9 resultados para Enfants de 2 à 11 ans

em Université de Lausanne, Switzerland


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Football is a universal and an affordable game but we need to minimize the incidence of accidents among the increasing number of young football players. Our 11 year retrospective epidemiological study (1990-2000) of football injuries in children (N= 1000) was compared with those of adult players in the 2006 European Championship. This comparative study confirmed that the anatomical, biomechanical and biological conditions differ between adults and children and that they warrant particular attention to protect the latter vulnerable group against bone avulsions, overuse pathologies and fatigue-fractures. Injuries were shown to increase significantly with age up to 16 years (P=0.005). Children suffer mainly from contusions, fractures and sprain injuries. Head injuries were more common in boys (P=0.070), while girls were more prone to sprains. The types of injuries differ between adults and children (sprain versus fractures), the anatomical location of injuries is different (lower limbs in adults, lower and upper limbs in children), the circumstances of the injuries are different (contact in adults versus non-contact in children), and teenage girls have different types of injuries than teenage boys. An increased incidence of injuries is due to changes in the position of the center of gravity and in the morphotype during rapid growth. For these reasons it is mandatory to adapt the training to the age and sex of the players. It is unsafe to train children the same way as adults. The height, the weight and the speed of growth must be taken into account by the multidisciplinary team when organising the training programmes. -- Le football fait partie des sports les plus pratiqués au monde en raison de sa popularité et de son accessibilité économ ique. L'incidence des blessures liées à cette pratique doit être diminuée surtout chez les jeunes joueurs en raison de la croissance exponentielle du nombre de joueurs féminins et masculins. Une étude épidémiologique rétrospective sur 11 ans (1990-2000) a été réalisée chez les enfants victimes de blessures liées au football (N==1000), puis a été comparée aux données recueillies de l'UEFA lors d'un Championnat Européen en 2006 sur les lésions des joueurs adultes. Cette étude comparative confirme que les structures anatomiques, biologiques et les tensions biomécaniques chez l'enfant diffèrent de celles de l'adulte. Les enfants ont un risque plus élevé de souffrir d'avulsion osseuse et de fractures de fatigue que les adultes. Les blessures augmentent significativement avec l'âge jusqu'à 16 ans (P==0,005). Les traumatismes crâniens sont plus fréquents chez les garçons tandis que les entorses sont plus à risque chez les filles. Les adultes font plus souvent des entorses tandis que les enfants font plus de fractures. La localisation anatomique diffère également entre ces deux groupes (les membres inférieurs chez l'adulte et les membres inférieurs et supérieurs chez l'enfant). La circonstance des blessures diffère également (choc avec un autre joueur chez l'adulte et des blessures sans contact chez l'enfant). Chez les adolescents, les blessures des filles diffèrent de celles des garçons. L'augmentation chez les enfants de cette incidence est liée au déplacement lors de la croissance du centre de gravité, avec une maladresse accrue lors des phases de croissance. Pour toutes ces raisons, il est justifié d'adapter les entraînements de football en fonction de l'âge, du sexe et du morphotype. L'entrainement des enfants doit être différent de celui des adultes. Le poids, la taille et la vitesse de croissance doit être prise en compte dans des structures multidisciplinaires afin de permettre une meilleure longévité sportive des jeunes joueurs de football.

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Le self est une notion polysémique qui fait l'objet d'un consensus relatif dans plusieurs domaines, dont la psychologie du développement. Elle rend compte de la faculté de s'éprouver le même au fil du temps et de distinguer le « je » qui regarde du « moi » regardé. C'est le garant d'un sens de soi plus ou moins cohérent au fil du temps, en dépit des changements qui surviennent au cours de la vie. Le self combine des processus de réflexivité et d'intersubjectivité. Nous en avons analysé trois composantes fonctionnelles : la mémoire de travail, la mémoire épisodique et la narration, à partir d'un protocole expérimental témoignant de son ontogenèse chez des enfants de 6 à 9 ans (n=24 répartis en deux groupes de 6208;7 et 8-9 ans). Nous avons créé le « jeu informatique du lutin » qui propose un parcours semiorienté dans un monde imaginaire. C'est une narration de soi, opérant la mise en sens des temporalités et des espaces auxquels les événements se réfèrent. Deux semaines après cette « aventure », on recueille la narration des souvenirs épisodiques de cette histoire. Nous avons également utilisé un test de mémoire de travail visuospatiale non verbale. Des différences développementales affectent les dimensions narratives de la mémoire de l'épisode du jeu, comme l'efficacité de la mémoire de travail visuospatiale. Ces développements témoignent d'une augmentation de « l'épaisseur temporelle de la conscience» entre 6 et 9 ans. L'épaisseur de la conscience renvoie fondamentalement à la faculté du self de vivre le temps dans une cyclicité incluant le passé, le présent et le futur anticipé. Le développment observé élargit les possibilités de mettre en lien des mémoires et des scénarios futurs, tout comme les mises en sens des relations aux autres et à soi-­même. Self is a polysemic concept of common use in various scientific fields, among which developmental psychology. It accounts for the capacity to maintain the conviction to be « oneself », always the same through circumstances and throughout my life. This important function contributes in maintaining coherence and some sorte of Ariadne's thread in memory. To analyse the ontogeny of the self, we have focused upon three components : working memory, episodic memory and narration in children aged between 6 and 9 years. We used a non verbal working memory task. It was completed by a video game specially designed for our purpose, in which children were engaged in moving an elf in a landscape changing through seasons, in order to deliver a princess from a mischievous wizard. Two weeks after the game, the children had to tell what happened while they moved the elf. It is a self-narrative that creates a link208;up of temporality and spaces to which the events refer. The narrated episode was assessed for its coherence and continuity dimensions. Developmental differences affect the narrative dimensions of the memory of the episode of the game, as the effectiveness of visuospatial working memory. These developments show an increase in "temporal thickness of consciousness" between 6 and 9 years. The thickness of consciousness basically refers to the ability of the self to live in a cyclical time including past, present and anticipated future. The observed development broadens the possibilities to link memories and future scenarios, like setting sense of relations with others and with oneself.

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[Table des matières] Introduction. 2 Stratégies de prévention dans d'autres régions. 3. Australie (Australian Better Health Initiative 2006-2010). 4. Royaume-Uni. 5. Suisse. 5.1 En résumé ... 5.2 Vers une loi fédérale (?) 5.3 Suisse : synopsis. 6. Saint-Gall. 6.1 Poids corporel sain pour les enfants. 6.2 Santé au travail. 6.3 Dépendances. 6.4 Prévention et promotion de la santé dans les communes. 6.5 Saint-Gall : synopsis. 7. Valais. 8. Tessin. 8.1 Canton du Tessin : Synopsis I (programme général). 8.2 Canton du Tessin : Synopsis II (activités en cours). Annexe 1 : 21 buts de santé pour la Suisse (Santé Publique Suisse). Annexe 2 : 7 thèses sur la nouvelle réglementation de la prévention et de la promotion de la santé en Suisse (Office fédéral de la santé publique).

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Introduction:¦L'incidence annuelle du cancer de l'ovaire en Suisse est de 600 cas, il touche principalement les femmes âgées de plus de 60 ans. Le cancer de l'ovaire est aujourd'hui la 1ère cause de mortalité par cancer gynécologique chez la femme. Le but de notre recherche, est de créer une base de données de toutes les¦patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV pour la prise en charge de leur maladie.¦Cette étude rétrospective monocentrique nous permettra en premier lieu d'analyser les caractéristiques de¦cette tumeur présentées par les patientes, les traitements instaurés pour traiter ce cancer et les taux de¦récidives et de survie des patientes en fonction de ces variables.¦Méthodologie:¦Analyse rétrospective de 147 patientes diagnostiquées d'un cancer de l'ovaire et hospitalisées au CHUV entre¦septembre 2001 et mars 2010 pour la prise en charge de leur tumeur ovarienne. Utilisation du programme informatique ARCHIMED qui contient les dossiers médicaux de toutes les patientes inclues dans l'étude et création de 2 bases des données. La 1ère base de données regroupe l'ensemble des patientes de l'étude y¦compris les tumeurs type borderline, la 2ème base de données concerne uniquement les patientes ayant récidivé de leur tumeur. Les tumeurs bénignes ont été exclues de l'étude.¦Résultats:¦La probabilitéde survie à 1 an chez les patientes avec un cancer de l'ovaire, tous stades FIGO et prises en¦charge confondus, hospitalisées au CHUV est de 88,04% (95% CI = 0.7981-­208;0.9306), à 3 ans la probabilité de survie est de 70,4% (95% CI = 0.5864-­208;0.7936), et à plus de 5 ans, elle est de 60% (95% CI = 0.4315-­208;0.6859).¦Nous avons comparé le taux de survie en fonction du stade FIGO de la tumeur ovarienne et nous avons observé une différence significative de survie entre les stades FIGO précoces et les stades avancés (Pvaleur=¦0.0161).¦En plus d'une intervention chirurgicale, les patientes atteintes d'un cancer de l'ovaire sont normalement traitées par une chimiothérapie. Dans notre étude, 70 patientes ont bénéficié d'une chimiothérapie; un¦traitement adjuvant a été donné dans 78 % des cas (N = 55), un traitement néoadjuvant a été administré chez 22% des patientes (N=15). Le type combiné carboplatine-­208;taxane est la chimiothérapie la plus fréquente (75%). Au total sur l'étude, 66 patientes sur les 147 (44%) ont récidivé de leur tumeur. En ce qui¦concerne leur prise en charge, 46% des patientes ont reçu une chimiothérapie unique comme du gemzar, cealyx ou taxotère après leur récidive. Une cytoréduction secondaire a également été effectuée chez 33% de ces patientes ayant une récidive. Nous avons également étudié l'intervalle de temps entre la date de la¦récidive et celle du décès. Parmi les 28 patientes décédées chez les récidives, 10 d'entre-­208;elles (36%) ont survécu moins d'un an une fois la récidive diagnostiquée, 8 (28%) patientes ont survécu jusqu'à 2 ans, et¦les 10 (36%) autres patientes ont survécu de 2 à 5 ans. En ce qui concerne le taux de mortalité; 39 patientes sur les 147 étudiées sont décédées pendant la période d'observation, soit 26% des cas. La tumeur¦type borderline, présente une prolifération épithéliale atypique sans invasion dans le stroma et représente¦10 à 20% de toutes les tumeurs ovariennes. Dans notre étude, 41 patientes sont porteuses de cette tumeur¦(28%) et la moyenne d'âge est de 49 ans. En ce qui concerne leur prise en charge, l'intervention chirurgicale¦la plus fréquente, soit 23% des cas, est l'annexectomie unilatérale, qui reste une attitude conservative pour¦ces patientes désirant préserver leur fertilité. 6 patientes présentant ce type de tumeur ont récidivé, soit 14% des cas, avec une progression pelvienne, et 3 de ces 6 patientes sont décédées. Dans notre analyse, on observe que la probabilité de vivre plus longtemps que 1an pour les patientes ayant une tumeur borderline est de 93,8% (95% CI= 0.6323-­208; 0.9910), à 3 ans elle est également de 93,8% (95% CI = 0.6323-­208;0.9910) et à 5 ans elle est de 78,1% (95% CI = 0.3171-­208;0.9483). Nous n'avons pas observé de¦différence de survie dans notre étude entre les patientes présentant une tumeur borderline et le « non208;borderline ». (Pvaleur=0.3301)

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BACKGROUND: Lipid-lowering therapy is costly but effective at reducing coronary heart disease (CHD) risk. OBJECTIVE: To assess the cost-effectiveness and public health impact of Adult Treatment Panel III (ATP III) guidelines and compare with a range of risk- and age-based alternative strategies. DESIGN: The CHD Policy Model, a Markov-type cost-effectiveness model. DATA SOURCES: National surveys (1999 to 2004), vital statistics (2000), the Framingham Heart Study (1948 to 2000), other published data, and a direct survey of statin costs (2008). TARGET POPULATION: U.S. population age 35 to 85 years. Time Horizon: 2010 to 2040. PERSPECTIVE: Health care system. INTERVENTION: Lowering of low-density lipoprotein cholesterol with HMG-CoA reductase inhibitors (statins). OUTCOME MEASURE: Incremental cost-effectiveness. RESULTS OF BASE-CASE ANALYSIS: Full adherence to ATP III primary prevention guidelines would require starting (9.7 million) or intensifying (1.4 million) statin therapy for 11.1 million adults and would prevent 20,000 myocardial infarctions and 10,000 CHD deaths per year at an annual net cost of $3.6 billion ($42,000/QALY) if low-intensity statins cost $2.11 per pill. The ATP III guidelines would be preferred over alternative strategies if society is willing to pay $50,000/QALY and statins cost $1.54 to $2.21 per pill. At higher statin costs, ATP III is not cost-effective; at lower costs, more liberal statin-prescribing strategies would be preferred; and at costs less than $0.10 per pill, treating all persons with low-density lipoprotein cholesterol levels greater than 3.4 mmol/L (>130 mg/dL) would yield net cost savings. RESULTS OF SENSITIVITY ANALYSIS: Results are sensitive to the assumptions that LDL cholesterol becomes less important as a risk factor with increasing age and that little disutility results from taking a pill every day. LIMITATION: Randomized trial evidence for statin effectiveness is not available for all subgroups. CONCLUSION: The ATP III guidelines are relatively cost-effective and would have a large public health impact if implemented fully in the United States. Alternate strategies may be preferred, however, depending on the cost of statins and how much society is willing to pay for better health outcomes. FUNDING: Flight Attendants' Medical Research Institute and the Swanson Family Fund. The Framingham Heart Study and Framingham Offspring Study are conducted and supported by the National Heart, Lung, and Blood Institute.

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Les aléas du développement de la temporalité chez l'enfant passent souvent inaperçus, masqués par divers troubles psychopathologiques. Le temps constitue toutefois une dimension essentielle de l'adaptation scolaire, familiale ou sociale. En première partie, cet article retrace la psychogenèse de la temporalité et plus particulièrement le développement du temps notionnel et le développement des notions cinématiques. La seconde partie est consacrée à la présentation du questionnaire temporel pour l'enfant (QTE), étalonné sur un échantillon de 153 enfants de 6 à 13 ans. Cet instrument d'évaluation du temps notionnel offre au clinicien un outil de screening permettant d'identifier les difficultés temporelles chez les enfants.

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BACKGROUND/OBJECTIVES: This study aims to assess whether patent foramen ovale (PFO) closure is superior to medical therapy in preventing recurrence of cryptogenic ischemic stroke or transient ischemic attack (TIA). METHODS: We searched PubMed for randomized trials which compared PFO closure with medical therapy in cryptogenic stroke/TIA using the items: "stroke or cerebrovascular accident or TIA" and "patent foramen ovale or paradoxical embolism" and "trial or study". RESULTS: Among 650 potentially eligible articles, 3 were included including 2303 patients. There was no statistically significant difference between PFO-closure and medical therapy in ischemic stroke recurrence (1.91% vs. 2.94% respectively, OR: 0.64, 95%CI: 0.37-1.10), TIA (2.08% vs. 2.42% respectively, OR: 0.87, 95%CI: 0.50-1.51) and death (0.60% vs. 0.86% respectively, OR: 0.71, 95%CI: 0.28-1.82). In subgroup analysis, there was significant reduction of ischemic strokes in the AMPLATZER PFO Occluder arm vs. medical therapy (1.4% vs. 3.04% respectively, OR: 0.46, 95%CI: 0.21-0.98, relative-risk-reduction: 53.2%, absolute-risk-reduction: 1.6%, number-needed-to-treat: 61.8) but not in the STARFlex device (2.7% vs. 2.8% with medical therapy, OR: 0.93, 95%CI: 0.45-2.11). Compared to medical therapy, the number of patients with new-onset atrial fibrillation (AF) was similar in the AMPLATZER PFO Occluder arm (0.72% vs. 1.28% respectively, OR: 1.81, 95%CI: 0.60-5.42) but higher in the STARFlex device (0.64% vs. 5.14% respectively, OR: 8.30, 95%CI: 2.47-27.84). CONCLUSIONS: This meta-analysis does not support PFO closure for secondary prevention with unselected devices in cryptogenic stroke/TIA. In subgroup analysis, selected closure devices may be superior to medical therapy without increasing the risk of new-onset AF, however. This observation should be confirmed in further trials using inclusion criteria for patients with high likelihood of PFO-related stroke recurrence.

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BACKGROUND: Increasing incidence of head and neck cancer (HNC) in young adults has been reported. We aimed to compare the role of major risk factors and family history of cancer in HNC in young adults and older patients. METHODS: We pooled data from 25 case-control studies and conducted separate analyses for adults ≤45 years old ('young adults', 2010 cases and 4042 controls) and >45 years old ('older adults', 17201;700 cases and 22201;704 controls). Using logistic regression with studies treated as random effects, we estimated adjusted odds ratios (ORs) and 95% confidence intervals (CIs). RESULTS: The young group of cases had a higher proportion of oral tongue cancer (16.0% in women; 11.0% in men) and unspecified oral cavity / oropharynx cancer (16.2%; 11.1%) and a lower proportion of larynx cancer (12.1%; 16.6%) than older adult cases. The proportions of never smokers or never drinkers among female cases were higher than among male cases in both age groups. Positive associations with HNC and duration or pack-years of smoking and drinking were similar across age groups. However, the attributable fractions (AFs) for smoking and drinking were lower in young when compared with older adults (AFs for smoking in young women, older women, young men and older men, respectively, = 19.9% (95% CI201;=201;9.8%, 27.9%), 48.9% (46.6%, 50.8%), 46.2% (38.5%, 52.5%), 64.3% (62.2%, 66.4%); AFs for drinking201;=201;5.3% (-11.2%, 18.0%), 20.0% (14.5%, 25.0%), 21.5% (5.0%, 34.9%) and 50.4% (46.1%, 54.3%). A family history of early-onset cancer was associated with HNC risk in the young [OR201;=201;2.27 (95% CI201;=201;1.26, 4.10)], but not in the older adults [OR201;=201;1.10 (0.91, 1.31)]. The attributable fraction for family history of early-onset cancer was 23.2% (8.60% to 31.4%) in young compared with 2.20% (-2.41%, 5.80%) in older adults. CONCLUSIONS: Differences in HNC aetiology according to age group may exist. The lower AF of cigarette smoking and alcohol drinking in young adults may be due to the reduced length of exposure due to the lower age. Other characteristics, such as those that are inherited, may play a more important role in HNC in young adults compared with older adults.

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One of the global targets for non-communicable diseases is to halt, by 2025, the rise in the age-standardised adult prevalence of diabetes at its 2010 levels. We aimed to estimate worldwide trends in diabetes, how likely it is for countries to achieve the global target, and how changes in prevalence, together with population growth and ageing, are affecting the number of adults with diabetes. We pooled data from population-based studies that had collected data on diabetes through measurement of its biomarkers. We used a Bayesian hierarchical model to estimate trends in diabetes prevalence-defined as fasting plasma glucose of 7.0 mmol/L or higher, or history of diagnosis with diabetes, or use of insulin or oral hypoglycaemic drugs-in 200 countries and territories in 21 regions, by sex and from 1980 to 2014. We also calculated the posterior probability of meeting the global diabetes target if post-2000 trends continue. We used data from 751 studies including 4,372,000 adults from 146 of the 200 countries we make estimates for. Global age-standardised diabetes prevalence increased from 4.3% (95% credible interval 2.4-7.0) in 1980 to 9.0% (7.2-11.1) in 2014 in men, and from 5.0% (2.9-7.9) to 7.9% (6.4-9.7) in women. The number of adults with diabetes in the world increased from 108 million in 1980 to 422 million in 2014 (28.5% due to the rise in prevalence, 39.7% due to population growth and ageing, and 31.8% due to interaction of these two factors). Age-standardised adult diabetes prevalence in 2014 was lowest in northwestern Europe, and highest in Polynesia and Micronesia, at nearly 25%, followed by Melanesia and the Middle East and north Africa. Between 1980 and 2014 there was little change in age-standardised diabetes prevalence in adult women in continental western Europe, although crude prevalence rose because of ageing of the population. By contrast, age-standardised adult prevalence rose by 15 percentage points in men and women in Polynesia and Micronesia. In 2014, American Samoa had the highest national prevalence of diabetes (>30% in both sexes), with age-standardised adult prevalence also higher than 25% in some other islands in Polynesia and Micronesia. If post-2000 trends continue, the probability of meeting the global target of halting the rise in the prevalence of diabetes by 2025 at the 2010 level worldwide is lower than 1% for men and is 1% for women. Only nine countries for men and 29 countries for women, mostly in western Europe, have a 50% or higher probability of meeting the global target. Since 1980, age-standardised diabetes prevalence in adults has increased, or at best remained unchanged, in every country. Together with population growth and ageing, this rise has led to a near quadrupling of the number of adults with diabetes worldwide. The burden of diabetes, both in terms of prevalence and number of adults affected, has increased faster in low-income and middle-income countries than in high-income countries. Wellcome Trust.