8 resultados para LANGERHANS

em Université de Lausanne, Switzerland


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The predominant clinical and radiological features of Langerhans' cell histiocytosis (LCH) in children are due to osseous involvement. Extra-osseous disease is far less common, occurring in association with bone disease or in isolation; nearly all anatomical sites may be affected and in very various combinations. The following article is based on a multicentre review of 31 children with extra-osseous LCH. The objective is to summarise the diverse possibilities of organ involvement. The radiological manifestations using different imaging modalities are rarely pathognomonic on their own. Nevertheless, familiarity with the imaging findings, especially in children with systemic disease, may be essential for early diagnosis.

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Le glucose est notre principale source d'énergie. Après un repas, le taux de glucose dans le sang (glycémie) augmente, ce qui entraine la sécrétion d'insuline. L'insuline est une hormone synthétisée au niveau du pancréas par des cellules dites bêta. Elle agit sur différents organes tels que les muscles, le foie ou le tissu adipeux, induisant ainsi le stockage du glucose en vue d'une utilisation future.¦Le diabète est une maladie caractérisée par un taux élevé de glucose dans le sang (hyperglycémie), résultant d'une incapacité de notre corps à utiliser ou à produire suffisamment d'insuline. A long terme, cette hyperglycémie entraîne une détérioration du système cardio-vasculaire ainsi que de nombreuses complications. On distingue principalement deux type de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2, le plus fréquent (environ 90% des cas). Bien que ces deux maladies diffèrent sur beaucoup de points, elles partagent quelques similitudes. D'une part, on décèle une diminution de la quantité de cellules bêta. Cette diminution est cependant partielle dans le cas d'un diabète de type 2, et totale dans celui d'un diabète de type 1. D'autre part, la présence dans la circulation de médiateurs de l'inflammation nommés cytokines est décelée aussi bien chez les patients de type 1 que de type 2. Les cytokines sont sécrétées lors d'une inflammation. Elles servent de moyen de communication entre les différents acteurs de l'inflammation et ont pour certaines un effet néfaste sur la survie des cellules bêta.¦L'objectif principal de ma thèse a été d'étudier en détail l'effet de petites molécules régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs. Basé sur le fait que de nombreuses publications ont démontré que les microARNs étaient impliqués dans différentes maladies telles que le cancer, j'ai émis l'hypothèse qu'ils pouvaient également jouer un rôle important dans le développement du diabète.¦Nous avons commencé par mettre des cellules bêta en culture en présence de cytokines, imitant ainsi un environnement inflammatoire. Nous avons pu de ce fait identifier les microARNs dont les niveaux d'expression étaient modifiés. A l'aide de méthodes biochimiques, nous avons ensuite observé que la modulation de certains microARNs par les cytokines avaient des effets néfastes sur la cellule bêta : sur sa production et sa sécrétion d'insuline, ainsi que sur sa mort (apoptose). Nous avons en conséquence pu démontrer que ces petites molécules avaient un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta induit par les cytokines, aboutissant au développement du diabète.¦-¦La cellule bêta pancréatique est une cellule endocrine présente dans les îlots de Langerhans, dans le pancréas. L'insuline, une hormone sécrétée par ces cellules, joue un rôle essentiel dans la régulation de la glycémie. Le diabète se développe si le taux d'insuline relâché par les cellules bêta n'est pas suffisant pour couvrir les besoins métaboliques corporels. Le diabète de type 1, qui représente environ 5 à 10% des cas, est une maladie auto-immune qui se caractérise par une réaction inflammatoire déclenchée par notre système immunitaire envers les cellules bêta. La conséquence de cette attaque est une disparition progressive des cellules bêta. Le diabète de type 2 est, quant à lui, largement plus répandu puisqu'il représente environ 90% des cas. Des facteurs à la fois génétiques et environnementaux sont responsables d'une diminution de la sensibilité des tissus métabolisant l'insuline, ainsi que d'une réduction de la sécrétion de l'insuline par les cellules bêta, ce qui a pour conséquence le développement de la maladie. Malgré les différences entre ces deux types de diabète, ils ont pour points communs la présence d'infiltrat immunitaire et la diminution de l'état fonctionnel des cellules bêta.¦Une meilleure compréhension des mécanismes aboutissant à l'altération de la cellule bêta est primordiale, avant de pouvoir développer de nouvelles stratégies thérapeutiques capables de guérir cette maladie. Durant ma thèse, j'ai donc étudié l'implication de petites molécules d'ARN, régulatrices de l'expression génique, appelées microARNs, dans les conditions physiopathologiques qui aboutissent au développement du diabète. J'ai débuté mon étude par l'identification de microARNs dont le niveau d'expression était modifié lorsque les cellules bêta étaient exposées à des conditions favorisant à la fois le développement du diabète de type 1 (cytokines) et celui du diabète de type 2 (palmitate). Nous avons découvert qu'une modification de l'expression des miR-21, -34a et -146a était commune aux deux traitements. Ces changements d'expressions ont également été confirmés dans deux modèles animaux : les souris NOD qui développent un diabète s'apparentant au diabète de type 1 et les souris db/db qui développent plutôt un diabète de type 2. Puis, à l'aide de puces à ADN, nous avons comparé l'expression de microARNs chez des souris NOD pré-diabétiques. Nous avons alors retrouvé des changements au niveau de l'expression des mêmes microARNs mais également au niveau d'une famille de microARNs : les miR-29a, -29b et -29c. De manière artificielle, nous avons ensuite surexprimé ou inhibé en conditions physiopathologiques l'expression de tous ces microARNs et nous nous sommes intéressés à l'impact d'un tel changement sur différentes fonctions de la cellule bêta comme la synthèse et la sécrétion d'insulinè ainsi que leur survie. Nous avons ainsi pu démontrer que les miR-21, -34a, -29a, -29b, -29c avaient un effet délétère sur la sécrétion d'insuline et que la surexpression de tous ces microARNs (excepté le miR-21) favorisait la mort. Finalement, nous avons démontré que la plupart de ces microARNs étaient impliqués dans la régulation d'importantes voies de signalisation responsables de l'apoptose des cellules bêta telles que les voies de NFKB, BCL2 ou encore JNK.¦Par conséquent, nos résultats démontrent que les microARNs ont un rôle important à jouer dans le dysfonctionnement des cellules bêta lors de la mise en place du diabète.

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OBJECTIVE-We studied whether manganese-enhanced high-field magnetic resonance (MR) imaging (MEHFMRI) could quantitatively detect individual islets in situ and in vivo and evaluate changes in a model of experimental diabetes.RESEARCH DESIGN AND METHODS-Whole pancreata from untreated (n = 3), MnCl(2) and glucose-injected mice (n = 6), and mice injected with either streptozotocin (STZ; n = 4) or citrate buffer (n = 4) were imaged ex vivo for unambiguous evaluation of islets. Exteriorized pancreata of MnCl(2) and glucose-injected mice (n = 6) were imaged in vivo to directly visualize the gland and minimize movements. In all cases, MR images were acquired in a 14.1 Testa scanner and correlated with the corresponding (immuno)histological sections.RESULTS-In ex vivo experiments, MEHFMRI distinguished different pancreatic tissues and evaluated the relative abundance of islets in the pancreata of normoglycemic mice. MEHFMRI also detected a significant decrease in the numerical and volume density of islets in STZ-injected mice. However, in the latter measurements the loss of beta-cells was undervalued under the conditions tested. The experiments on the externalized pancreata confirmed that MEHFMRI could visualize native individual islets in living, anesthetized mice.CONCLUSIONS-Data show that MEHFMRI quantitatively visualizes individual islets in the intact mouse pancreas, both ex vivo and in vivo. Diabetes 60:2853-2860, 2011

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Macrophage migration inhibitory factor (MIF), originally identified as a cytokine secreted by T lymphocytes, was found recently to be both a pituitary hormone and a mediator released by immune cells in response to glucocorticoid stimulation. We report here that the insulin-secreting beta cell of the islets of Langerhans expresses MIF and that its production is regulated by glucose in a time- and concentration-dependent manner. MIF and insulin colocalize by immunocytochemistry within the secretory granules of the pancreatic islet beta cells, and once released, MIF appears to regulate insulin release in an autocrine fashion. In perifusion studies performed with isolated rat islets, immunoneutralization of MIF reduced the first and second phase of the glucose-induced insulin secretion response by 39% and 31%, respectively. Conversely, exogenously added recombinant MIF was found to potentiate insulin release. Constitutive expression of MIF antisense RNA in the insulin-secreting INS-1 cell line inhibited MIF protein synthesis and decreased significantly glucose-induced insulin release. MIF is therefore a glucose-dependent, islet cell product that regulates insulin secretion in a positive manner and may play an important role in carbohydrate metabolism.

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Connexin-36 (Cx36) is a gap junction protein expressed by the insulin-producing beta-cells. We investigated the contribution of this protein in normal beta-cell function by using a viral gene transfer approach to alter Cx36 content in the insulin-producing line of INS-1E cells and rat pancreatic islets. Transcripts for Cx43, Cx45, and Cx36 were detected by reverse transcriptase-PCR in freshly isolated pancreatic islets, whereas only a transcript for Cx36 was detected in INS-1E cells. After infection with a sense viral vector, which induced de novo Cx36 expression in the Cx-defective HeLa cells we used to control the transgene expression, Western blot, immunofluorescence, and freeze-fracture analysis showed a large increase of Cx36 within INS-1E cell membranes. In contrast, after infection with an antisense vector, Cx36 content was decreased by 80%. Glucose-induced insulin release and insulin content were decreased, whether infected INS-1E cells expressed Cx36 levels that were largely higher or lower than those observed in wild-type control cells. In both cases, basal insulin secretion was unaffected. Comparable observations on basal secretion and insulin content were made in freshly isolated rat pancreatic islets. The data indicate that large changes in Cx36 alter insulin content and, at least in INS-1E cells, also affect glucose-induced insulin release.

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Nutrient ingestion triggers a complex hormonal response aimed at stimulating glucose utilization in liver, muscle and adipose tissue to minimize the raise in blood glucose levels. Insulin secretion by pancreatic beta cells plays a major role in this response. Although the beta cell secretory response is mainly controlled by blood glucose levels, gut hormones secreted in response to food intake have an important role in potentiating glucose-stimulated insulin secretion. These gluco-incretin hormones are GLP-1 (glucagon-like peptide-1) and GIP (gluco-dependent insulinotropic polypeptide). Their action on pancreatic beta cells depends on binding to specific G-coupled receptors linked to activation of the adenylyl cyclase pathway. In addition to their effect on insulin secretion both hormones also stimulate insulin production at the transcriptional and translational level and positively regulate beta cell mass. Because the glucose-dependent insulinotropic action of GLP-1 is preserved in type 2 diabetic patients, this peptide is now developed as a novel therapeutic drug for this disease.

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INTRODUCTION: Dendritic cells (DCs) are the most important antigen-presenting cell population for activating antitumor T-cell responses; therefore, they offer a unique opportunity for specific targeting of tumors. AREAS COVERED: We will discuss the critical factors for the enhancement of DC vaccine efficacy: different DC subsets, types of in vitro DC manufacturing protocol, types of tumor antigen to be loaded and finally different adjuvants for activating them. We will cover potential combinatorial strategies with immunomodulatory therapies: depleting T-regulatory (Treg) cells, blocking VEGF and blocking inhibitory signals. Furthermore, recommendations to incorporate these criteria into DC-based tumor immunotherapy will be suggested. EXPERT OPINION: Monocyte-derived DCs are the most widely used DC subset in the clinic, whereas Langerhans cells and plasmacytoid DCs are two emerging DC subsets that are highly effective in eliciting cytotoxic T lymphocyte responses. Depending on the type of tumor antigens selected for loading DCs, it is important to optimize a protocol that will generate highly potent DCs. The future aim of DC-based immunotherapy is to combine it with one or more immunomodulatory therapies, for example, Treg cell depletion, VEGF blockage and T-cell checkpoint blockage, to elicit the most optimal antitumor immunity to induce long-term remission or even cure cancer patients.

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Antibodies play an important role in therapy and investigative biomedical research. The TNF-family member Receptor Activator of NF-κB (RANK) is known for its role in bone homeostasis and is increasingly recognized as a central player in immune regulation and epithelial cell activation. However, the study of RANK biology has been hampered by missing or insufficient characterization of high affinity tools that recognize RANK. Here, we present a careful description and comparison of two antibodies, RANK-02 obtained by phage display (Newa, 2014 [1]) and R12-31 generated by immunization (Kamijo, 2006 [2]). We found that both antibodies recognized mouse RANK with high affinity, while RANK-02 and R12-31 recognized human RANK with high and lower affinities, respectively. Using a cell apoptosis assay based on stimulation of a RANK:Fas fusion protein, and a cellular NF-κB signaling assay, we showed that R12-31 was agonist for both species. R12-31 interfered little or not at all with the binding of RANKL to RANK, in contrast to RANK-02 that efficiently prevented this interaction. Depending on the assay and species, RANK-02 was either a weak agonist or a partial antagonist of RANK. Both antibodies recognized human Langerhans cells, previously shown to express RANK, while dermal dendritic cells were poorly labeled. In vivo R12-31 agonist activity was demonstrated by its ability to induce the formation of intestinal villous microfold cells in mice. This characterization of two monoclonal antibodies should now allow better evaluation of their application as therapeutic reagents and investigative tools.