13 resultados para Iraq War, 2003-2011.

em Université de Lausanne, Switzerland


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Introduction : Population aging leads to a considerable increase in the prevalence of specific diseases. We aimed to assess if those changes were already reflected in an Internal Medicine ward. Methods : Anonymous data was obtained from the administrative database of the department of internal medicine of the Lausanne University Hospital (CHUV). All hospitalizations of adult (>=18 years) patients occurring between 2003 and 2011 were included. Infections, cancers and diseases according to body system (heart, lung...) were defined by the first letter of the ICD-10 code for the main cause of hospitalization. Specific diseases (myocardial infarction, heart failure...) were defined by the first three letters of the ICD-10 codes for the main cause of hospitalization. Results : Data from 32,741 hospitalizations occurring between 2003 and 2011 was analyzed. Cardiovascular (ICD-10 code I) and respiratory (ICD-10 code J) diseases ranked first and second, respectively, and their ranks did not change during the study period (figure). Digestive and endocrine diseases decreased while psychiatric diseases increased from rank 9 in 2003 to rank 6 in 2011 (figure). Among specific diseases, pneumonia (organism unspecified, code J18) ranked first in 2003 and second in 2011. Acute myocardial infarction (code I21) ranked second in 2003 and third in 2011. Chronic obstructive pulmonary disease with acute lower respiratory infection (code J44) ranked third in 2003 and decreased to rank 8 in 2011. Conversely, heart failure (code I50) increased from rank 8 in 2003 to rank 1 in 2011 and delirium (not induced by alcohol and other psychoactive substances, code F05) increased from below rank 20 in 2003 to rank 4 in 2011. For more details, see table. Conclusion : In less than 10 years, considerable changes occurred in the presentation of patients attending an Internal Medicine ward. The changes in diseases call for adaptations in hospital staff and logistics.

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BACKGROUND: Recanalization in acute ischemic stroke with large-vessel occlusion is a potent indicator of good clinical outcome. OBJECTIVE: To identify easily available clinical and radiologic variables predicting recanalization at various occlusion sites. METHODS: All consecutive, acute stroke patients from the Acute STroke Registry and Analysis of Lausanne (2003-2011) who had a large-vessel occlusion on computed tomographic angiography (CTA) (< 12 h) were included. Recanalization status was assessed at 24 h (range: 12-48 h) with CTA, magnetic resonance angiography, or ultrasonography. Complete and partial recanalization (corresponding to the modified Treatment in Cerebral Ischemia scale 2-3) were grouped together. Patients were categorized according to occlusion site and treatment modality. RESULTS: Among 439 patients, 51% (224) showed complete or partial recanalization. In multivariate analysis, recanalization of any occlusion site was most strongly associated with endovascular treatment, including bridging therapy (odds ratio [OR] 7.1, 95% confidence interval [CI] 2.2-23.2), and less so with intravenous thrombolysis (OR 1.6, 95% CI 1.0-2.6) and recanalization treatments performed beyond guidelines (OR 2.6, 95% CI 1.2-5.7). Clot location (large vs. intermediate) and tandem pathology (the combination of intracranial occlusion and symptomatic extracranial stenosis) were other variables discriminating between recanalizers and non-recanalizers. For patients with intracranial occlusions, the variables significantly associated with recanalization after 24 h were: baseline National Institutes of Health Stroke Scale (NIHSS) (OR 1.04, 95% CI 1.02-1.1), Alberta Stroke Program Early CT Score (ASPECTS) on initial computed tomography (OR 1.2, 95% CI 1.1-1.3), and an altered level of consciousness (OR 0.2, 95% CI 0.1-0.5). CONCLUSIONS: Acute endovascular treatment is the single most important factor promoting recanalization in acute ischemic stroke. The presence of extracranial vessel stenosis or occlusion decreases recanalization rates. In patients with intracranial occlusions, higher NIHSS score and ASPECTS and normal vigilance facilitate recanalization. Clinical use of these predictors could influence recanalization strategies in individual patients.

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1.1. La greffe de rein La greffe d'organes a révolutionné la médecine. De tout le temps elle a suscité les fantasmes et les rêves : la pratique est ancestrale ; elle remonte au 3ème siècle lorsque Saint Côme et Saint Damien réalisent pour la première fois une greffe de jambe de Maure sur un patient. Il faudra néanmoins attendre le 20ème siècle pour voir la transplantation se réaliser plus concrètement avec succès et se généraliser. A Vienne, en 1902, le Dr. Ulmann (1861-1937) pratique la toute première autogreffe de rein sur un chien. Il replace le rein de l'animal au niveau du cou, pratiquant une anastomose vasculaire. Depuis, les tentatives se multiplient et peu après le Dr. Von Decastello, pratique la première transplantation chien-chien. Par la suite, en associa- tion avec le Dr. Ulmann la première greffe entre un chien et une chèvre aura lieu, avec un certain succès. En effet, elle a permis à l'animal receveur de produire de l'urine. L'avancée majeure durant ce début de siècle fut le développement d'une nouvelle technique de suture vasculaire par le Dr. Carrel, qui obtiendra le prix Nobel en 1912. Son élève, le Dr. Jaboulay (1860-1913) a réalisé plusieurs tentatives de xénogreffes rénales. Il pratiquera en 1906 les deux premières xénogreffes en utilisant un cochon et une chèvre comme donneurs. Le greffon fut respectivement placé au niveau de la cuisse et du bras des patients. La fonction rénale durera une heure. En 1909 Ernest Unger (1875-1938) transplanta un rein de fox-terrier sur un boxer, avec une production d'urine pendant 14 jours. Durant la même année le Dr. Unger a pratiqué une xénogreffe en transplantant un rein de nouveau né sur un babouin, cette intervention se terminant par la mort de l'animal. Un autre essai de greffe singe à humain, pratiqué sur une femme mourant de défaillance rénale, a fait comprendre à Unger qu'il y a des barrières biologiques dans la transplantation, mais que la greffe rénale est techniquement faisable. En 1914, J.B. Murphy découvre l'importance de la rate et de la moelle osseuse dans la réponse immune. En 1933 et 1949 en Ukraine, les premières allogreffes humaines de reins sont pratiquées par le chirurgien soviétique Yu Yu Voronoy. Malheureuse- ment aucune fonction rénale des greffons n'a été observée. Après une période de « stagnation scientifique » générale qui durera à peu près 10 ans, l'intérêt pour la transplantation refait surface dans les années 1950. Deux équipes de chirurgien se forment : une à Boston et l'autre à Paris. De nombreux cas d'allogreffes humaines sans immunosuppression sont documentés de 1950 à 1953. Malheureusement chaque opération aboutit à un échec, ceci dû aux phénomènes du rejet. M. Simonsen et WJ. Dempster découvrent qu'un mécanisme immun est à la base du rejet. Ils établissent aussi que la position pelvienne était meilleure que la position plus superficielle. Grâce aux découvertes dans le domaine du rejet et les nombreux progrès techniques, une allogreffe entre vrais jumeaux est pratiquée à Boston en 1954. L'opération est un succès total et permet de contrer toutes les hypothèses négatives avancées par certains groupes de travail. Depuis 1948, de nombreux travaux dans le domaine de l'immunosuppression ont été entrepris. La découverte de l'action immunosuppressive de la cortisone permet son instauration dans le traitement anti-rejet, malheureusement avec peu de succès. En effet, l'irradiation totale reste la méthode de choix jusqu'en 1962, date de l'apparition de l'Azaothioprine (Imuran®). La découverte de l'Azaothioprine, permet d'avancer de nouvelles hypothèses concernant le rejet : en évitant le rejet post-opératoire aigu, une protection et une adaptation au receveur pourraient être modulées par l'immunosuppression. Dans les années 1960, l'apparition des immunosuppresseurs de synthèse permet de développer de nouvelles lignes de traitement. Le Dr.Starzl et ses collègues, découvrent l'efficacité d'un traitement combiné de Prednisone et d'Azathioprine qui devient alors le standard d'immunosuppression post greffe durant cette période. Les années 60 et 70 sont des années d'optimisme. La prise en charge des patients s'améliore, le développement de la dialyse permet de maintenir en vie les patients avant la greffe, les techniques de conservation des organes s'améliorent, la transplantation élargit son domaine d'action avec la première greffe de coeur en 1968. Le typage tissulaire permet de déterminer le type d'HLA et la compatibilité entre le re- ceveur et le donneur afin de minimiser les risques de rejet aigu. Les années 1970 se caractérisent par deux amélioration majeures : celle du typage HLA-DR et l'apparition des inhibiteurs de la calcineurine (Cyclosporine A). Ce dernier restera l'agent de premier choix jusqu'aux alentours des années 1990 où apparaissaient de nouveaux immunosuppresseurs, tels que les inhibiteurs mTOR (siroli- mus) et les inhibiteurs de l'inosine monophosphate déshydrogénase (mycophénolate mofétil), par exemple. En conclusion, la transplantation rénale a été une des premières transplantations d'organes solides pratiquées sur l'homme avec de nombreux essais cliniques impliquant une multitude d'acteurs. Malgré des périodes de hauts et de bas, les avancements techniques ont été notables, ce qui a été très favorable en terme de survie pour les patients nécessitant une greffe. 1.2. Le lymphocèle La greffe rénale, comme toute autre acte chirurgical, comporte des risques et une morbidité spécifique. Le lymphocèle a la prévalence la plus élevée, qui peut aller de 0.6 à 51% 1-3 avec des variations entre les études. Le lymphocèle est défini comme une collection post opératoire de liquide lymphatique dans une cavité non épithélialisée et n'est pas causée par une fuite urinaire ou une hémorragie1, 4. Historiquement, le lymphocèle a été décrit pour la première fois dans la littérature médicale dans les années 1950, par Kobayashi et Inoue5 en chirurgie gynécologique. Par la suite Mori et al.6 en 1960 documentent la première série d'analyse de lymphocèles. En 1969 le lymphocèle est décrit pour la première fois par Inociencio et al.7 en tant que complication de greffe rénale. Sa pathogénèse n'est pas complètement élucidée, cependant plusieurs facteurs de risque ont été identifiés tels que : la ligature inadéquate des vaisseaux lymphatiques lors de la dissection des vaisseaux iliaques du donneur et de la préparation du greffon, le BMI, les diurétiques, l'anticoagulation (héparine), les hautes doses de stéoïdes, certains agents immunosuppresseurs (sirolimus), le diabète, les problèmes de cicatrisation, une hypoalbuminémie, une chirurgie rétropéritonéale préalable et le rejet aigu de greffe. (Tableau 1) Une symptomatologie peut être présente ou absente : elle découle directement de la localisation et de la taille de la collection8, 9, 10. Lorsqu'on se trouve devant un tableau de lymphocèle asymptomatique, la découverte se fait de manière fortuite lors d'un contrôle de suivi de greffe11, 12 cliniquement ou par échographie. En cas de lymphocèle non significatif cela ne requiert aucun traitement. Au contraire, lorsqu'il atteint une certaines taille il provoque un effet de masse et de compression qui provoque la symptomatologie. Cette dernière est peu spécifique et apparait en moyenne entre 2 semaines et 6 mois 13 après la greffe. Le patient va se présenter avec un tableau pouvant aller de la simple douleur abdominale en passant par un oedème du membre inférieur ou, dans de plus rares cas, une thrombose veineuse profonde sera le seul signe consécutif au lymphocèle14, 15. La plupart du temps on observera des valeurs de créatinine élevées, signant une souffrance rénale. Le diagnostic du lymphocèle peut se faire selon plusieurs techniques. La plus utilisée est la ponction à l'aiguille fine sous guidage ultrasonographique4. L'analyse du liquide ponctionné permet de différencier un lymphocèle d'un urinome. Les autres techniques existantes sont : la ponction après injection de carmin d'indigo15, un pyelogramme intraveineux et un lymphangiogramme16, le CT-Scan ou l'IRM15. Le dosage sanguin d'IL6 et IL8 est parfois utilisé pour déterminer si le lymphocèle est infecté.15 Suite à l'apparition d'une collection symptomatique; le rein transplanté peut être dans une situation à risque pour laquelle un traitement doit être entrepris. A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution universelle dans la prévention et le traitement de ce type de complication. Les solutions sont multiples et dépendent principalement de la localisation et de la taille de la collection. Pendant de nombreuses années, le seul traitement du lymphocèle a été celui de l'aspiration percutanée simple. Cette dernière conduit cependant à un taux de récidive de presque 100%.17 Cette technique reste une solution utilisée principalement à visée diagnostique18, 19, 20, 21 ou pour soulager les patients à court terme15. Pour améliorer l'efficacité de cette technique on a fait appel à des agents sclérosants comme l'éthanol, la povidone-iodine, la tétracycline, la doxycycline ou de la colle de fibrine. Des complications chirurgicales ont cependant été rapportées, pouvant aller jusqu'au rejet de greffe22. La fenestration par laparoscopie a été décrite pour la première fois en 1991 par McCullough et al.23 Cette technique reste, de nos jours, la technique la plus utilisée pour le traitement du lymphocèle. Elle a de nombreux avantages : un temps de convalescence court, des pertes de sang minimes et une réalimentation rapide24, 25. On constate en outre la quasi absence de récidives après traitement11, 26. L'évaluation radiologique est très importante, car la marsupialisation par laparoscopie est limitée par l'emplacement et le volume de la collection. Ainsi, on évitera ce type de traite- ment lorsque la collection se situera postérieurement, à proximité de la vessie, de l'uretère ou du hile rénal. Dans ces situations, la laparotomie s'impose malgré l'augmentation de la morbidité liée à cette technique24. Actuellement on cherche à trouver une technique universelle du traitement des lymphocèles avec la chirurgie la moins invasive possible et le taux de récidive le plus faible possible. Malgré ses li- mites, la fenestration par laparoscopie apparaît comme une très bonne solution. Cette étude consiste en une évaluation rétrospective des traitements chirurgicaux de cette complication post-opératoire de la greffe rénale au CHUV (Centre Hospitalier Universitaire Vaudois) de 2003 à 2011. Le but est de recenser et analyser les différentes techniques que l'on observe actuellement dans la littérature et pouvoir ainsi proposer une technique idéale pour le CHUV.

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Depuis une trentaine d'années, les représentations de la figure de Jésus se sont multipliées en photographie. De la séquence narrative du photographe américain Duane Michals (Christ in New York, 1981) au chemin de croix de Wim Delvoye (Viae Crucis, 2006), en passant par la série I.N.R.I. (1997-98) de Bettina Rheims, les Photographies apocryphes (1994-98) d'Olivier Christinat, les Seven Bible Scenes (1998) de Rauf Mamedov, Ecce homo (1996-98) d'Elisabeth Ohlson, Jesus is my Homeboy (2003) de David LaChapelle ou encore South Soudan (2006) de Vanessa Beecroft, l'intérêt pour la figure christique dans le champ profane est incontestable. Le phénomène dépasse d'ailleurs les frontières géographiques, culturelles et confessionnelles.¦Cette thèse de doctorat réunit un important fonds iconographique qui démontre l'intérêt actuel pour la figure du Christ et la grande diversité des démarches et des profils des artistes. Cet important corpus est analysé selon trois perspectives. La première partie est consacrée au médium photographique, à ses liens étroits avec la sainte Face depuis le cliché du suaire de Turin en 1898, et depuis l'ambitieux projet photographique (1898) de Fred Holland Day qui incame le Christ dans ses nombreuses réinterprétations de la vie de Jésus.¦La deuxième partie de ce travail interroge l'emploi des formules iconographiques chrétiennes archétypales et questionne les références christiques utilisées par les artistes au travers de poses, d'attitudes, de gestes repris de chefs-d'oeuvre de l'art religieux, tant dans le domaine de la photographie d'art que dans la publicité ou la photographie de presse. L'usage du texte, la place des Ecritures dans les projets actuels sont aussi abordés, notamment autour de la question de la possibilité de raconter la vie de Jésus et des stratégies de mises en scène employées pour traduire les récits en images.¦Enfin, la dernière partie porte plus particulièrement sur les usages de la figure de Jésus, souvent alter ego de l'artiste, mais surtout porte-parole. À la suite des luttes socio- politiques des années 1970, la figure de Jésus est réinvestie par les minorités et Jésus incarne alors les combats d'artistes qui se réapproprient la représentation du Christ pour qu'elle corresponde à l'image qu'ils voient dans leur propre miroir (ex. Renee Cox, Yo Mama's Last Supper, 1996). Cet usage revendicateur, souvent doublé d'un goût non dissimulé pour la provocation (ex. Andres Serrano, Piss Christ, 1987), a souvent suscité la polémique. La question de la réception des oeuvres constitue un point essentiel de cette recherche qui tâche d'analyser la figure christique au miroir de la photographie contemporaine et qui conclut que le Christ est en réalité miroir des artistes eux-mêmes.

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STUDY AIM:: To develop a score predicting the risk of bacteremia in cancer patients with fever and neutropenia (FN), and to evaluate its performance. METHODS:: Pediatric patients with cancer presenting with FN induced by nonmyeloablative chemotherapy were observed in a prospective multicenter study. A score predicting the risk of bacteremia was developed from a multivariate mixed logistic regression model. Its cross-validated predictive performance was compared with that of published risk prediction rules. RESULTS:: Bacteremia was reported in 67 (16%) of 423 FN episodes. In 34 episodes (8%), bacteremia became known only after reassessment after 8 to 24 hours of inpatient management. Predicting bacteremia at reassessment was better than prediction at presentation with FN. A differential leukocyte count did not increase the predictive performance. The reassessment score predicting future bacteremia in 390 episodes without known bacteremia used the following 4 variables: hemoglobin ≥90 g/L at presentation (weight 3), platelet count <50 G/L (3), shaking chills (5), and other need for inpatient treatment or observation according to the treating physician (3). Applying a threshold ≥3, the score-simplified into a low-risk checklist-predicted bacteremia with 100% sensitivity, with 54 episodes (13%) classified as low-risk, and a specificity of 15%. CONCLUSIONS:: This reassessment score, simplified into a low-risk checklist of 4 routinely accessible characteristics, identifies pediatric patients with FN at risk for bacteremia. It has the potential to contribute to the reduction of use of antimicrobials in, and to shorten the length of hospital stays of pediatric patients with cancer and FN.

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In 2003, the Swiss guidelines to prevent vitamin K deficiency bleeding (VKDB) were adapted. As two oral doses (2 mg, hour/day 4) of mixed micellar VK preparation had failed to abolish late VKDB, a third dose (week 4) was introduced. This report summarizes the new guidelines acceptance by Swiss pediatricians and the results of a prospective 6-year surveillance to study their influence on the incidence of VKDB. The new guidelines acceptance by Swiss pediatricians was evaluated by a questionnaire sent to all pediatricians of the Swiss Society of Paediatrics. With the help of the Swiss Paediatric Surveillance Unit, the incidence of VKDB was monitored prospectively from July 1, 2005 until June 30, 2011. Over a 6-year period (458,184 live births), there was one case of early and four cases of late VKDB. Overall incidence was 1.09/10(5) (95 % confidence intervals (CI) 0.4-2.6). Late VKDB incidence was 0.87/10(5) (95 % CI 0.24-2.24). All four infants with late VKDB had an undiagnosed cholestasis at the time of bleeding; parents of 3/4 had refused VK prophylaxis, and in 1/4, the third VK dose had been forgotten. Compared with historical control who had received only two oral doses of mixed micellar VK (18 cases for 475,372 live births), the incidence of late VKDB was significantly lower with three oral doses (Chi(2),Yates correction, P = 0.007). CONCLUSION: VKDB prophylaxis with 3 × 2 mg oral doses of mixed micellar VK seems to prevent adequately infants from VKDB. The main risk factors for VKDB in breast-fed infants are parental VK prophylaxis refusal or an unknown cholestasis.

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Gastric cancer incidence and mortality decreased substantially over the last decades in most countries worldwide, with differences in the trends and distribution of the main topographies across regions. To monitor recent mortality trends (1980-2011) and to compute short-term predictions (2015) of gastric cancer mortality in selected countries worldwide, we analysed mortality data provided by the World Health Organization. We also analysed incidence of cardia and non-cardia cancers using data from Cancer Incidence in Five Continents (2003-2007). The joinpoint regression over the most recent calendar periods gave estimated annual percent changes (EAPC) around -3% for the European Union (EU) and major European countries, as well as in Japan and Korea, and around -2% in North America and major Latin American countries. In the United States of America (USA), EU and other major countries worldwide, the EAPC, however, were lower than in previous years. The predictions for 2015 show that a levelling off of rates is expected in the USA and a few other countries. The relative contribution of cardia and non-cardia gastric cancers to the overall number of cases varies widely, with a generally higher proportion of cardia cancers in countries with lower gastric cancer incidence and mortality rates (e.g. the USA, Canada and Denmark). Despite the favourable mortality trends worldwide, in some countries the declines are becoming less marked. There still is the need to control Helicobacter pylori infection and other risk factors, as well as to improve diagnosis and management, to further reduce the burden of gastric cancer.

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Les enquêtes menées auprès des officines vaudoises en 1994 et 2003 avaient montré que les pharmacies étaient des partenaires importants dans le réseau de prise en charge des usagers de drogue par injection (UDI), en particulier en ce qui concerne la dispensation et le suivi des cures de méthadone. Elles avaient aussi mis en évidence les besoins de formation/information des pharmaciens et de leur personnel. La troisième vague de l'enquête pharmacie 2011 avait pour objectif : o de mesurer l'évolution de la remise de seringues par les pharmacies aux UDI o de repérer les lacunes éventuelles dans l'accès au matériel stérile du point de vue géographique o d'apprécier le rôle des pharmacies dans la remise de traitements de méthadone o d'identifier d'éventuels problèmes rencontrés dans ces deux activités (vente de seringues et dispensation de méthadone) o d'identifier les besoins en formation des pharmaciens et du personnel des pharmacies o d'identifier les actions qui favoriseraient une meilleure intégration des pharmacies dans le dispositif de prise en charge des personnes toxicodépendantes o de recueillir l'avis des pharmaciens sur la pose d'automates de distribution de seringues et sur la nécessité d'une extension de la remise de matériel stérile. Méthode L'enquête pharmacie 2011 comprend deux volets. Un premier volet quantitatif, sous la forme d'un questionnaire adressé à toutes les pharmacies du canton (n=248). Le taux de participation de 92% (n=227) est remarquable. Les analyses portent sur 220 questionnaires valides. Un second volet, qualitatif, permet de compléter les données statistiques. Parmi les pharmaciens disposés à s'exprimer dans le cadre d'un entretien (n=90), nous en avons échantillonné [...] [Auteurs, p. 5]

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Eretria war eine der grossen Städte des antiken Griechenland. Zahlreiche Monumente und Kunstwerke zeugen noch heute von ihrer bedeutenden Vergangenheit. 1964 haben Archäologen aus der Schweiz die Erforschung der antiken Stadt, die vor über einem Jahrhundert begonnen hatte, in enger Zusammenarbeit mit den zuständigen griechischen Behörden aufgenommen. Zum ersten Mal sollen nun die bisherigen Ergebnisse in der Schweiz präsentiert werden: Die Ausstellung lässt anhand von etwa 500 Ausgrabungsfunden eine blühende griechische Stadt wieder aufleben. Eretria war von Anfang an ein wichtiger Knotenpunkt zwischen Ost und West. Die Stadt liegt am östlichen Ufer des Golfes von Euböa gegenüber von Attika. Von diesem zentralen Punkt in der Ägäis brachen eretrische Abenteurer ab dem 8. Jh. v. Chr. auf, um das gesamte Mittelmeer zu durchkreuzen. Obschon Eretria zur Zeit der Perserkriege um 490 v. Chr. und unter der athenischen Herrschaft im 5. Jh. gelitten hatte, erlebte die Stadt in den folgenden Jahrhunderten eine neue Blütezeit, die sich bis in die römische Kaiserzeit fortsetzte. Erst im 6. Jh. n. Chr. wird der Ort vollständig verlassen. Die Stadt der Lebenden stellt anschaulich die verschiedenen Bereiche des Lebens in einer antiken griechischen Stadt vor. Anhand der Wohnhäuser der eretrischen Aristokratie wird das Privatleben thematisiert. Im Gegensatz zu den Privathäusern, die nach aussen geschlossen sind, öffnen sich die öffentlichen Gebäude auf grosse Plätze. Die Agora, die Säulenhallen, das Theater, die Palästren und das Gymnasion bieten den Einwohnern genügend Raum, um sich zu treffen, über Politik und Kultur zu debattieren und Neuigkeiten auszutauschen. Die Stadt der Götter zeigt, welche Götter man in Eretria verehrte. Im Zentrum Eretrias befand sich das Heiligtum des Apollon Daphnephoros (= <des Lorbeerträgers>). Der Stadtgott Apollon teilte sich mit seiner Zwillingsschwester Artemis die Vorrangstellung im eretrischen Pantheon. Daneben hatten aber auch andere Götter ihren Platz: Athena auf der Akropolis, Demeter und Kore an deren Abhängen und Dionysos beim Theater. Die Stadt der Toten geht auf die Jenseitsvorstellungen und auf die Bestattungsbräuche der damaligen Menschen ein. Die oberirdischen Monumente sind seit langem verschwunden. Die eigentlichen Gräber in der Tiefe der Erde mit den sterblichen Überresten und den Grabbeigaben blieben indes intakt. Sie lehren uns viel über die Gesellschaft Eretrias und über das Verhältnis der Menschen zum Tod. Begleitpublikation zur Ausstellung "ausgegraben! Schweizer Archäologen erforschen die griechische Stadt Eretria", die vom 22. September 2010 bis zum 30. Januar 2011 im Antikenmuseum Basel und Sammlung Ludwig gezeigt wurde.