9 resultados para Japan <Architektur>

em Université de Lausanne, Switzerland


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Detailed sampling of the Upper Triassic atoll-type carbonates of the Sambosan Accretionary Complex throughout Southwest Japan yielded highly abundant and diversified porcelaneous, microgranular, agglutinated and hyaline foraminifers of Carnian-Rhaetian age, as well as some microproblematica and ostracods. The foraminiferal assemblages were collected from shallow-water carbonates originated upon volcanic seamounts surrounded by deep-water radiolarian chert in a mid-open oceanic realm of the Panthalassan Ocean during Triassic time. Because most studies of the Upper Triassic microfauna come from the former Tethys, counterparts of the Panthalassan Ocean are pivotal to decipher the micropalaeontological biodiversity of the western circum Pacific, as well as to evaluate the distribution patterns of organisms and their evolution trends throughout the Tethys and Panthalassa. This study reports on 42 genera and 60 species whose associations can be used as sedimentary facies indicators of carbonate buildup environments. Japanese specimens show a strong Tethyan affinity, and especially with the Peri- and Southern Tethyan forms. A palaeobiogeographic distribution analysis using a large foraminiferal database is led, in order to evaluate the extraordinary spreading of these Upper Triassic foraminifers between the Neo-Tethys and the Panthalassa. Data are finally integrated in a new plate tectonic model, where six faunistic provinces are defined, each containing a characteristic foraminiferal assemblage. This map provides for the first time a useful and visual synthesis of the Upper Triassic foraminifer palaeobiogeographic distribution.

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Résumée Le théâtre romain d'Aventicum s'inscrit entre la petite ville moderne d'Avenches et le village de Donatyre, au pied d'une colline en pente douce délimitant au sud-est la plaine de la Broye. Il se situe à l'ouest des quartiers urbains antiques, construits selon un plan orthogonal, et s'intègre à une zone comptant divers temples et édifices publics. Dès l'hiver 1889/1890, l'Association Pro Aventico nouvellement fondée lança les premières fouilles archéologiques. Jusqu'en 1914, on dégagea les parties originales de la maçonnerie tout en assurant la restauration de l'édifice. En 1926/1927 et de 1939 à 1942 auront lieu d'autres fouilles de grande envergure, accompagnées de mesures de conservation. En 2001, la Fondation Pro Aventico lança un projet visant à étudier l'histoire de la construction ainsi que l'architecture du monument, alors connues en partie seulement. Sur la base de vestiges attestant la présence d'édifices antérieurs au théâtre, on définira pour la construction de ce dernier un terminus post quem entre 100 et 120 ap. J.-C. Comme l'indique l'étude du plan au sol, ce projet nécessita une importante planification. L'édifice lui-même se constitue d'une zone en demi-cercle réservée au public, dont les substructions indiquent qu'elle était partiellement isolée des autres. La cavea, subdivisée en trois secteurs concentriques, se termine par le bâtiment des halles et par les aditus; on relèvera que les rangées supérieures réservées aux spectateurs s'étendaient sans doute au-delà des halles et jusqu'à la façade. Les aditus permettaient d'accéder à la zone de l'orchestra et de la scène, dominée par une plate-forme de plan rectangulaire et bordée d'une proédrie. On disposait de deux voies d'accès différentes: l'une à l'avant, par les arcades des halles, et l'une à l'arrière, pratiquée dans le mur en demi-cercle; apparemment, on ne pouvait pénétrer que dans la partie centrale de ce dernier. On ne parvient à restituer que partiellement les voies de circulation dans les substructions de la cavea, en raison de leur piètre état de conservation. On a par contre pu repérer le deambulatorium, à la périphérie, ainsi que cinq vomitoria sur la première praecinctio et six vomitoria sur la seconde praecinctio. On peut admettre, sans toutefois disposer d'arguments à toute épreuve, que la troisième rangée, en haut, était accessible par des cages d'escaliers conduisant à la summa cavea. Ces hypothèses, fondées essentiellement sur le plan au sol de l'édifice et touchant aux voies de circulation, sont corroborées par une restitution des gradins des parties en élévation, aujourd'hui disparus. Quelques éléments architecturaux fournissent des arguments décisifs pour cette restitution, comme par exemple un bloc de gradin qui permet de conclure à un pendage de la cavea de 26.5°. On peut par ailleurs démontrer que le module architectural défini sur la base du plan au sol fut également appliqué lors de la planification de l'élévation. Grâce à des fragments de corniche, à deux chapiteaux de pilastre ornés de feuilles d'acanthe, à une base de pilastre engagée in situ dans la maçonnerie restaurée, et en tenant compte du module architectural, on peut proposer une reconstitution approximative de la composition de la façade de l'enceinte en demi-cercle. Si les structures architecturales révèlent que le théâtre fut planifié et édifié selon un seul et unique concept, on observe cependant quelques transformations et modifications au cours du temps. D'une part, on décèle en divers endroits des traces de réparation et de consolidation, visant sans doute à stabiliser un bâtiment ayant visiblement subi des dégâts. Par ailleurs, on a également entrepris des modifications structurelles ou fonctionnelles, comme l'édification ultérieure du postscaenium le long du mur de scène extérieur. Dans un contexte identique, on relèvera également deux murs flanquant les basiliques, qu'on suppose être en relation avec l'agrandissement du complexe architectural du temple du Cigognier et du théâtre, augmenté des deux temples édifiés au milieu du 2e s. ap. J.-C. au lieu-dit Au Lavoëx. L'excavation, au cours du dernier tiers du IIIe siècle ap. J.-C., d'un fossé de près de 6 m de large pour 1.5 m de profondeur tout autour de l'édifice fit du théâtre un véritable lieu fortifié. Au-dessus du fossé, on a pu relever une séquence stratigraphique témoignant d'une activité d'habitation à proximité du théâtre pour la période allant du IVe au VIIe siècle ap. J.-C. Il s'agit de l'un des rares cas où l'on peut, à Avenches, évoquer la présence d'un habitat de la période du Haut Moyen Age.

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A new genus (Triassiphaeodina gen. nov.) and two new species (Medusetta japonica sp. nov. and Triassiphaeodina niyodoensis sp. nov.) of Late Triassic (Rhaetian) phaeodarian Radiolaria are described from a phosphatic nodule found in melange rocks of the Northern Chichibu Belt, Shikoku, Japan. The Rhaetian age of the nodule and of the phaeodarian new taxa is based on co-occurring Polycystina Radiolaria, including Bipedis acrostylus Bragin, Livarella densiporata Kozur and Mostler, Fontinella primitiva Carter, and Ferresium sp. A of Carter (1993). This finding shows that phaeodarian Radiolaria were already represented in Late Triassic oceans, with morphologies similar to those known in the Late Cretaceous and Cenozoic, from which they have previously been reported. The new taxa described herein represent the oldest known phaeodarian fossils.

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In this study, we epidemiologically investigated on clinical isolates of Arthroderma benhamiae from humans and animals in Japan by internal transcribed spacer (ITS) region sequence analysis and mating type (MAT)-specific PCR. Seven of 8 A. benhamiae isolates from a human, rabbits and guinea pigs were identified as group I (white phenotype) by morphological characters and ITS region sequence analysis. One strain isolated from a degus (Octodon degus) produced colonies with few irregular folds and yellow velvety mycelium without macro- and microconidia. This strain resembled to group II (yellow phenotype) strain. ITS sequence analysis was also 100 % identical to that of group II. MAT-specific PCR indicated that 6 of these 7 isolates of group I contained an alpha-box gene and that one strain contained high-mobility-group (HMG) gene. One strain of group II was revealed to have an alpha-box gene and no HMG gene. To our knowledge, it is the first A. benhamiae isolate of group II found in Japan. The A. benhamiae may be more widespread in worldwide than our surpassing what is common or usual or expected.