5 resultados para Kleist, Heinrich von 1777-1811

em Université de Lausanne, Switzerland


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Taking as a starting point the seeming inconsistency of late-medieval romances notoriously 'run wild' (verwildert), this article is concerned with the description of an abstract form of narrative coherence that is based on the notion of the diagrammatic. In a first section, this concept is illustrated in a simplified manner by an analysis of Boccaccio's Decameron based on two levels of spatial structure: that of the autograph Berlin manuscript (Codex Hamilton 90) and that of the recipient's mental visualisation of the relations between the frame and the tales of the work. It is argued that the connectivity of the work as a whole depends on the perception of those two spatial representations of the plot. A second section develops this concept in a more theoretical fashion, drawing on Charles Sanders Peirce's notion of diagrammatic reasoning as a way of perceiving relations through mental and material topological representations. Correspondingly, a view of narrative is proposed that does not depend on the traditional perspective of temporal sequence but emphasizes the spatial structure of literary narrative. It is argued that these conditions form the primary ontological mode of narrative, whereas the temporal development of a story is an aesthetic illusion that has been specifically stimulated by the narrative conventions of approximately the past three centuries and must thus be considered a secondary effect. To conclude, an interpretation in miniature of an aspect of Heinrich von Neustadt's Apollonius von Tyrland that seems to have 'run wild' is undertaken from a diagrammatic perspective.

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Cette thèse décrit de quelle manière les hommes travaillant dans les sciences de la vie durant la seconde moitié du XVIIIe siècle s'insèrent et jonglent au quotidien dans l'univers de la librairie d'Ancien Régime. Plus précisément dans celui que l'historien du livre Robert Damton a défini le circuit de la communication. Un circuit complexe qui va de l'auteur à l'éditeur, en passant par l'imprimeur, le transporteur, le libraire, le lecteur ou encore par le relieur et le copiste.Marchander le prix d'une page manuscrite avec un éditeur, s'assurer de rester au courant des nouveautés de la librairie, prendre des notes, trouver un bon copiste, juger de la qualité d'un ouvrage ou d'une traduction, se protéger des contrefaçons, se créer un fonds de bibliothèque: voici le quotidien du savant au travail abordé dans cette thèse dont le but est de comprendre de quelle manière fonctionnent les mécanismes d'acquisition, de mise en forme et de mise en circulation du savoir - bref, les coulisses de la communication scientifique. Cela à une période où les hommes de science sont de plus en plus confrontés à un "déluge" de nouvelles publications en toutes langues. La seconde moitié du XVIIIe siècle, correspond en fait à celui qu'a été défini par les historiens du livre un "apogée" de l'imprimé scientifique. Caractérisée par un changement dans le milieu de la production imprimée, cette seconde partie du siècle marque une césure, une situation nouvelle à laquelle le savant doit s'adapter afin de ne pas être dépassé par les événements et afin de pouvoir tirer le plus large bénéfice de toutes les formes d'expression et d'intervention qui sont mises à sa disposition. Afin d'analyser les stratégies mises en place par les savants pour gérer la masse de l'information et afin de reconstruire les pratiques ordinaires du travail savant, pratiques qui accompagnent le savoir dans son devenir et sont susceptible de l'influencer, cette thèse s'appuie sur la riche correspondance que le médecin lausannois Samuel Auguste Tissot et son collègue bernois Albrecht von Haller, deux savants et écrivains de renom parmi les plus célèbres des Lumières helvétiques, échangent pendant plus de vingt ans. Ce couple pourrait être défini comme antinomique. Le représentant d'une culture humaniste, formé à l'école iatromécanique de Leyde et insatiable lecteur qu'est Haller et un partisan de la vulgarisation, formé au vitalisme à Montpellier tel que Tissot, d'une génération plus jeune, se sont démontrés avoir une conception parfois différente de ce qu'est un livre de science, en particulier un livre de médecine, de la forme qu'il doit avoir, du prix auquel il doit être vendu ou encore de la langue dans laquelle il doit être écrit. L'un, Haller, médecin de cabinet et professeur à Gôttingen pendant dix-sept ans, l'autre, Tissot, praticien et médecin des pauvres ayant enseigné seulement quatre semestres à Pavie, pratiquent et conçoivent en partie différemment la communication du savoir scientifique et le public de celle-ci. L'étude prend également en compte les lettres échangées avec un réseau d'amis communs, surtout le médecin argovien Johann Georg Zimmermann et le naturaliste genevois Charles Bonnet. Les correspondances des professionnels du livre représentent un autre pan incontournable du corpus documentaire de la thèse. C'est grâce à ces hommes que le texte du savant sort du cabinet et prend sa forme matérielle, voire il acquiert du sens. Des documents tels des essais ou des notes de lecture et les pièces liminaires des livres (préfaces, dédicaces, avis aux lecteurs, notes) se sont aussi révélées être des documents précieux: ils témoignent des pratiques de travail des savants et ils renseignent aussi bien sur les intentions poursuivies par l'auteur que sur les pratiques d'édition, contrefaçon et traduction.Basée sur une démarche micro-historique qui croise l'histoire sociale des sciences et l'histoire sociale du livre à la française, cette thèse s'articule autour de 5 chapitres et un intermède. La disposition des parties suit en quelques sortes les étapes du travail savant: lecture, écriture, mise sous presse, mise en circulation, réception.

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Zusammenfassung In Wien hat Ilse Aichinger (*1921) das Glück der Kindheit erlebt und die Verfolgung durch die Nazis, die ihre jüdischen Verwandten ermordeten. Aichingers Texte zu Wien, die zwischen 1945 und 2005 entstanden sind, suchen in der Topographie der Stadt nach den vergangenen Zeiten und abwesenden Menschen. Sie bilden ein singuläres Erinnerungsprojekt, das einer »Vergangenheitsbewältigung« aus gesicherter Position ein Gedenken entgegengesetzt, das mitsamt seinen Gegenständen im Fluss bliebt. Das Schreiben über Wien bildet einen gewichtigen Strang in einem Werk, das durch Brüche und Lücken gekennzeichnet ist, einen kleinen, immer neu erzählten Stoff und eine immense Spanne an Textformen. In seiner Entwicklung vom Frühwerk, das auf ein emphatisch sich selbst setzendes, existentialistisches Subjekt zentriert ist, zu dem feuilletonistischen Projekt einer »Autobiographie ohne Ich« spiegeln sich 50 Jahre deutscher Literatur- und Kulturgeschichte. Die Einleitung widmet sich der topographischen Poetologie, mit der Ilse Aichinger, Paul Celan, Günter Eich und Ingeborg Bachmann im Diskurs der Standort- und Richtungsbestimmung der Nachkriegsjahre einen eigenen Akzent setzen. Kapitel 1 rekonstruiert am Beispiel der Erzählung Das Plakat (1948) das Raum-, Zeichenund Lektüremodell, das Aichingers hochgradig selbstreferentiellen Texte sowohl abbilden als auch in ihrer Struktur realisieren. Kapitel 2 gewinnt über die Lokalisierung der Schauplätze des Romans Die größere Hoffnung (1948/60) in der Wiener Topographie Aufschluss über die Form des Romans. Der Weg des Romans durch die Stadt integriert die räumlich und zeitlich diskontinuierlichen Kapitel zu einem übergreifenden Ganzen. Kapitel 3 widmet sich den szenischen Dialogen Zu keiner Stunde (1957), die durch ihre Titel in Wien lokalisiert sind. Zeichnet Die größere Hoffnung eine Topographie des Terrors, gehen die Dialoge von Orten der Kunst und des Gedenkens aus und thematisieren die Bedingungen eines Erinnerns, das lebendig bleibt. Kapitel 4 zeichnet nach, wie in den Prosagedichten im Band Kurzschlüsse (1954/2001) und in der autobiographischen Prosa in Kleist, Moos, Fasane (1987) die Gegenwartsebene eines erinnernden Ichs entsteht, die sich zunehmend dynamisiert und mit dem Schreibvorgang verbindet. Kapitel 5 beschäftigt sich mit dem feuilletonistischen Spätwerk, in dem mit dem Kino und dem Café auch die Orte des Erinnerns und Schreibens Teil der Wiener Topographie werden. Film und Verhängnis. Blitzlichter auf ein Leben (2001) ist eine Autobiographie, die auf das Verschwinden der eigenen Person zielt.

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Der Aufsatz nähert sich dem Interpretationsproblem des ,Ring', eines seit Forschungsbeginn ausserordentlich konträr diskutierten Textes, aus wissenschaftsanalytischer Perspektive. Er führt die Zersplitterung und die Extremisierung der Deutungsansätze, die die breite Forschung zu Wittenwilers Werk kennzeichnet, auf einen vergleichsweise simplen Befund zurück: die ungeklärte Frage nach dem Verhältnis von Komik und Didaktik und der Ernsthaftigkeit des lehrhaften Angebots im ,Ring'. Die so auf grundlegendster Ebene offen gebliebene Erfassung des Textes führt in einen interpretatorischen Leerraum, in dem die widersprüchlichsten, oft wissenschaftsideologisch begründeten Positionen Platz finden. Ihre Analyse zeigt, dass sie sich in wiederkehrende Gruppierungen ordnen. Als Schlüsselglied sowohl der Befunddaten als auch der konträren Vernetzungen von Befund und Deutung wird die wechselnd rote und grüne Initialenlinie der Münchner Handschrift identifiziert. Als im Prolog eingeführte Markierung von Ernst auf der einen und Komik auf der anderen Seite ist sie nicht nur visueller Ausdruck des Deutungsproblems des ,Ring', sondern sie hat es wegen der scheinbaren Unstimmigkeit ihrer Zuweisungen auch wesentlich bedingt. Der Aufsatz zeigt ihren bisher übersehenen Aufschluss für das Verständnis des Werks. Nimmt man die Linie als graphisches Verfahren ernst, stellt sie sich als strukturelle Markierung zum Auffinden von Text im diskontinuierlichen Zugriff dar - nicht aber, wie man sie bisher ausnahmslos verstand, als semantische Kommentierung eines laufenden, kontinuierlich zu lesenden Textes. Die strukturierende Funktion des Farbwechsels ist auf zwei Ebenen nachzuweisen: Auf Makroebene trennen seine Zuweisungen vorwiegend narrative und vorwiegend wissensvermittelnde Grosspartien des ,Ring' durch eine jeweilige Grundfarbe. Auf Mikroebene wird diese Grundfarbe durch die jeweils andere Farbe durchbrochen, um formale Einschnitte wie etwa Sprecherwechsel, Ortswechsel, Handlungsneueinsätze, Beginn und Ende eines eingeschalteten Binnentextes oder einer Sentenz anzuzeigen. Dem Benutzer der autornahen Handschrift sollte so in einem ersten Schritt (makrostrukturell) ermöglicht werden, gezielt auf gewünschte Stellen des Textes zuzugreifen und ihn in einem zweiten Schritt (mikrostrukturell) schneller zu erfassen. Nicht in seiner Umsetzung, sehr wohl aber in seiner Funktion steht dieses ungewöhnliche Layout zeitgenössischen Techniken der Buchgliederung durchaus nahe. Auch im Profil der Zusammenstellung seiner Binnentexte rückt der ,Ring' damit in die Nähe der im Spätmittelalter beliebten Sammelhandschriften mit Ziel einer Wissenssumme, die hier narrativ verbundenen wird. Es scheint, als möchte der ,Ring' in einem ungewöhnlichen Experiment beides sein: Kompilation und Werkganzes, Wissenssammlung und Erzählwerk - Texte und Text. Als Ergebnis einer Neuuntersuchung des Münchner codex unicus des ,Ring' weist der Beitrag schliesslich darauf hin, dass auch zahlreiche Markierungszeichen am Spaltenrand formale und strukturelle Texteinschnitte anzeigen und somit die gleiche Funktion haben wie der Farbwechsel auf Mikroebene. Ein kausaler, produktionstechnischer Zusammenhang zwischen diesen Zeichen und der Verteilung des Farbwechsels ist nicht auszuschliessen, zumal beide Verfahren etwa im letzten Fünftel des Textes zunehmend zusammenfallen. Möglicherweise war nur die makrostrukturelle Funktion des Farbwechsel ursprünglich indendiert und mit der Erläuterung im Prolog bezeichnet, während seine mikrostrukturelle Funktion erst Resultat des Abschreibprozesses ist.