64 resultados para Frst power
em Université de Lausanne, Switzerland
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Locating new wind farms is of crucial importance for energy policies of the next decade. To select the new location, an accurate picture of the wind fields is necessary. However, characterizing wind fields is a difficult task, since the phenomenon is highly nonlinear and related to complex topographical features. In this paper, we propose both a nonparametric model to estimate wind speed at different time instants and a procedure to discover underrepresented topographic conditions, where new measuring stations could be added. Compared to space filling techniques, this last approach privileges optimization of the output space, thus locating new potential measuring sites through the uncertainty of the model itself.
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Résumé Le μ-calcul est une extension de la logique modale par des opérateurs de point fixe. Dans ce travail nous étudions la complexité de certains fragments de cette logique selon deux points de vue, différents mais étroitement liés: l'un syntaxique (ou combinatoire) et l'autre topologique. Du point de vue syn¬taxique, les propriétés définissables dans ce formalisme sont classifiées selon la complexité combinatoire des formules de cette logique, c'est-à-dire selon le nombre d'alternances des opérateurs de point fixe. Comparer deux ensembles de modèles revient ainsi à comparer la complexité syntaxique des formules as¬sociées. Du point de vue topologique, les propriétés définissables dans cette logique sont comparées à l'aide de réductions continues ou selon leurs positions dans la hiérarchie de Borel ou dans celle projective. Dans la première partie de ce travail nous adoptons le point de vue syntax¬ique afin d'étudier le comportement du μ-calcul sur des classes restreintes de modèles. En particulier nous montrons que: (1) sur la classe des modèles symétriques et transitifs le μ-calcul est aussi expressif que la logique modale; (2) sur la classe des modèles transitifs, toute propriété définissable par une formule du μ-calcul est définissable par une formule sans alternance de points fixes, (3) sur la classe des modèles réflexifs, il y a pour tout η une propriété qui ne peut être définie que par une formule du μ-calcul ayant au moins η alternances de points fixes, (4) sur la classe des modèles bien fondés et transitifs le μ-calcul est aussi expressif que la logique modale. Le fait que le μ-calcul soit aussi expressif que la logique modale sur la classe des modèles bien fondés et transitifs est bien connu. Ce résultat est en ef¬fet la conséquence d'un théorème de point fixe prouvé indépendamment par De Jongh et Sambin au milieu des années 70. La preuve que nous donnons de l'effondrement de l'expressivité du μ-calcul sur cette classe de modèles est néanmoins indépendante de ce résultat. Par la suite, nous étendons le langage du μ-calcul en permettant aux opérateurs de point fixe de lier des occurrences négatives de variables libres. En montrant alors que ce formalisme est aussi ex¬pressif que le fragment modal, nous sommes en mesure de fournir une nouvelle preuve du théorème d'unicité des point fixes de Bernardi, De Jongh et Sambin et une preuve constructive du théorème d'existence de De Jongh et Sambin. RÉSUMÉ Pour ce qui concerne les modèles transitifs, du point de vue topologique cette fois, nous prouvons que la logique modale correspond au fragment borélien du μ-calcul sur cette classe des systèmes de transition. Autrement dit, nous vérifions que toute propriété définissable des modèles transitifs qui, du point de vue topologique, est une propriété borélienne, est nécessairement une propriété modale, et inversement. Cette caractérisation du fragment modal découle du fait que nous sommes en mesure de montrer que, modulo EF-bisimulation, un ensemble d'arbres est définissable dans la logique temporelle Ε F si et seulement il est borélien. Puisqu'il est possible de montrer que ces deux propriétés coïncident avec une caractérisation effective de la définissabilité dans la logique Ε F dans le cas des arbres à branchement fini donnée par Bojanczyk et Idziaszek [24], nous obtenons comme corollaire leur décidabilité. Dans une deuxième partie, nous étudions la complexité topologique d'un sous-fragment du fragment sans alternance de points fixes du μ-calcul. Nous montrons qu'un ensemble d'arbres est définissable par une formule de ce frag¬ment ayant au moins η alternances si et seulement si cette propriété se trouve au moins au n-ième niveau de la hiérarchie de Borel. Autrement dit, nous vérifions que pour ce fragment du μ-calcul, les points de vue topologique et combina- toire coïncident. De plus, nous décrivons une procédure effective capable de calculer pour toute propriété définissable dans ce langage sa position dans la hiérarchie de Borel, et donc le nombre d'alternances de points fixes nécessaires à la définir. Nous nous intéressons ensuite à la classification des ensembles d'arbres par réduction continue, et donnons une description effective de l'ordre de Wadge de la classe des ensembles d'arbres définissables dans le formalisme considéré. En particulier, la hiérarchie que nous obtenons a une hauteur (ωω)ω. Nous complétons ces résultats en décrivant un algorithme permettant de calculer la position dans cette hiérarchie de toute propriété définissable.
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Power is a fundamental force in social relationships and is pervasive throughout various types of interactions. Although research has shown that the possession of power can change the powerholder, the full extent of power's consequences on individuals' decision making capabilities and social interactions within organizations is not fully understood. The goal of this paper is to review, synthesize, and critique the literature on power with a focus on its organizational and managerial implications. Specifically, we propose a definition of power that takes into account its three defining characteristics-having the discretion and means to enforce one's will-and summarize the extant literature on how power influences individuals' thoughts, emotions, and actions both in terms of prosocial and antisocial outcomes. In addition, we highlight important moderators of power and describe ways in which it can be studied in a more rigorous manner by examining methodological issues and pitfalls with regard to its measurement and manipulation. We also provide future research directions to motivate and guide the study of power by management scholars. Our desire is to present a thorough and parsimonious account of power's influence on individuals within an organizational context, as well as provide a foundation that scholars can build upon as they continue to make consequential contributions to the study of power.
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INTRODUCTION: Spectral frequencies of the surface electromyogram (sEMG) increase with contraction force, but debate still exists on whether this increase is affected by various methodological and anatomical factors. This study aimed to investigate the influence of inter-electrode distance (IED) and contraction modality (step-wise vs. ramp) on the changes in spectral frequencies with increasing contraction strength for the vastus lateralis (VL) and vastus medialis (VM) muscles. METHODS: Twenty healthy male volunteers were assessed for isometric sEMG activity of the VM and VL, with the knee at 90° flexion. Subjects performed isometric ramp contractions in knee extension (6-s duration) with the force gradually increasing from 0 to 80 % MVC. Also, subjects performed 4-s step-wise isometric contractions at 10, 20, 30, 40, 50, 60, 70, and 80 % MVC. Interference sEMG signals were recorded simultaneously at different IEDs: 10, 20, 30, and 50 mm. The mean (F mean) and median (F median) frequencies and root mean square (RMS) of sEMG signals were calculated. RESULTS: For all IEDs, contraction modalities, and muscles tested, spectral frequencies increased significantly with increasing level of force up to 50-60 % MVC force. Spectral indexes increased systematically as IED was decreased. The sensitivity of spectral frequencies to changes in contraction force was independent of IED. The behaviour of spectral indexes with increasing contraction force was similar for step-wise and ramp contractions. CONCLUSIONS: In the VL and VM muscles, it is highly unlikely that a particular inter-electrode distance or contraction modality could have prevented the observation of the full extent of the increase in spectral frequencies with increasing force level.
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High-field (>or=3 T) cardiac MRI is challenged by inhomogeneities of both the static magnetic field (B(0)) and the transmit radiofrequency field (B(1)+). The inhomogeneous B fields not only demand improved shimming methods but also impede the correct determination of the zero-order terms, i.e., the local resonance frequency f(0) and the radiofrequency power to generate the intended local B(1)+ field. In this work, dual echo time B(0)-map and dual flip angle B(1)+-map acquisition methods are combined to acquire multislice B(0)- and B(1)+-maps simultaneously covering the entire heart in a single breath hold of 18 heartbeats. A previously proposed excitation pulse shape dependent slice profile correction is tested and applied to reduce systematic errors of the multislice B(1)+-map. Localized higher-order shim correction values including the zero-order terms for frequency f(0) and radiofrequency power can be determined based on the acquired B(0)- and B(1)+-maps. This method has been tested in 7 healthy adult human subjects at 3 T and improved the B(0) field homogeneity (standard deviation) from 60 Hz to 35 Hz and the average B(1)+ field from 77% to 100% of the desired B(1)+ field when compared to more commonly used preparation methods.
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This prospective study applies an extended Information-Motivation-Behavioural Skills (IMB) model to establish predictors of HIV-protection behaviour among HIV-positive men who have sex with men (MSM) during sex with casual partners. Data have been collected from anonymous, self-administered questionnaires and analysed by using descriptive and backward elimination regression analyses. In a sample of 165 HIV-positive MSM, 82 participants between the ages of 23 and 78 (M=46.4, SD=9.0) had sex with casual partners during the three-month period under investigation. About 62% (n=51) have always used a condom when having sex with casual partners. From the original IMB model, only subjective norm predicted condom use. More important predictors that increased condom use were low consumption of psychotropics, high satisfaction with sexuality, numerous changes in sexual behaviour after diagnosis, low social support from friends, alcohol use before sex and habitualised condom use with casual partner(s). The explanatory power of the calculated regression model was 49% (p<0.001). The study reveals the importance of personal and social resources and of routines for condom use, and provides information for the research-based conceptualisation of prevention offers addressing especially people living with HIV ("positive prevention").