83 resultados para Formulae, receipts, prescriptions
em Université de Lausanne, Switzerland
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Le présent ouvrage s'inscrit dans le domaine de l'histoire comparée des religions, et porte sur le rôle joué par les pratiques d'hospitalité dans le développement d'un mouvement religieux. L'idée centrale réside dans l'observation que les pratiques individuelles de l'hospitalité, bien qu'apparemment banales, relèvent d'enjeux sociaux majeurs, et sont susceptibles de nous renseigner sur l'organisation d'une société. Parallèlement, le travail effectue une évaluation critique de la catégorie même d'« hospitalité », des conceptions qui lui sont associées dans le langage courant, et de la possibilité de son emploi comme catégorie transculturelle. Deux cas, issus de cultures historiquement et géographiquement disjointes, sont étudiés de manière indépendante au travers de textes déterminés, avant d'être contrastés dans une partie récapitulative. Les deux contextes choisis pour cette étude sont le judaïsme rabbinique et la tradition indienne brahmanique. La démarche a consisté à définir des ensembles de textes, à repérer les passages traitant de l'hospitalité, et à les classer en tenant compte du document au sein duquel ils apparaissent, du type d'hospitalité qui y est présenté, et des protagonistes qui y sont impliqués. Ces textes ne représentent certes pas la réalité historique, mais nous informent sur l'idéal que leurs rédacteurs appelaient de leurs voeux. Dans le cas rabbinique, les textes défendent de manière quasiment unanime l'idée que l'hospitalité (hakhnasat ha-orechin / ´akhsanya) est une valeur importante - une idée qui n'apparaît pas sous cette forme dans le corpus biblique. Les modalités de l'hospitalité varient cependant selon les situations, abondamment discutées au sein des textes. Par exemple, les implications d'accueillir un invité « païen » ou d'être invité par lui diffèrent considérablement, la première situation étant évidemment moins problématique que la seconde. Plusieurs raisons (régime alimentaire, pureté) compliquent aussi l'idéal de réciprocité. Dans les textes du brahmanisme, l'hospitalité (àtithya) se charge d'une signification particulière, rituelle, quand elle s'adresse à un membre de l'« élite religieuse » (brahmane, sage, etc.) : elle devient un « sacrifice domestique », intégré au complexe rituel des māhayajña, les « grands sacrifices » quotidiens. Les textes sont moins prolixes quant à l'hospitalité dispensée à un non-brahmane. Il s'agit au mieux d'une possibilité. D'une manière générale, le déroulement de l'hospitalité varie très fortement en fonction de l'identité de l'invité. Le travail se conclut sur trois volets distincts : (1) un essai de comparaison des processus historiques se trouvant en filigrane des textes, en revenant notamment sur les fonctions symboliques prises en charge par l'hospitalité au sein des deux contextes ; (2) une réflexion sur les pratiques mêmes de l'hospitalité et leur signification sociale ; (3) un retour critique, enfin, sur quelques catégories transculturelles employées dans le travail et leur héritage conceptuel.
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OBJECTIVE: Methylphenidate is prescribed for children and adolescents to treat ADHD. As in many Western countries, the increase in methylphenidate consumption is a public concern in Switzerland. The article discusses the authors' assessment of prescription prevalence in 2002 and 2005 for school-aged children in the canton of Vaud. METHOD: Pharmacy prescription information is available from the regional public health authority. Descriptive analyses are conducted on an anonymized database of the years 2002 and 2005. Data for each year are compared to assess trends in methylphenidate prescription prevalence. RESULTS: The findings show an increase from 0.74% to 1.02% in the number of prescriptions for 5- to 14-year-old children, particularly in prescriptions for girls. Data also show important geographical differences in prescription. CONCLUSION: The prevalence of methylphenidate prescription is lower in Switzerland than other Western countries, particularly the United States. However, some aspects of prevalence are similar, including the increase per year, demographics, and geographic characteristics.
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Introduction :¦Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont une classe de médicaments fréquemment utilisée. Bien qu'ils soient utiles pour leurs propriétés analgésiques, antipyrétiques et anti-inflammatoires, ils sont à l'origine d'effets indésirables nombreux et potentiellement graves. Neuf recommandations de bonne pratique ont été établies en France en 1994 dans le but de limiter les prescriptions inutiles ou dangereuses. Nous avons examiné ces recommandations, pour savoir si elles sont encore pertinentes, et avons évalué leur suivi en Suisse.¦Méthode :¦La population étudiée consiste en 53 891 patients de plus de 16 ans, suivis en 2005 et 2006, qui ont eu au moins une fois la délivrance d'un AINS (voie non locale).¦Résultats :¦60% des prescriptions d'AINS excèdent 14 jours de traitement standard et 25% des renouvellements de traitement surviennent avant le nombre de jours correspondant à une prescription journalière standard. 2,7% des prescriptions contiennent deux ou plus d'AINS. Un tiers des prescriptions d'AINS sont associées à un protecteur gastrique dans les 3 mois. Cette proportion augmente avec les facteurs de risque des complications gastro-intestinales : l'âge, la prescription d'autres médicaments gastro-toxiques et la dose d'AINS prescrite. Toutefois, moins d'un patient sur deux de plus de 70 ans bénéficie d'un protecteur gastrique. Une prescription d'AINS sur mille concerne une femme au 3ème trimestre de grossesse. La prescription concomitante d'un médicament susceptible d'augmenter la fréquence des événements indésirables des AINS est fréquente : 25% d'anticoagulant ou anti-thrombotique, 30,5% d'inhibiteur de l'enzyme de conversion, diurétique ou antagoniste des récepteurs à l'angiotensine II, et 5,3% de corticothérapie. Ces proportions augmentent avec l'âge. La plupart des taux définis ci-dessus varient en fonction du canton de résidence, après ajustement sur le sexe et l'âge.¦Conclusion:¦Nos résultats suggèrent qu'en Suisse, les AINS sont fréquemment prescrits à doses trop élevées ou pendant une trop longue durée et souvent associés à d'autres médicaments susceptibles d'augmenter le risque d'effets secondaires, et ce particulièrement chez les sujets les plus âgés. La fréquence de prescriptions chez les femmes au 3ème trimestre de grossesse est inférieure à celles publiées ailleurs. Il est probable que les protecteurs gastriques soient sous-utilisés chez les personnes âgées. Les variations inter-cantonales suggèrent que certaines pratiques pourraient être améliorées
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BACKGROUND: The writing of prescriptions is an important aspect of medical practice. This activity presents some specific problems given a danger of misinterpretation and dispensing errors in community pharmacies. The objective of this study was to determine the evolution of the prescription practice and writing quality in the outpatient clinics of our paediatric university hospital.¦METHODS: Copies of prescriptions written by physicians were collected from community pharmacies in the region of our hospital for a two-month period in 2005 and 2010. They were analysed according to standard criteria, including both formal and pharmaceutical aspects.¦RESULTS: A total of 597 handwritten prescriptions were reviewed in 2005 and 633 in 2010. They contained 1,456 drug prescriptions in 2005 and 1,348 in 2010. Fifteen drugs accounted for 80% of all prescriptions and the most common drugs were paracetamol and ibuprofen. A higher proportion of drugs were prescribed as International Nonproprietary Names (INN) or generics in 2010 (24.7%) compared with 2005 (20.9%). Of the drug prescriptions examined, 55.5% were incomplete in 2005 and 69.2% in 2010. Moreover in 2005, 3.2% were legible only with difficulty, 22.9% were ambiguous, and 3.0% contained an error. These proportions rose respectively to 5.2%, 27.8%, and 6.8% in 2010.¦CONCLUSION: This study showed that fifteen different drugs represented the majority of prescriptions, and a quarter of them were prescribed as INN or generics in 2010; and that handwritten prescriptions contained numerous omissions and preventable errors. In our hospital computerised prescribing coupled with advanced decision support is eagerly awaited.
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RÉSUMÉ Comparaison dés habitudes de prescription de médicaments psychotropes dans des cliniques de psychiatrie adulte et de psychogériatrie Afin de pouvoir comparer l'utilisation de médicaments psychotropes et non psychotropes, la proportion des nouveaux et celle des anciens antidépresseurs ou antipsychotiques, ce travail a eu pour but d'étudier les prescriptions médicamenteuses dans deux groupes de patients hospitalisés, l'un en milieu psychiatrique adulte (de 18 à 64 ans), l'autre en milieu psychogériatrique (plus de 64 ans). Lors d'un jour de référence en Mai 2000, toutes les prescriptions médicamenteuses dans deux hôpitaux psychiatriques universitaires abritant l'un une population adulte, l'autre gériatrique, ont été relevées chez tous les patients. Le coût financier total par patient a été comparé en tenant compte de la proportion des médicaments non psychotropes. La médication de 61 patients adultes et de 82 patients gériatriques a ainsi été analysée. Le nombre moyen de médicaments non psychotropes par patient était plus élevé dans la population âgée (p< 0.001), ce qui se reflète également par une prescription totale de médicaments par patient en moyenne plus élevée dans cette population (p<0.001). L'utilisation de benzodiazépines était inférieure dans là population psychogériatrique (p<0.001), même si l'on y additionne celle en association avec les antidépresseurs (p<0.001). Le coût financier du traitement pharmacologique quotidien d'un patient adulte était significativement inférieur à celui d'un patient gériatrique dont la comédication somatique est nécessairement plus importante (9.3 ± 7.2 CHF/patient contre 14.1 ± 9.5 CHF/patient) (p<0.009). En conclusion, cette étude confirme l'importance des habitudes locales dans la prescription médicamenteuse par les médecins, à l'exception de l'utilisation des benzodiazépines pour lesquelles les psychogériâtres semblent moins favorables.
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Avant - Propos Le feu et la protection incendie Quel que soit l'usage d'un bâtiment, chaque étape de la construction est soumise à l'application de normes. Certaines, utilisées par les architectes et les ingénieurs, concernent le gros oeuvre ; en simplifiant leur rôle, elles assurent la solidité et la stabilité de l'immeuble. Si celui-ci est ouvert au public, des aménagements particuliers concernant la sécurité des personnes sont imposés. D'autres comme les prescriptions sur les installations électriques intérieures, précisent la manière de construire une alimentation, le type de matériel utilisable en fonction du courant et de la tension, les sécurités destinées à éviter toute détérioration des circuits et tout risque d'électrocution, etc. Enfin, les prescriptions en matière de protection incendie jouent évidemment un rôle préventif et, dans le domaine judiciaire, servent de références pour qualifier une éventuelle infraction ; elles évitent qu'une source de chaleur installée dans un bâtiment - tel qu'un appareil de chauffage ou des plaques de cuisson - ou susceptible d'apparaître consécutivement à l'usure d'un matériau ou à son vieillissement - disparition d'un isolant thermique, défaut d'étanchéité d'un conduit transportant les gaz chauds de combustion, par exemple - ne communiquent une partie de l'énergie calorifique dégagée à un combustible et ne l'enflamme. Le concept de protection incendie implique d'exposer et de développer les principales notions relatives à l'inflammation d'un matériau, à sa combustion ainsi qu'au transport de l'énergie calorifique. Fréquemment, le milieu dans lequel le générateur de chaleur est installé joue un rôle dans la phase d'allumage de l'incendie. Il est évident que les prescriptions de protection incendie s'appliquent à chaque élément de construction et, par conséquent, doivent être respectées par toute personne participant à la réalisation d'un ouvrage : le chauffagiste, l'électricien, l'installateur sanitaire, le constructeur de cuisine, mais également le maçon qui construit la cheminée, le peintre et le décorateur qui posent des revêtements ou des garnitures inflammables, le menuisier qui utilise le bois pour dissimuler des conduites de fumée, etc. Dès lors, tout sinistre, hormis celui qui est perpétré délibérément, ne peut s'expliquer que par : - le non-respect ou le défaut d'application d'une prescription de protection incendie; - une lacune de la norme qui ignore une source d'échauffement et/ou un mode de transfert de l'énergie calorifique. Le but premier de ce travail consiste à : - analyser les sinistres survenus durant les années 1999 à 2005 dans plusieurs cantons suisses qui ont fait l'objet d'une investigation de la part d'un service technique de la police ou d'un expert ; - examiner les éléments retenus pour expliquer la cause de l'incendie à la norme afin de répondre à la question : « l'application d'une ou de plusieurs directives lors de l'installation ou de l'utilisation du générateur d'énergie calorifique aurait-elle évité à ce dernier de communiquer une partie de la chaleur dégagée à un combustible et à l'enflammer ? » Le second objectif visé est d'apporter une solution à la question précédente : - si la norme existe, c'est un défaut d'installation ou d'utilisation de la source de chaleur qui est à l'origine de l'incendie. Il importe donc de connaître la raison pour laquelle la prescription a été ignorée ou appliquée de manière erronée ou lacunaire; - si la norme n'existe pas, ce sont les prescriptions en matière de protection incendie qui doivent être complétées. Le chapitre suivant abordera ces thèmes en proposant divers postulats destinés à évaluer l'efficacité actuelle du concept de protection incendie en Suisse.
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The current issues debate brings together experts around the themes of self-sufficiency (in its national and European aspects) and of needs in cellular blood products. The point of view of the manufacturer and prescribers of blood products are confronted.
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Accurate prediction of mortality following burns is useful as an audit tool, and for providing treatment plan and resource allocation criteria. Common burn formulae (Ryan Score, Abbreviated Burn Severity Index (ABSI), classic and revised Baux) have not been compared with the standard Acute Physiology and Chronic Health Evaluation II (APACHEII) or re-validated in a severely (≥20% total burn surface area) burned population. Furthermore, the revised Baux (R-Baux) has been externally validated thoroughly only once and the pediatric Baux (P-Baux) has yet to be. Using 522 severely burned patients, we show that burn formulae (ABSI, Baux, revised Baux) outperform APACHEII among adults (AUROC increase p<0.001 adults; p>0.5 children). The Ryan Score performs well especially among the most at-risk populations (estimated mortality [90% CI] original versus current study: 33% [26-41%] versus 30.18% [24.25-36.86%] for Ryan Score 2; 87% [78-93%] versus 66.48% [51.31-78.87%] for Ryan Score 3). The R-Baux shows accurate discrimination (AUROC 0.908 [0.869-0.947]) and is well-calibrated. However, the ABSI and P-Baux, although showing high measures of discrimination (AUROC 0.826 [0.737-0.916] and 0.848 [0.758-0.938]) in children), exceedingly overestimates mortality, indicating poor calibration. We highlight challenges in designing and employing scores that are applicable to a wide range of populations.
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OBJECTIVES: Cardiovascular disease is a leading cause of morbidity and mortality in the elderly population. We evaluated the adequacy of prescribing (miss and under used) with respect to STOPP-START criteria. METHODS: A sample of 100 patients hospitalized in cardiovascular specialty divisions (medicine or surgery) or in the different sectors making up the geriatric network (day-care hospital, short or rehabilitation ward, nursing home) has been considered. Drug prescriptions at the admission time were analysed. RESULTS: Eight hundred and seventy-four prescriptions were analysed. In 65% of patients, from 5 to 10 medications were prescribed and in 28% over 10. Fifty-four percent of patients had, at least, one potentially inappropriate prescription (PIP) by STOPP. Among them, 48% of PIP prescriptions contained 1, 41% 2 and 11% 3 or more. The omission of one medication according to START criteria concerned 57% of the sample. Among them, 46% had one omission, 44% 2 to 3 and 10% 4 omissions or over. The cardiovascular system is the one most concerned by the PIP. Whether 28.1% of the PIP by STOPP criteria concerned cardiovascular drugs, the omission of prescription, according to START criteria, was 41.8%. There was no significant difference between the different settings studied. There was no effect of age or sex on the impact of PIP (P>0.20) or being polymédiqué (P=0.44). According to the criteria STOPP-A, the prescription of antiplatelet (indication and dose) was highlighted. Prescribing omission also concerned antiplatelet agents but also statins in patients with atherosclerosis as well as antiplatelet and anticoagulant in patients with permanent atrial fibrillation and inhibitor of angiotensin converting enzyme (ACE) after myocardial infarction or with chronic heart failure. CONCLUSION: Potentially inappropriate prescribing medications were very common in elderly patients with cardiovascular conditions. They concerned as much as underusing of important drugs with potential benefits and prescribing commission of treatment that did not fit with patients' comorbidities and/or characteristics.
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OBJECTIVE: While there is a dose-response relationship between physical activity (PA) and health benefit, little is known about the effectiveness of different PA prescriptions on total daily PA. AIM: To test, under real-life conditions and using an objective, non-invasive measurement technique (accelerometry), the effect of prescribing additional physical activity (walking only) of different durations (30, 60 and 90 min/day) on compliance (to the activity prescribed) and compensation (to total daily PA). Participants in each group were prescribed 5 sessions of walking per week over 4 weeks. METHODS: 55 normal-weight and overweight women (mean BMI 25 ± 5 kg/m(2), height 165 ± 1 cm, weight 68 ± 2 kg and mean age 27 ± 1 years) were randomly assigned to 3 prescription groups: 30, 60 or 90 min/day PA. RESULTS: Walking duration resulted in an almost linear increase in the number of steps per day during the prescription period from an average of about 10,000 steps per day for the 30-min prescription to about 14,000 for the 90-min prescription. Compliance was excellent for the 30-min prescription but decreased significantly with 60-min and 90-min prescriptions. In parallel, degree of compensation subsequent to exercise increased progressively as length of prescription increased. CONCLUSION: A 30-min prescription of extra walking 5 times per week was well tolerated. However, in order to increase total PA further, much more than 60 min of walking may need to be prescribed in the majority of individuals. While total exercise 'volume' increased with prescriptions longer than 30 min, compliance to the prescription decreased and greater compensation was evident. © 2014 S. Karger GmbH, Freiburg.
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INTRODUCTION: In 2009 hypovitaminosis D was highly prevalent in a population of Swiss rheumatology patients (86%). We aimed to evaluate the evolution of vitamin D status in the same population two years later, after the results of the first study were disseminated to local physicians and patients, in order to determine the evolution of the problem and the impact of physician information. METHOD: Patients in our rheumatology clinic were screened for 25-OH vitamin D. Results were categorised as: deficient (<10 ng/ml or <25 nmol/l), insufficient (10 to 30 ng/ml or 25 to 75 nmol/l) or normal (>30 ng/ml or >75 nmol/l). We also used another cut-off of 20 ng/ml (50 nmol/l). We evaluated the evolution of 25-OH vitamin D dosages and vitamin D3 prescriptions between 2008 and 2011 in our institution and the number of publications on vitamin D in three important medical journals of the French speaking part of Switzerland. RESULTS: Compared with 2009, significantly more patients had normal results in 2011. Fifty-two percent of patients had levels >20 ng/ml in 2009 and 66% in 2011, difference statistically significant (p = 0.001). During the years separating the two study periods the number of 25-OH vitamin D dosages and the prescription of high doses of vitamin D3 increased in our hospital. In addition the number of publications on vitamin D increased between 2008 and 2011. CONCLUSION: We concluded that lower prevalence in hypovitaminosis D is certainly related to better adherence to daily supplements, and to better information and awareness of the physicians about hypovitaminosis D.