9 resultados para Haskell, D. C. (Dudley Chase), 1842-1883.

em Université de Lausanne, Switzerland


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Introduction et objectif: Lors d'essais cliniques, le pharmacien est responsable de la préparation et de la dispensation des médicaments à évaluer. Un article récent a toutefois montré que les aspects pharmaceutiques liés au contrôle de la dose administrée in fine étaient souvent mal contrôlés. Il peut exister une différence entre la dose nominale fournie par le certificat d'analyse du fabricant et la dose réellement administrée au sujet, biais qui se reporte en cascade sur l'estimation des paramètres pharmaco¬cinétiques (PK), comme la clairance ou le volume de distribution. Ce travail visait à évaluer les biais entachant la quantité de médicament réellement injectée (iv/sc) aux volontaires d'un essai clinique étudiant la PK et la relation dose-réponse d'un nouveau produit biotechnologique. Méthode: La dose de médicament administrée lors de l'essai clinique (D) a été calculée de la manière suivante: D = C ? V - pertes. La concentration du produit (C; titre nominal du fabricant) a été vérifiée par immuno-essai. Le volume de médicament injecté (V) a été ©terminé pour chaque injection par pesée (n=72), en utilisant la masse de la seringue avant et après injection et la densité du produit. Enfin, une analyse in vitro a permis d'évaluer les pertes liées à l'adsorption du produit dans les lignes de perfusion et de choisir le dispositif a©quat in vivo. Résultats: La concentration du médicament s'est révélée proche du titre nominal (96 ± 7%), et a été utilisée comme référence. Le volume injecté était quant à lui entaché d'un biais systématique par rapport à la valeur théorique correspondant à 0.03 mL pour la dose minimale (i.e. 75% du volume à injecter à cette dose). Une analyse complémentaire a montré que cela s'expliquait par une réaspiration partielle de la solution médica-menteuse avant le retrait de la seringue après injection sc, due à l'élasticité du piston. En iv, le biais était par contre provoqué par une réaspiration du soluté de perfusion co-administré. Enfin, la mesure des quantités de médicament récupérées après injection dans le dispositif de perfusion a ©montré des pertes minimales par adsorption. Discussion-conclusion: Cette étude confirme l'existence de biais inversement corrélés au volume et à la concentration du médicament administré, pouvant provoquer des erreurs importantes sur les paramètres PK. Ce problème est négligé ou insuffisamment consi©ré dans les protocoles de Phase I et nécessiterait une planification rigoureuse. Les pro©dures opératoires devraient attirer l'attention sur ce point crucial.

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Epoxyeicosatrienoic acids (EETs) are small molecules produced by cytochrome P450 epoxygenases. They are lipid mediators that act as autocrine or paracrine factors to regulate inflammation and vascular tone. As a result, drugs that raise EET levels are in clinical trials for the treatment of hypertension and many other diseases. However, despite their pleiotropic effects on cells, little is known about the role of these epoxyeicosanoids in cancer. Here, using genetic and pharmacological manipulation of endogenous EET levels, we demonstrate that EETs are critical for primary tumor growth and metastasis in a variety of mouse models of cancer. Remarkably, we found that EETs stimulated extensive multiorgan metastasis and escape from tumor dormancy in several tumor models. This systemic metastasis was not caused by excessive primary tumor growth but depended on endothelium-derived EETs at the site of metastasis. Administration of synthetic EETs recapitulated these results, while EET antagonists suppressed tumor growth and metastasis, demonstrating in vivo that pharmacological modulation of EETs can affect cancer growth. Furthermore, inhibitors of soluble epoxide hydrolase (sEH), the enzyme that metabolizes EETs, elevated endogenous EET levels and promoted primary tumor growth and metastasis. Thus, our data indicate a central role for EETs in tumorigenesis, offering a mechanistic link between lipid signaling and cancer and emphasizing the critical importance of considering possible effects of EET-modulating drugs on cancer.

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Introduction et objectif: Lors d'essais cliniques, le pharmacien est responsable de la préparation et de la dispensation des médicaments à évaluer. Un article récent a toutefois montré que les aspects pharmaceutiques liés au contrôle de la dose administrée in fine étaient souvent mal contrôlés. Il peut exister une différence entre la dose nominale fournie par le certificat d'analyse du fabricant et la dose réellement administrée au sujet, biais qui se reporte en cascade sur l'estimation des paramètres pharmacocinétiques (PK), comme la clairance ou le volume de distribution. Ce travail visait à évaluer les biais entachant la quantité de médicament réellement injectée (iv/sc) aux volontaires d'un essai clinique étudiant la PK et la relation dose-réponse d'un nouveau produit biotechnologique. Méthode: La dose de médicament administrée lors de l'essai clinique (D) a été calculée de la manière suivante: D = C * V - pertes. La concentration du produit (C; titre nominal du fabricant) a été vérifiée par immuno-essai. Le volume de médicament injecté (V) a été ©terminé pour chaque injection par pesée (n=72), en utilisant la masse de la seringue avant et après injection et la densité du produit. Enfin, une analyse in vitro a permis d'évaluer les pertes liées à l'adsorption du produit dans les lignes de perfusion et de choisir le dispositif a©quat in vivo. Résultats: La concentration du médicament s'est révélée proche du titre nominal (96 ± 7%), et a été utilisée comme référence. Le volume injecté était quant à lui entaché d'un biais systématique par rapport à la valeur théorique correspondant à 0.03 mL pour la dose minimale (i.e. 75% du volume à injecter à cette dose). Une analyse complémentaire a montré que cela s'expliquait par une réaspiration partielle de la solution médica-menteuse avant le retrait de la seringue après injection sc, due à l'élasticité du piston. En iv, le biais était par contre provoqué par une réaspiration du soluté de perfusion co-administré. Enfin, la mesure des quantités de médicament récupérées après injection dans le dispositif de perfusion a ©montré des pertes minimales par adsorption. Discussion-conclusion: Cette étude confirme l'existence de biais inversement corrélés au volume et à la concentration du médicament administré, pouvant provoquer des erreurs importantes sur les paramètres PK. Ce problème est négligé ou insuffisamment consi©ré dans les protocoles de Phase I et nécessiterait une planification rigoureuse. Les pro©dures opératoires devraient attirer l'attention sur ce point crucial.

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UNLABELLED: We compared the HIV-1-specific cellular and humoral immune responses elicited in rhesus macaques immunized with two poxvirus vectors (NYVAC and ALVAC) expressing the same HIV-1 antigens from clade C, Env gp140 as a trimeric cell-released protein and a Gag-Pol-Nef polyprotein as Gag-induced virus-like particles (VLPs) (referred to as NYVAC-C and ALVAC-C). The immunization protocol consisted of two doses of the corresponding poxvirus vector plus two doses of a combination of the poxvirus vector and a purified HIV-1 gp120 protein from clade C. This immunogenicity profile was also compared to that elicited by vaccine regimens consisting of two doses of the ALVAC vector expressing HIV-1 antigens from clades B/E (ALVAC-vCP1521) plus two doses of a combination of ALVAC-vCP1521 and HIV-1 gp120 protein from clades B/E (similar to the RV144 trial regimen) or clade C. The results showed that immunization of macaques with NYVAC-C stimulated at different times more potent HIV-1-specific CD4(+) T-cell responses and induced a trend toward higher-magnitude HIV-1-specific CD8(+) T-cell immune responses than did ALVAC-C. Furthermore, NYVAC-C induced a trend toward higher levels of binding IgG antibodies against clade C HIV-1 gp140, gp120, or murine leukemia virus (MuLV) gp70-scaffolded V1/V2 and toward best cross-clade-binding IgG responses against HIV-1 gp140 from clades A, B, and group M consensus, than did ALVAC-C. Of the linear binding IgG responses, most were directed against the V3 loop in all immunization groups. Additionally, NYVAC-C and ALVAC-C also induced similar levels of HIV-1-neutralizing antibodies and antibody-dependent cellular cytotoxicity (ADCC) responses. Interestingly, binding IgA antibody levels against HIV-1 gp120 or MuLV gp70-scaffolded V1/V2 were absent or very low in all immunization groups. Overall, these results provide a comprehensive survey of the immunogenicity of NYVAC versus ALVAC expressing HIV-1 antigens in nonhuman primates and indicate that NYVAC may represent an alternative candidate to ALVAC in the development of a future HIV-1 vaccine. IMPORTANCE: The finding of a safe and effective HIV/AIDS vaccine immunogen is one of the main research priorities. Here, we generated two poxvirus-based HIV vaccine candidates (NYVAC and ALVAC vectors) expressing the same clade C HIV-1 antigens in separate vectors, and we analyzed in nonhuman primates their immunogenicity profiles. The results showed that immunization with NYVAC-C induced a trend toward higher HIV-1-specific cellular and humoral immune responses than did ALVAC-C, indicating that this new NYVAC vector could be a novel optimized HIV/AIDS vaccine candidate for human clinical trials.