12 resultados para Fenómeno de la Niña, 2009-2012
em Université de Lausanne, Switzerland
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We updated trends in breast cancer mortality in Europe up to the late 2000's. In the EU, age-adjusted (world standard population) breast cancer mortality rates declined by 6.9% between 2002 and 2006, from 17.9 to 16.7/100,000. The largest falls were in northern European countries, but more recent declines were also observed in central and eastern Europe. In 2007, all major European countries had overall breast cancer rates between 15 and 19/100,000. In relative terms, the declines in mortality were larger at younger age (-11.6% at age 20-49 years between 2002 and 2007 in the EU), and became smaller with advancing age (-6.6% at age 50-69, -5.0% at age 70-79 years). The present report confirms and further quantifies the persisting steady fall in breast cancer mortality in Europe over the last 25-30 years, which is mainly due to advancements in the therapy.
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Les réformes de répartition des tâches entre cantons et communes appartiennent aux grandes réformes de politique locale en Suisse, c'est pourquoi elles font l'objet d'une thèse réalisée dans le cadre du programme de recherche ProDoc du Fonds national suisse sur la gouvernance locale (2009-2012). Lancées de manière périodique depuis les années 1970, ces réformes sont organisées pour clarifier le système d'allocation des tâches qui se modifie au coup par coup, avec l'évolution des politiques publiques. Ce thème actuel a été jusqu'à ce jour mis à l'écart des recherches en Suisse. Cette thèse comble cette lacune. Elle analyse sous quatre aspects (les références théoriques des réformes, leur processus de mise en oeuvre, leurs résultats, et leurs effets sur le système fédéraliste) douze grandes réformes canton-communes effectuées entre 1994-2007. Elle s'interroge notamment sur les mouvements de centralisation/décentralisation et de désenchevêtrement des tâches, en se référant à la littérature classique sur le fédéralisme et à deux modèles politico-économiques: le fédéralisme fiscal et le fédéralisme coopératif. Au niveau empirique, l'analyse se fonde sur une analyse documentaire des réformes Confédération - cantons, cantons- communes, sur un inventaire de compétences décisionnelles, financières et de mise en oeuvre transférées au cours de douze réformes cantonales, sur une enquête nationale menée auprès des secrétaires communaux en Suisse ainsi que sur des entretiens conduits auprès de responsables cantonaux chargés des affaires communales. L'étude met en évidence des similitudes entre les réformes conduites entre la Confédération et les cantons et les cantons et les communes notamment en ce qui concerne le cadre de référence soit : une répartition des tâches qui privilégie des tâches exclusives (self-rules) si possible décentralisées. Dans cet esprit, c'est pour l'ensemble des réformes que le principe du décideur payeur a été utilisé de sorte à supprimer les enchevêtrements et à assurer une coïncidence entre responsabilités décisionnelles et financières. Ceci a permis pour les douze réformes étudiées d'atteindre un important désenchevêtrement, en particulier au niveau financier. Sur ce plan, les réformes sont un succès. Ce désenchevêtrement s'accompagne d'une tendance à la centralisation des compétences principalement financières et de mise en oeuvre. Les domaines concernés relèvent particulièrement des politiques publiques fédérales mises en oeuvre par les cantons. Le cadre légal fédéral exerce donc une influence prépondérante sur la répartition des tâches canton-communes. Pour les tâches de compétences principalement cantonales, le mouvement vers la centralisation s'explique par plusieurs facteurs que l'analyse met en évidence. Parmi eux, le principal est le facteur culturel. Ainsi les cantons romands et les cantons plutôt à gauche optent plutôt pour des tâches centralisées et conjointes, alors que les cantons alémaniques préfèrent des arrangements décentralisés et des tâches menées exclusivement par un niveau. Outre une culture politique qui favorise la décentralisation, les réformes de Nouvelle gestion publique auxquels ont recouru plus fréquemment les cantons alémaniques expliquent la recherche d'un plus fort désenchevêtrement. La capacité administrative des communes (mesurée par la taille des communes) influence également la direction des transferts. Dans les douze réformes, on observe que lorsqu'un canton est formé de grandes communes, celles-ci obtiennent plus de compétences parce qu'elles ont la capacité de les assumer. Ceci est particulièrement vrai pour les communes de plus de 20'000 habitants qui bénéficient de délégation de compétences spécifiques, ce qui confirme l'existence d'un fédéralisme asymétrique. Ces points sont confirmés pas la perception des acteurs. De manière générale, les réformes n'ont pas bouleversé l'allocation des compétences décisionnelles canton-communes dans les douze cantons étudiés, sauf dans quelques cantons de Suisse centrale et orientale et à Bâle-Ville, où les réformes ont permis de décentraliser et de désenchevêtrer davantage de compétences, cette tendance est corroborée dans ces cantons par une augmentation de la perception de l'autonomie communale. Les réformes ne sont finalement pas parvenues à instaurer un changement de paradigme dans le système d'allocation des tâches canton-communes où les communes auraient vu leurs compétences renforcées.
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Les deux premières parties de cet article parues précédemment ont présenté la méthodologie ainsi que les premiers éléments du bilan réalisé sur la période allant de 2009 à 2012 de la veille bibliographique sur la surveillance biologique de l'exposition aux produits chimiques en milieu de travail (SBEPC MT) mise en place par un réseau francophone multidisciplinaire.
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Une veille bibliographique est organisée depuis 2005 sur la surveillance biologique aux produits chimiques en milieu de travail (SBEPC MT). Elle a été mise en place par le réseau francophone multidisciplinaire, composé de l'INRS (France), l'IRSST (Québec) et l'UCL (Belgique). Cet article dresse le bilan de l'information récoltée et analysée, de 2009 à 2012, au travers de 435 articles sélectionnés. Plusieurs thèmes d'intérêt ou d'actualités font l'objet d'une analyse plus approfondie, dont notamment les pesticides, les hydrocarbures aromatiques, le benzène, le mangannèse, la variabilité biologique, les dosages cutanés et frottis de surface, les dosages dans l'air expiré ou encore la spectrométrie de masse.
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Female lung cancer mortality increased by 50% between the mid 1960s and the early 2000s in the European Union (EU). To monitor the current lung cancer epidemic in European women, we analyzed mortality trends in 33 European countries between 1970 and 2009 and estimated rates for the year 2015 using data from the World Health Organization. Female lung cancer mortality has been increasing up to recent calendar years in most European countries, with the exceptions of Belarus, Russia, and Ukraine, with relatively low rates, and the UK, Iceland and Ireland, where high rates were reached in mid/late 1990s to leveled off thereafter. In the EU, female lung cancer mortality rates rose over the last decade from 11.3 to 12.7/100,000 (+2.3% per year) at all ages and from 18.6 to 21.5/100,000 (+3.0% per year) in middle-age. A further increase is predicted, to reach 14/100,000 women in 2015. Lung cancer mortality trends have been more favorable over the last decade in young women (20-44 years), particularly in the UK and other former high-risk countries from northern and central/eastern Europe, but also in France, Italy, and Spain where mortality in young women has been increasing up to the early 2000s. In the EU as a whole, mortality at age 20-44 years decreased from 1.6 to 1.4/100,000 (-2.2% per year). Although the female lung cancer epidemic in Europe is still expanding, the epidemic may be controlled through the implementation of effective anti-tobacco measures, and it will probably never reach the top US rates.
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Background Folate deficiency leads to DNA damage and inadequate repair, caused by a decreased synthesis of thymidylate and purines. We analyzed the relationship between dietary folate intake and the risk of several cancers. Patients and methods The study is based on a network of case-control studies conducted in Italy and Switzerland in 1991-2009. The odds ratios (ORs) for dietary folate intake were estimated by multiple logistic regression models, adjusted for major identified confounding factors. Results For a few cancer sites, we found a significant inverse relation, with ORs for an increment of 100 μg/day of dietary folate of 0.65 for oropharyngeal (1467 cases), 0.58 for esophageal (505 cases), 0.83 for colorectal (2390 cases), 0.72 for pancreatic (326 cases), 0.67 for laryngeal (851 cases) and 0.87 for breast (3034 cases) cancers. The risk estimates were below unity, although not significantly, for cancers of the endometrium (OR = 0.87, 454 cases), ovary (OR = 0.86, 1031 cases), prostate (OR = 0.91, 1468 cases) and kidney (OR = 0.88, 767 cases), and was 1.00 for stomach cancer (230 cases). No material heterogeneity was found in strata of sex, age, smoking and alcohol drinking. Conclusions Our data support a real inverse association of dietary folate intake with the risk of several common cancers.
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Diabetes has been associated to the risk of a few cancer sites, though quantification of this association in various populations remains open to discussion. We analyzed the relation between diabetes and the risk of various cancers in an integrated series of case-control studies conducted in Italy and Switzerland between 1991 and 2009. The studies included 1,468 oral and pharyngeal, 505 esophageal, 230 gastric, 2,390 colorectal, 185 liver, 326 pancreatic, 852 laryngeal, 3,034 breast, 607 endometrial, 1,031 ovarian, 1,294 prostate, and 767 renal cell cancer cases and 12,060 hospital controls. The multivariate odds ratios (OR) for subjects with diabetes as compared to those without-adjusted for major identified confounding factors for the cancers considered through logistic regression models-were significantly elevated for cancers of the oral cavity/pharynx (OR = 1.58), esophagus (OR = 2.52), colorectum (OR = 1.23), liver (OR = 3.52), pancreas (OR = 3.32), postmenopausal breast (OR = 1.76), and endometrium (OR = 1.70). For cancers of the oral cavity, esophagus, colorectum, liver, and postmenopausal breast, the excess risk persisted over 10 yr since diagnosis of diabetes. Our data confirm and further quantify the association of diabetes with colorectal, liver, pancreatic, postmenopausal breast, and endometrial cancer and suggest forthe first time that diabetes may also increase the risk of oral/pharyngeal and esophageal cancer. [Table: see text] [Table: see text].
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Background We analyzed the relationship between cholelithiasis and cancer risk in a network of case-control studies conducted in Italy and Switzerland in 1982-2009. Methods The analyses included 1997 oropharyngeal, 917 esophageal, 999 gastric, 23 small intestinal, 3726 colorectal, 684 liver, 688 pancreatic, 1240 laryngeal, 6447 breast, 1458 endometrial, 2002 ovarian, 1582 prostate, 1125 renal cell, 741 bladder cancers, and 21 284 controls. The odds ratios (ORs) were estimated by multiple logistic regression models. Results The ORs for subjects with history of cholelithiasis compared with those without were significantly elevated for small intestinal (OR = 3.96), prostate (OR = 1.36), and kidney cancers (OR = 1.57). These positive associations were observed ≥10 years after diagnosis of cholelithiasis and were consistent across strata of age, sex, and body mass index. No relation was found with the other selected cancers. A meta-analysis including this and three other studies on the relation of cholelithiasis with small intestinal cancer gave a pooled relative risk of 2.35 [95% confidence interval (CI) 1.82-3.03]. Conclusion In subjects with cholelithiasis, we showed an appreciably increased risk of small intestinal cancer and suggested a moderate increased risk of prostate and kidney cancers. We found no material association with the other cancers considered.