué par le Paléopacifique dans le développement tectonique de la région. Le modèle présenté ici considère que la suture de la Paléotethys est située le long de la faille Tertiaire de Mae Yuam, qui représente la séparation entre le terrain Cimmérien de Sibumasu et le bloc de Shan-Thai, d'origine Indochinoise. Le terme Shan-Thai, anciennement utilise pour définir le bloc Cimmérien (quand la suture de la Paléotethys était considérée être représentée par la suture de Nan-Uttaradit), a été redéfini ici en maintenant sa localisation géographique dans les états Shan du Myanmar et la Thaïlande nord-centrale, mais en lui attribuant une origine Est Asiatique. Son détachement de l'Indochine est le résultat de l'ouverture du basin de Nan au Permien Inférieur. Le basin de Nan s'est fermé pendant le Trias Moyen, avant le dépôt de molasse Carnienne-Norienne. Les modalités de fermeture du basin invoquent une première phase d'obduction au Permien Moyen, suivie par une subduction finale vers l'est. La "Chiang Mai Volcanic Belt" consiste en des basaltes éparpillés qui ont mis en place au moins pendant le Viséen dans un contexte extensif intraplaque continental sur la partie de l'Indochine correspondant au bloc de Shan-Thai. L'âge Viséen a été établi sur la base de la datation de calcaires qui surmontent stratigraphiquement les basaltes. Dans plusieurs localités du continent Est Asiatique, des preuves d'extension plus ou moins contemporaines ont été retrouvées, ce qui implique l'existence d'une ou plusieurs phases d'extension au Carbonifère Inférieur a une échelle régionale. Ces événements sont attribués soit à la présence d'un plume mantellique, ou au rollback du Paléopacifique, qui subductait sous l'Indochine et la Chine Sud, soit les deux. Pendant le Permien inférieur, le Paléopacifique est responsable pour l'ouverture des basins d'arrière arc de Song Ma et Poko (Vietnam), induisant le détachement des Orang Laut Terranes (Est Vietnam, Ouest Sumatra, Kalimantan, Palawan, Taiwan). La fermeture de la Paléotethys Orientale au Trias Supérieur/Jurassique Inférieur est considérée avoir eu lieu par subduction sous sa marge méridionale (Gondwana), à cause de l'absence de magmatisme d'arc sur sa marge nord (Indochinoise) et de la présence de volcanisme sur les blocs Cimmériens de Lhassa et Sibumasu (Mergui). Résumé large public L'histoire géologique de l'Asie du Sud-est depuis environ 430 millions d'années a été déterminée par les collisions successives de plusieurs continents les uns avec les autres. Il y a environ 430 millions d'années, au Silurien, un grand continent appelé Gondwana, a commencé à se «déchirer» sous l'effet des contraintes tectoniques qui le tiraient. Cette extension a provoqué la rupture du continent et l'ouverture d'un grand océan, appelé Paléotethys, éloignant les deux parties désormais séparées. C'est ainsi que le continent Est Asiatique, composé d'une partie de la Chine actuelle, de la Thaïlande, du Myanmar, de Sumatra, du Vietnam et de Bornéo a été entraîné avec le bord (marge) nord de la Paléotethys, qui s'ouvrait petit à petit. Durant le Carbonifère Supérieur, il y a environ 300 millions d'années, le sud du Gondwana subissait une glaciation, comme en témoigne le dépôt de sédiments glaciaires dans les couches de cet âge. Au même moment le continent Est Asiatique se trouvait à des latitudes tropicales ou équatoriales, ce qui permettait le dépôt de calcaires contenant différents fossiles de foraminifères d'eau chaude et de coraux. Durant le Permien Inférieur, il y a environ 295 millions d'années, la Paléotethys Orientale, qui était un relativement vieil océan avec une croûte froide et lourde, se refermait. La croûte océanique a commencé à s'enfoncer, au sud, sous le Gondwana. C'est ce que l'on appelle la subduction. Ainsi, le Gondwana s'est retrouvé en position de plaque supérieure, par rapport à la Paléotethys qui, elle, était en plaque inférieure. La plaque inférieure en subductant a commencé à reculer. Comme elle ne pouvait pas se désolidariser de la plaque supérieure, en reculant elle l'a tirée. C'est le phénomène du «roll-back ». Cette traction a eu pour effet de déchirer une nouvelle fois le Gondwana, ce qui a résulté en la création d'un nouvel Océan, la Neotethys. Cet Océan en s'ouvrant a déplacé une longue bande continentale que l'on appelle les blocs Cimmériens. La Paléotethys était donc en train de se fermer, la Neotethys de s'ouvrir, et entre deux les blocs Cimmériens se rapprochaient du Continent Est Asiatique. Pendant ce temps, le continent Est Asiatique était aussi soumis à des tensions tectoniques. L'Océan Paléopacifique, à l'est de celui-ci, était aussi en train de subducter. Cette subduction, par roll-back, a déchiré le continent en détachant une ligne de microcontinents appelés ici « Orang Laut Terranes », séparés du continent par deux océans d'arrière arc : Song Ma et Poko. Ceux-ci sont composés de Taiwan, Palawan, Bornéo ouest, Vietnam oriental, et la partie occidentale de Sumatra. Un autre Océan s'est ouvert pratiquement au même moment dans le continent Est Asiatique : l'Océan de Nan qui, en s'ouvrant, a détaché un microcontinent appelé Shan-Thai. La fermeture de l'Océan de Nan, il y a environ 230 millions d'années a resolidarisé Shan-Thai et le continent Est Asiatique et la trace de cet événement est aujourd'hui enregistrée dans la suture (la cicatrice de l'Océan) de Nan-Uttaradit. La cause de l'ouverture de l'Océan de Nan peut soit être due à la subduction du Paléopacifique, soit aux fait que la subduction de la Paléotethys tirait le continent Est Asiatique par le phénomène du « slab-pull », soit aux deux. La subduction du Paléopacifique avait déjà crée de l'extension dans le continent Est Asiatique durant le Carbonifère Inférieur (il y a environ 340-350 millions d'années) en créant des bassins et du volcanisme, aujourd'hui enregistré en différents endroits du continent, dont la ceinture volcanique de Chiang Mai, étudiée ici. A la fin du Trias, la Paléotethys se refermait complètement, et le bloc Cimmérien de Sibumasu entrait en collision avec le continent Est Asiatique. Comme c'est souvent le cas avec les grands océans, il n'y a pas de suture proprement dite, avec des fragments de croûte océanique, pour témoigner de cet évènement. Celui-ci est visible grâce à la différence entre les sédiments du Carbonifère Supérieur et du Permieñ Inférieur de chaque domaine : dans le domaine Cimmérien ils sont de type glaciaire alors que dans le continent Est Asiatique ils témoignent d'un climat tropical. Les océans de Song Ma et Poko se sont aussi refermés au Trias, mais eux ont laissé des sutures visibles
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BACKGROUND: Rectal and pararectal gastrointestinal stromal tumors (GISTs) are rare. The optimal management strategy for primary localized GISTs remains poorly defined. METHODS: We conducted a retrospective analysis of 41 patients with localized rectal or pararectal GISTs treated between 1991 and 2011 in 13 French Sarcoma Group centers. RESULTS: Of 12 patients who received preoperative imatinib therapy for a median duration of 7 (2-12) months, 8 experienced a partial response, 3 had stable disease, and 1 had a complete response. Thirty and 11 patients underwent function-sparing conservative surgery and abdominoperineal resection, respectively. Tumor resections were mostly R0 and R1 in 35 patients. Tumor rupture occurred in 12 patients. Eleven patients received postoperative imatinib with a median follow-up of 59 (2.4-186) months. The median time to disease relapse was 36 (9.8-62) months. The 5-year overall survival rate was 86.5%. Twenty patients developed local recurrence after surgery alone, two developed recurrence after resection combined with preoperative and/or postoperative imatinib, and eight developed metastases. In univariate analysis, the mitotic index (≤5) and tumor size (≤5 cm) were associated with a significantly decreased risk of local relapse. Perioperative imatinib was associated with a significantly reduced risk of overall relapse and local relapse. CONCLUSIONS: Perioperative imatinib therapy was associated with improved disease-free survival. Preoperative imatinib was effective. Tumor shrinkage has a clear benefit for local excision in terms of feasibility and function preservation. Given the complexity of rectal GISTs, referral of patients with this rare disease to expert centers to undergo a multidisciplinary approach is recommended.
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To make a diagnostic of cancer in a young adult (15-30 years of age) has important physical, psychological and social implications. The most frequent cancers seen at this age are cancer of the thyroid, testicular germ cell tumours, 'melanoma, Hodgkin's lymphoma, non-Hodgkin lymphoma, leukaemia, cerebral tumours and sarcomas. Even if the prognostic of most of these cancers is excellent, treatments are difficult and often associated with long-term side effects. A multidisciplinary approach of these patients is essential. A long-term follow-up by a general practicioner or an oncologist is indispensable.
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Two Paleogene ocean islands are exposed in the Azuero Peninsula, west Panama, within sequences accreted in the early-Middle Eocene. A multidisciplinary approach involving litho-logic mapping, paleontological age determinations, and petrological study allows reconstruction of the stratigraphy and magmatic evolution of one of these intraplate oceanic volcanoes. From base to top, the volcano's structure comprises submarine basaltic lava flows locally interlayered with hemipelagic sediments, basaltic breccias, shallow-water limestones, and subaerial basaltic lava. Gabbros and basaltic dikes were emplaced along a rift zone of the island. Geochemical trends of basaltic lavas include decreased Mg# {[Mg/(Mg + Fe)] * 100} and, with time, increased incompatible element contents thought to be representative of many poorly documented intraplate volcanoes in the Pacific. Our results show that, in addition to deep drilling, the roots of oceanic islands can be explored through studies of accreted and subaerially exhumed oceanic sequences.
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To assess the impact of international consensus conference guidelines on the attitude of Swiss specialists when facing the decision to treat chronic hepatitis C patients. Questionnaires focusing on the personal situation and treatment decisions were mailed to 165 patients who were newly diagnosed with hepatitis C virus (HCV) infection and enrolled into the Swiss Hepatitis C Cohort Study during the years 2002-2004. Survey respondents (n = 86, 52.1%) were comparable to non-respondents with respect to severity of liver disease, history of substance abuse and psychiatric co-morbidities. Seventy percent of survey respondents reported having been offered antiviral treatment. Patients deferred from treatment had less advanced liver fibrosis, were more frequently infected with HCV genotypes 1 or 4 and presented more often with a history of depression. There were no differences regarding age, socio-economic background, alcohol abuse, intravenous drug abuse or methadone treatment when compared with patients to whom treatment was proposed. Ninety percent of eligible patients agreed to undergo treatment. Overall, 54.6% of respondents and 78.3% of those considered eligible had actually received antiviral therapy by 2007. Ninety-five percent of patients reported high satisfaction with their own hepatitis C management. Consistent with latest international consensus guidelines, patients enrolled in the Swiss Hepatitis C Cohort with a history of substance abuse were not withheld antiviral treatment. A multidisciplinary approach is warranted to provide antiviral treatment to patients suffering from depression.
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The management of gliomas remains challenging and requires a multidisciplinary approach that involves neurosurgeons, radiation therapists and oncologists. For patients with glioblastomas, progress has been made in recent years with the introduction of a combined modality treatment associating radiation therapy and concomitant chemotherapy with the novel alkylating agent temozolomide. This combination resulted in a significant prolongation of survival and increase in the number of patients with survival well beyond two years. Since then, interest in developing new agents in this disease has dramatically increased. In parallel, molecular markers, such as methylation status of MGMT or identification of the translocation of 1p and 19q in oligodendrogliomas have allowed to identify distinct subtypes with exquisite response to treatment or different prognosis. These developments have implications for the development of clinical trials of new potential drug treatments. In this article, we provide a review of the current management of low- and high-grade gliomas, including astrocytomas, oligodendrogliomas and glioblastomas and provide an outlook into future potential therapies.
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Despite moderate improvements in outcome of glioblastoma after first-line treatment with chemoradiation recent clinical trials failed to improve the prognosis of recurrent glioblastoma. In the absence of a standard of care we aimed to investigate institutional treatment strategies to identify similarities and differences in the pattern of care for recurrent glioblastoma. We investigated re-treatment criteria and therapeutic pathways for recurrent glioblastoma of eight neuro-oncology centres in Switzerland having an established multidisciplinary tumour-board conference. Decision algorithms, differences and consensus were analysed using the objective consensus methodology. A total of 16 different treatment recommendations were identified based on combinations of eight different decision criteria. The set of criteria implemented as well as the set of treatments offered was different in each centre. For specific situations, up to 6 different treatment recommendations were provided by the eight centres. The only wide-range consensus identified was to offer best supportive care to unfit patients. A majority recommendation was identified for non-operable large early recurrence with unmethylated MGMT promoter status in the fit patients: here bevacizumab was offered. In fit patients with late recurrent non-operable MGMT promoter methylated glioblastoma temozolomide was recommended by most. No other majority recommendations were present. In the absence of strong evidence we identified few consensus recommendations in the treatment of recurrent glioblastoma. This contrasts the limited availability of single drugs and treatment modalities. Clinical situations of greatest heterogeneity may be suitable to be addressed in clinical trials and second opinion referrals are likely to yield diverging recommendations.